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 brother and sister (r)

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Vesper Nott
Vesper Nott
SPELLS : 79
AVATAR : natalie dormer
until the end
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MessageSujet: brother and sister (r)   brother and sister (r) EmptyDim 7 Juil - 15:53


Ypsôs Nott & Vesper Nott
City of London (apartment)
brother and sister.
Le diner allait bientôt commençait et il n'était toujours pas là, elle n'espérait plus de le voir. Vesper suivant ses parents s'installa la chaise ne quittant pas une seule seconde la chaise vide de son frère qui se trouvait en face de la sienne. Il avait décidé de pas se montrer, il n'était pas venu, préférant faire autre chose, sans doute s'amuser dans les bras d'une femme, cette pensée la rendait presque folle, mais Vesper allait se faire un plaisir de lui rappeler que le dimanche c'était le jour des diners de famille et pas autre chose. Assise à table, le regard inexpressif, ses yeux fixant cette chaise vide, Vesper refermait machinalement sa main sur son verre de vin, pour ensuite l'apportait lentement à ses lèvres. L'odeur du vin caressa doucement ses narines, rien qu'à cette agréable odeur, elle pouvait deviner qu'il était excellent mais son père interrompit ce doux moment commençant ses réflexions qui avaient le don de rendre folle la jeune mangemort. Stopper dans son élan, la jeune femme posa doucement son regard vers son père furieux prétextant que c'était de sa faute si son frère n'était pas là. Vesper endossait la responsabilité sans broncher mais elle en pensait pas moins. Elle respira fermant les yeux quelques secondes pour les ouvrir. Elle respira... Des reproches, encore et toujours les mêmes. Il continua sa tirade, toujours la même, mais elle n'écoutait plus, elle entendait sa voix, mais sans comprendre la moindre de ses paroles, ça lui passait au dessus. Elle se contrôlait mais elle était lentement sur le point d'exploser. