NAME : Prewett ; Son nom de jeune fille pas inconnu dans le monde magique. La famille Prewett est une grande famille de sang pur. Néanmoins, elle porte aujourd'hui, le nom de Weasley qui est celui de Arthur, son mari, celui-ci aussi est le nom d'une famille de sang-pur. SURNAME : Molly, pourrait très bien signifier "mollycoddle" qui signifie "surprotéger" qui est bien un des traits de caractère de notre jolie jeune femme à croire que sa maman était "devin" si elle avait pensé à ce mot. Irma est son second prénom qui lui a été donné en mémoire d'une arrière grand-mère, très apprécié et connu pour ses talents de devin. AGE : La rousse est âgée de 30 années précisément. PLACE OF BIRTH : Elle est née à Londres, à l'hôpital St Mangouste, il est vrai que c'est assez banal ! YOUR BLOOD : Sang Pur mais qu'importe ? Elle se fiche complètement de la nature de son sang ou de celui de ses proches. De ce fait, la question lui semble simplement déplacée et surtout peu importante. MARITAL STATUS : Marié au plus formidable des maris ; Arthur Weasley. Ils se sont rencontrés en arrivant à Poudlard et ont tout de suite accrochés. Ce fut d'abord une simple amitié, mais très vite, les sentiments arrivèrent. Malgré les mauvais moments, ils ont survécus et dès leur sortie de Poudlard, ils se sont rapidement mariés surement trop vite aussi, ne faisant pas le plus beau mariage au monde, mais au final, ravie de cette union. JOB OR OTHER : Molly est alchimiste pour le ministère de la magie, mais aussi mère et se demande de plus en plus, si elle va pouvoir continuer longtemps. Par ailleurs, dans la logique des choses, elle préfère ses enfants à son travail et même si Molly aime ce qu'elle fait dans la vie, elle ne peut pas nier qu'elle est totalement folle à ses petites frimousses. Bill, Charlie, Percy, ses jumeaux & le petit dernier, nouveau-né, Ron sont déjà incroyablement surprotégés par leur petite maman. YOUR WAND : Sa baguette est faite de bois de vigne. Elle contient un crin de licorne et mesure vingt-deux centimètres. Elle est aussi très rigide. PATRONUS CHARM : Son patronus est une chèvre et elle n'a jamais voulu chercher la signification de celui-ci parce que déjà, elle ne le trouvait pas très flatteur. BOGGART : Protectrice et attentionnée, son épouvantard fut, à une époque, ces deux frères sur le point de s'entretuer, mais, à présent, qu'ils ont fait des efforts pour Molly, la jeune femme se voit moins inquiète pour eux. Elle voit à présent le corps de son mari, gisant sur le sol. Rien que de l'imaginer mort, les larmes coulent. Elle pense tout de suite à ses chers enfants qui ne pourraient pas non plus vivre sans leur formidable papa. HOGWART HOUSE :Ancienne Gryffondor et très fière de sa maison, Molly fut même préfète, puis préfète en chef à sa grande joie. Ce fut un peu sa récompense pour son sérieux et son envie d'aider les autres dans leur travail dès qu'elle en avait l'occasion. YOUR CHOICE : Molly n'a pas longtemps hésité concernant sa place face à toute cette catastrophe : elle pensait que tout le monde devait rester égaux. Peu importe le sang alors forcément, elle fut du côté de l'Ordre dont elle ne fait pas officiellement parti, mais c'est tout comme. Elle serait prête à se battre pour que le monde soit et redevienne plus juste, ainsi que plus paisible. Par ailleurs, avec un mari faisant, plus ou moins, parti de l'ordre, son opinion était déjà facile à deviner. MIRROR OF ERISED : La rousse verrait tout simplement son mari, posant sa main dans la sienne, entourée d'un bon nombre d'enfant, leurs enfants. Pourtant, ils en ont déjà six, quelle gourmande cette Molly !

Ce matin là, la maison Prewett fut réveillée par un bruit sourd comme si quelques choses tombait au sol ou ... peut-être quelqu'un. Une petite rousse dormait, paisiblement, rêvant au jour tant attendu où elle recevrait une lettre; la lettre pour l'école de sorcellerie Poudlard. Dans un grand sursaut, elle se leva, tombant presque du lit. Molly savait que ça provenait de la chambre voisine ; celle de ses frères. La petite demoiselle se précipita, pénétrant en trombe dans l'antre des deux garçons. Le plus jeune était au sol tandis que l'autre restait debout au dessus de son petit frère en lui disant : t'es vraiment trop nul Gid' ! La jeune Molly s'empressa de s'agenouiller auprès de son petit frère pour l'aider à se relever avant de regarder le plus vieux, ses petits yeux devenant plus grand en le fixant : Qu'est-ce que tu lui as encore fait Fab' ? Pourquoi ne le laisses-tu pas tranquille ? Avait-elle dit, sérieusement énervée. On aurait du que l'enfant devenait soudain presque adulte pourtant, au regard cela gênait, c'était étrange ! Une enfant si mure ou surtout, peu à sa place qui tentait de séparer ces deux frères en les maternant presque. Oh Molly, ça suffit ... Tu le défends toujours, tu le maternes alors que ce n'est pas ton rôle alors que je tente juste de lui faire comprendre ce que c'est la vie ... La rousse regardait son petit frère se rallonger face au mur, dans son lit, tandis que le grand la fusillait du regard: si il avait pu la tuer du regard, la lueur ses yeux n'aurait pas été pire. "Pourquoi tu me parles comme ça ? Et puis, vous vous battez toujours ? ça m'énerve ... il est tout petit, t'es déjà entrain d’être mauvais avec lui ! " Une voix enfantine avait prononcée ses mots, comme si elle s'était remise à sa place juste pour que son frère tente de comprendre, de la comprendre, mais elle savait que c'était impossible. Elle grimpa sur le lit de Gideon, déposa un baiser sur la joue du plus jeune, puis repartit rapidement de la salle de combat où un match venait de se terminer de si bon matin. Descendant quatre à quatre les marches, la demoiselle sentait au fond d’elle-même qu'un jour nouveau commençait, qu'aujourd'hui quelque chose allait se passer. Elle espérait grandement que ce serait l'arrivée de sa lettre mais ça, seul le temps allait pouvoir nous le dire. Molly déposa un baiser sur la joue de sa mère, s'asseyant pour le petit déjeuner qui attendait déjà les enfants. Comme d'habitude, son père était déjà parti pour le travail, déposant surement un baiser sur le font de chacun de ses enfants profondément endormis à son départ. Le muet et le plus vieux rejoignirent très vite les deux femmes de la maison pour le petit déjeuner. Molly et sa maman parlaient beaucoup tandis que les deux autres semblaient dans l'incapacité de parler, enfin surtout Gideon, mais c'était assez habituel ! Quant à Fabian, il semblait faire un peu la tête et être bien trop ronchon pour que les deux belles osent lui parler, bien qu'après un moment, Madame Prewett tenta le tout pour le tout ; Mon chéri, pense-tu qu'il y aura beaucoup de manuel cette année ? Tu es impatient d'y retourner, n'est-ce pas ? Évidemment, la douce mère des trois Prewett savait très bien les réponses à ses questions mais elle tentait un peu de stimuler son fils qui ne semblait vraiment pas enclin à la discussion. Pourtant, il ne répondit pas, en même temps, il n'eut pas le temps. Soudain, Fabian sembla se réveiller, s'exclamant que le courrier arrivait, avec une étrange joie dans la voix ; Il courra à la fenêtre, l'ouvrant et attrapa dans le bec du hibou la liasse de lettre. Deux était pour leur mère, l'une concernées Fabian, il les distribua sauf une qu'il garda en main, la montrant à sa maman, tout sourire ; "Tu as vu Maman ... crois-tu qu'on devrait lui donner ?" Molly se posait des questions ; que se passait-il ? Pourquoi son frère semblait soudain si joyeux ? Sa mère, elle aussi, semblait avoir une joie incontrôlable. La petite sautillait presque sur sa chaise de ne pas savoir de quoi il parlait. Elle comprit seulement lorsque son frère la retourna vers elle, de façon à ce qu'elle comprenne. La rousse sauta de joie, manquant de tomber de sa chaise. Elle s'écria : "OH OUI, POUDLARD POUDLARD ... Donne-la moi s'il te plait Fabian !" Tantôt son ton était joyeux, tantôt suppliant et ça semblait bien plaire à Fabian qui n'en profita néanmoins pas, aussi étonnant que cela puisse paraitre. Elle arracha presque le cachet pour l'ouvrir, ravie d'avoir reçu ce qu'elle attendait depuis tellement longtemps. Quand elle lut la lettre, on pu voir sur son visage comme un rayon l’éclaircir, le faire rayonner de mille feux. Molly semblait si heureuse, si emplie d'espoir et c'était très beau à voir une telle joie face à une entrée dans une école alors que c'était pourtant couru d'avance. Le seul qui n'était pas heureux, c'était Gidéon, surement ne voulait-il pas voir sa sœur partir !



Le cœur battant, une rouquine s'avançait doucement entouré des autres nouveaux vers l'estrade au fond de la grande salle, traversant alors la grande allée. Son frère était là, assis à la table de sa maison, la regardant avec fierté. Il est vrai qu'ils avaient des différents mais c'était justement parce qu'elle défendait parfois trop le plus jeune alors que lui aurait aimé aussi qu'elle le défende lui ; oui, ils étaient tr!s proches et s'aimaient énormément ! La jeune fille tourna sa tête doucement vers son frère pour lui offrir un sourire de loin, lui montrant sa joie de le voir, d’être ici et aussi, de l'avoir derrière elle pour soutien. La petit foule de nouveaux arrivants s’arrêta, la rouquine fut donc obligée de faire de meme et lâcha Fabian du regard, portant alors plus ses yeux vers une dame, grande, habillé d'une cape élégante mais très étrange, un chapeau pointu et semblant bien sérieuse. Elle l'avait déjà vu à l'entrée, leur demandant de patienter puis revenant les chercher mais là, face à elle, elle pouvait beaucoup plus détailler la sorcière. La femme s'était mise à parler, expliquant au groupe qu'elle allait les appeler, que chacun devrait venir s'assoir sous le choixpeau puis que les nouveaux élèves seraient donc répartis dans leur maison. La première fut appelée, c'était une jeune fille blonde, chétive. Des murmures s'élevèrent et il semblait à la jeune Molly que chacun allait vivre ce moment avec ces petits murmures là, signe que chacun faisait des pronostics sur la personne : c'était si stressant. Molly baissa la tete, imaginant alors toute sorte de scénario dans son cas mais quand le pire des scénarios frappa son esprit, elle gloussa doucement. Si elle allait à serpentard, elle serait surement une honte pour sa famille, ce qu'elle comprendrait mais la rouquine ne voulait pas de ça ! Bien sur, ça ne fit que la stresser un peu plus ! Elle était partie dans un autre monde depuis déjà un moment, pensant trop, réfléchissant trop, imaginant trop ... Soudain, On entendit résonner dans la pièce son nom : "Molly Prewett !" Elle regarda autour d'elle comme si elle était incertaine de s'appeler ainsi. La jeune fille avança alors doucement, légèrement chancelante, elle avait peur, c'était indéniable ! Respire, Respire, pensait-elle au plus profond de son être. Molly suivit son propre conseil et avança plus sure d'elle alors qu'en réalité, ça ne disait pas ça du tout en elle, c'était la peur qui l'animait mais elle avait tenté de montrer tout autre chose à l'extérieur. Elle grimpa alors sur le tabouret et le choixpeau fut alors posé sur la petite tête rousse. Pas de temps à perdre, le choixpeau semblait ne pas avoir à beaucoup réfléchir dans son cas. Presque comme un évidence, après un quart de seconde de réflexion, quelques soupires, il s'écria : "GRYFFONDOR !" La table des concernés se mit à applaudir et la jeune Molly souffla enfin. Elle se leva doucement, descendant alors de l'estrade pour rejoindre la  grande table dédiée à ceux qui appartenaient à la maison des rouges et chercha le regard de son frère pour lui communiquer sa joie. Elle se sentait soulagée et fut bien mieux pour assister aux dernières répartirions.

Poudlard avait rendu la vie de la chère Molly, plus belle encore qu'elle ne l'était déjà. La rouquine était, cette fois, devenue une véritable jeune femme. Grande, mince, élancée, elle était jolie, une beauté peu commune, une beauté originale. Ce n'était pas un canon mais elle avait ce petit truc que d'autres filles non pas. Bosseuse et déterminée, elle était une bonne élève, joyeuse, rigolote mais surtout, très appréciée par ses professeurs. Très vite, elle fut d'ailleurs nommée préfète de sa maison à son plus grand bonheur et celui de ses parents. La vie lui avait réellement souri pourtant une seule ombre au tableau, elle était amoureuse d'un garçon et ne savait si cela était réciproque.
Il était tous ce qui lui paraissait le plus merveilleux au monde, elle le regardait avec des yeux pétillants de bonheur ; oui, il lui procurait tant pourtant il n'était pas encore au point de se dire "couple". Amis, ils l'étaient surement, mais en couple beaucoup moins et ils semblaient tout deux effrayés à l'idée d'oser ou non une histoire ensemble. Jeunes et pleins de fougue, l'amour était là, c'était certain pourtant eux, semblait ne pas s'en rendre compte. Chacun croyaient que l'autre ne voudrait pas, ne ressentait rien ; n'est-ce pas la loi de l'amour ? Malgré tout, un jour, ils osèrent, échangeant un baiser qu'ils auraient souhaité éternel ... Leur couple était parfait pourtant comme dans toute chose, ce n'était pas toujours rose et ils vécurent bas et haut, se relevant surement plus fort que jamais à chacune des épreuves qu'ils vivaient ... Parfois, Arthur écrivait sur un morceau de parchemin quelques mots pour sa belle Molly avant de donner un coup de baguette pour lui faire parvenir discrètement lorsque le professeur tournait le dos. Quelle niaiserie pourrait dire certain pourtant ça plaisait à la rouquine et elle faisait à peu près le meme genre de chose ; la magie servait aussi à l'amour ... D'ailleurs, l'amour n'est-il pas une magie en somme ? Deux jeunes gens s'étaient trouvés pour un amour aussi pur qu'on le pouvait car il était vrai, si vrai qu'au bout d'un temps, on aurait déjà cru pouvoir apercevoir leur futur famille, leur avenir ensemble ... C'était le baume au cœur de la belle Molly, il faisait battre son cœur comme personne n'avait jamais pu le faire, même dans son petit cœur de jeune fille encore pas totalement mure en amour. Lorsqu'il l'embrassait, son cœur sautait dans sa poitrine et lorsqu'il se disputait, son cœur se broyait dans sa petite cage. Arthur & Molly ; elle n'espérait que ça pour une vie, pour sa vie, enfin pour cette vie !


Soudain, le soleil s'était levé, laissant le noir dans sa tombe pour ouvrir la lumière sur cette journée qui promettait d’être fantastique. Une lueur d'espoir dans un cœur si beau, si parfait. C'était le cœur formé par Arthur et Molly qui risquait d’être empli de joie après ce jour. Elle ne le savait pas, mais lui avait tout préparé. Il était décidé autant qu'ils étaient certains d’être les deux parties d'un cœur. Les examens étaient passés : ils avaient excellé. Les deux jeunes gens passaient leur été ensemble, un été fait de beaux projets. Le noir dans leur couple était ces temps-ci de moins en moins présent, ce qui ne faisait que combler la jolie rouquine. Un déjeuner avec son bel Arthur, elle était toute chose mais tout aussi stressé, il semblait si anxieux ; Elle n'aimait pas ça et Molly voulait éviter toute noirceur ans leur si grand bonheur actuel. Un instant, elle se posa tranquillement devant une glace, se regardant, admirant la tenue choisie pour son déjeuner avec celui qui comblait son cœur. Quand elle rejoignait le jeune Arthur, il semblait toujours mal, anxieux, presque apeuré. L'ancienne préfète en chef n'osait rien demander de peur qu'un nuage de pluie éclate sur le couple. Ils mangèrent tranquillement dans la petite auberge qu'il semblait avoir prit soin de choisir et qui contrastait avec l'ambiance légèrement stressante du déjeuner. Ils parlèrent par moment de simples choses ; leur avenir, leur lettres et entretiens et ce fut très vite le temps du dessert. Un sourire timide s'afficha sur le visage du jeune homme, il toussa comme pour attirer l'attention de la belle qui regardait son assiette, gêné de l'ambiance puis il prit la parole  : "Molly, ce que j'ai à te dire est compliqué et la peur que tu ne sois pas d accord me rends complètement fou ..." Molly sentait son cœur battre. Qu'avait-elle fait pour rendre son Arthur si mal ? le jeune homme se tourna doucement, de profil, sur sa chaise, comme si il s’apprêtait à se lever avant de bouger de nouveau, se remettant bien, puis tournant ; le stresse semblait donner la bougeotte au jeune homme. "Arthur ... tu m'in.." Elle n'eut pas le temps de finir car déjà, l'homme avait reprit : "Ce que j'essaie de te dire Molly, c'est que ... Je t'aime comme jamais, je n'aurai cru possible de t'aimer ..." Sa main vint se poser sur celle de la jeune femme. Elle tremblait de peur mais aussi, à présent, d'émotion. Molly souriait face à cette déclaration adorable et sentant qu'il allait continuer, elle n'osa pas prendre la parole. "Veux-tu devenir ma femme, Molly ? Maintenant, marrions-nous, pour que plus jamais, on ne soit séparé !" Son cœur battait comme jamais, ses joues étaient rouges comme si elle avait prit un coup de chaleur, sa voix se brisait alors qu'elle répondait, tout en émotion ; "Oui, oui, oui ... c'est évident, je le veux Arthur ... depuis le premier jour !" Elle se leva pour embrasser son cher et tendre, tremblante d'émotion. Si un jour, elle avait cru que cela pouvait lui arriver et encore plus, aussi jeune. Ils se marièrent presque aussitôt ... Enfin, n'exagérons rien ; quelques jours suffirent néanmoins et ils étaient mariés sans aucun regret. Le temps devrait répondre sur la force de ce couple de jeune mariés.

A peine deux ans après leur mariage, les deux jeunes gens eurent un enfant ; William Arthur Weasley. Ils vivaient heureux. Très vite, commençant à travailler, ils avaient acquis une maisonnette assez grande, légèrement délabrée, enfin plutôt aussi délabrée qu'originale, appelée le terrier. Ils rêvaient d'avoir plusieurs enfants et cette maison était parfaite pour ce rêve fabuleux. Molly avait été embauché comme alchimiste au ministère de la magie et en était drôlement fière ; elle ne pouvait pas le nier. Toujours pleine de vie et rigolote, elle passait son temps entre son petit bout de choux, son travail et les bons petits plats pour son homme. C'était déjà une femme accomplie, maladroite mais qui faisait ce qu'il fallait pour sa petite famille qu'elle comptait bien agrandir. ça ne tarda pas beaucoup ... Un peu plus d'un an après, elle attendait un nouvel enfant ; elle souhaitait une fille mais ce fut un garçon qui montra sa petite tête un beau jour de décembre 1972. Ils le nommèrent Charles, bien que souvent, il l'appelait Charlie. William semblait bien heureux de ne plus être seul bambin dans la maison, la petite famille s'agrandissait déjà et malgré ce qu'un enfant demandé comme travail, la jeune Molly -déjà femme mais jeune pour avoir deux enfants- s'en sortait plutôt pas mal, laissant ressortir son coté très surprotecteur qu'on lui connaissait avec ses frères plus jeune. Elle ne voulait pas arrêter travailler, refusant catégoriquement que son mari assume les frais seul. Quatre ans passèrent, le couple était toujours heureux. Oh il serait mensonge de vous dire que jamais aucune dispute ne sépara un peu le couple mais ils restèrent ensemble, tentant à chaque fois de recoller les morceaux et je dois vous l'avouer, ça marchait toujours ... Ils étaient réellement fait pour être ensemble, deux morceaux d'un tout, de cœurs liés pour une éternité, ça se sentait en les voyant. La grande famille s'annonçait à l'arrivée du troisième enfant, un énième garçon qu'ils allaient chérir ; Percy Ignatius Weasley. Le plus vieux des garçons se montrait déjà bien préoccupé par la vie de sa petite maman, il faisait pour l'aider. Oui, William était le genre de petit garçon déterminé et plein de joie mais avec, surtout, une grande envie de responsabilité. Il s'occupait beaucoup de ses deux petits frères bien que sa mère se devait d’être derrière lui assez souvent. Parfois, elle sentait la fatigue bien trop grande, mais elle se battait et faisait comme si de rien n'était. Oui, Molly ne voulait rien n'abandonner. Comme si, il y avait une coutume dans le temps à attendre entre chaque enfant, à nouveau deux ans après, non pas un mais deux nouveaux petits bambins virent le jour : deux très mignons jumeaux qui très vite eurent un sourire malicieux sur le visage. Arthur et Molly les nommèrent ; Fred et George. Le beau petit couple ne pouvait guère dire qu'ils n'avaient pas une belle et grande famille car il était certain qu'elle était déjà bien grande. Fabian, son frère, était aussi devenu un très beau jeune homme avec une belle réussite. Lui aussi avait pu faire sa vie et il se contactait régulièrement par lettre. Gideon avait trouvé la parole à son entrée à Poudlard et au fil du temps, il s'était réconcilié avec son grand frère. Molly ne pouvait être que combler à présent ; sa vie lui allait parfaitement. Oh oui, c'était certain, il y avait des mauvais jours, mais elle ne pouvait se plaindre quand elle voyait la misère de certains. Rien que la vie des moldus, elle la plaignait ... Et puis, soudain, il y eut encore un miracle, un autre enfant ... Molly priait de toutes ses forces pour que ce soit une fille pourtant on n'entendit pas sa prière car ce fut un petit homme qui sortit pour la sixième fois, enfin cinquième fois ; Petit Ronald était né et déjà les deux jumeaux le regardaient avec leur yeux malicieux, ça sentait mauvais tout ça ...



Assise dans la cuisine, Molly regardait quelques livres dans lesquels piocher quelques succulentes recettes. Elle aimait énormément faire la cuisine pour son mari et ses garçons. Néanmoins, quand elle regarda l'horloge de la maison, elle fut choquée de l'heure avancée. Elle n'avait pas encore travaillé alors qu'il était important qu'elle fasse son boulot pour le ministère. Elle alla donc vérifier comment aller son petit dernier et remarqua avec surprise que William, aussi appelé Bill, surveillait son petit frère. Un sourire sur les lèvres, elle referma alors la porte doucement ravie de cette vision. Elle était très fière de son fils. Percy, quant à lui, semblait complètement enfermé dans sa chambre avec son frère Charlie à regarder des bouquins sur des bestioles étranges ; les dragons ?! Molly eut un petit rire en entendant les réflexions de Charlie qui disaient de grosses bêtises, réprimandés par le plus jeune, toujours très sérieux malgré son jeune age. Il ne manquait plus que deux petits hommes pour que la chère Molly puisse travailler tranquille ; Les jumeaux ! Bien évidemment, coquin comme tout, c'était les plus durs de tous les garçons mais bien qu'elle les réprimandait souvent, elle ne les aimait pas moins : c'était juste stressant de toujours leur courir après. Ils étaient coquin, farceur et malicieux, toujours entrain de faire des bêtises. Ainsi, la semaine dernière, ils avaient fait exploser une potion bizarre dans la tête de Percy et riait aux éclats. Pauvre Molly ! Elle courrait après les deux petites crapules pour les réprimander et eux, se foutait de leur maman avant de s'excuser comme à chaque fois. Enfin, elle les chercha pendant un long moment, partout ... quand soudain, Bill l'appela : "maman, maman ! Ils sont là les deux !" Elle grimpa les escaliers en vitesse avec un peu de difficulté, malgré toute la magie qu'on veut, un accouchement reste dur et la suite aussi. Arrivée en haut, elle pénétra dans la chambre où se trouvait Bill qui surveillait le petit Ronald et découvrit les deux petits jumeaux cachés sous le berceau du petit dernier. Elle se baissa, se mettant presque au sol : " Vous faites quoi là les garçons ? " Un sourire sur ses lèvres, Molly rigolait tout de meme de la situation tandis que William reprenait la lecture de son livre. Elle avait murmuré tentant de ne pas réveiller le petit bambin qui dormait paisiblement ; en pleine nuit, il se réveillait mais alors, le jour, il était une vraie marmotte. "veut parler ron fait pas de "ron spi ron spi" alors on vient ici .. pour plan " Elle ne put s’empêcher de rire. Ils étaient encore tout petit mais déjà, ils étaient vraiment tordus ; deux petites crapules parlant bizarrement, enfin surtout comme ils pouvaient et faisant des choses étranges. Soudain, elle entendit la porte d'entrée s'ouvrir, faisant un léger bruit de grincement que son oreille s'était habitué à entendre et comprit que pour bosser, ce ne serait pas pour ce soir. Elle attrapa par la main chacun des deux jumeaux et les tira vers la sortie avec douceur, faisant un signe de tête à William ; "Viens, ne t'en fais pas, il dort paisiblement notre petit amour ... On va aller voir ton père !" Elle referma en douceur la porte, la laissant légèrement entrouverte et descendit avec les trois garçons. Les jumeaux descendaient toujours avec difficulté, ce qui était très drôle. En fait, ce n'était pas de la difficulté ; il faisait les clowns et ceux surement inconsciemment, c'était juste leur petites têtes qui leur commandait de le faire ... Elle s’inquiétait que déjà, à un si jeune age, il soit ainsi ...  En bas, Arthur embrassa chacun de ses fils, leur serrant aussi la main en faisant comme si ils étaient des hommes avec plein d'humour avant d'embrasser sa femme et s'écria ; "Où sont mon chasseur de dragon et mon génie ?" Molly donna un coup à son mari ; "Arthur ! Ron dort, Non d'un pitiponk !" Il souriait, gêné, faisant l'abruti pour faire rire sa femme puis les deux monstres arrivèrent en courant, dévalant les escaliers comme des petits fous pour voir leur père. Bien sur, on entendit les pleures du petit dernier et Molly courrait, en râlant ; "Vous êtes vraiment incroyable, tous ..." Bien sur, seul Arthur avait comprit l'énervement de Molly et surement les deux plus grands, les autres l'avaient regardé avec de gros yeux puis grimaçaient légèrement. Elle entra dans la chambre, prit son fils dans les bras, le berçant doucement avant de redescendre avec le petit. Ils étaient tous assis autour de la table ; Arthur avait du leur dire de faire plaisir à leur maman en se calmant un peu. "Viens, avec papa mon petit Ron ! On va laisser un peu maman tranquille !" Il vint prendre son fils des bras de Molly et commença à faire l'abruti face à son petit garçon. William et Charlie se moquaient avec joie de leur Papa tandis que Molly tentait de rattraper Fred et Georges qui avaient tirés les oreilles du petit Percy. Bien sur, il pleurait à chaud de larmes ! Malheur, quelle journée ! Comme si, il n'avait rien remarqué, Arthur continua à parler : "Au fait, chéri, ce soir, j'ai une réunion au QG de l'ordre .. Je rentrerais tard. Je dine avec vous mais après je dois y aller ... " Molly fut couper net dans son élan et stoppa sa course poursuite avec les deux petits monstres, s'asseyant sur une chaise et prenant le petit Percy sur ses genoux, le consolant ; "C'est  bien beau ... les garçons m'apportent tellement de joie que j'avais presque oublier que dehors, c'est ... si ... mauvais !" Soudain, son visage se ferma un peu mais elle garda toujours la lueur d'espoir éternellement présente dans ses yeux que son mari aimait tant avant de reprendre : "Tu me raconteras, chéri, n'est-ce pas ? Et s'il te plait, arrête de me ménager, je sais que tu ne me dis pas tout ... je l'ai trouvé le journal, tu sais sous ton coté du matelas ..." Elle avait sourit timidement.  C'est vrai qu'avec ses enfants qui l'occupaient toute la journée, la cuisine, elle ne sortait que peu à présent et le peu, elle était effrayé par tous ça, par cette époque. Pourtant, en étant ici, aussi bien entourée, ça faisait presque passer la pullule de la noirceur de l'époque. La preuve : elle n'avait meme pas le temps de faire son travail pour le ministère tant ces petits monstres lui prenaient du temps mais c'était du bon temps ... Même quand ils étaient incontrôlables, elle adorait s'occuper d'eux.

Sur une musique très conquérante (n'est pas peur, clique pour découvrir la musique de la victoire !) te voici enfin validé(e) ! Tout d'abord, nous te souhaitons nos félicitations, mais ce n'est pas tout ! Désormais, étant que membre validé, tu vas devoir lire les énoncés suivants. Tu as désormais pris un choix en faisant ta fiche, celui de collaborer ou de résister. Il est très important pour toi de comprendre l'importance de ce choix au vu de la situation et du contexte dans lequel nous jouons (ouais, c'est pas les bisounours quoi.) et que ton personnage sera soumis, en fonction de ce choix, a une vie pas forcément belle, pas forcément très morale. En effet, la guerre, la peur de mourir ou d'être torturé et laisser pour mort peut faire basculer vers les choix les plus immoraux, les personnes les plus droites d'esprit. C'est la guerre, voilà. Si tu as bien compris ça et que tu sais dans quoi tu es engagé, tu peux désormais lire la suite.

Comme tous les membres validés (on note l'entrain de Hermione qui vous félicite, ouaip, elle est contente.) tu vas devoir venir recenser ton avatar dans un premier temps. C'est très important car si tu ne le fais pas, le staff ne le fera pas pour toi, ni Hermione d'ailleurs (bon okay, elle est à l'état d'embryon pour le moment, mais quand même !) Ensuite, tu devras t'occuper de ton personnage, de bien l'intégrer dans le jeu et pour cela, tu devras recenser son patronus, son métier mais aussi son ancienne maison quand il étudiait à Hogwarts. Tu pourras ensuite, si tu le souhaites, ouvrir un registre de liens et de rps ainsi que tenir un journal intime pour conter l'histoire et les mésaventures de ton personnage ! Enfin, n'oublie pas le flood qui est un très bon moyen pour t'intégrer au sein du forum et de sa communauté !

Concernant ta fiche sinon, Hermione a un petit mot à te dire à ce sujet, elle l'a trouve (...) Bon je t'ai déjà tout dit il y a deux jours. Etant donné que l'autre Molly ne m'a pas répondu et ne c'est pas connectée. Le rôle te revient de droit. Désolé pour l'attente.

Et enfin, un dernier mot ! Bon jeu parmi nous !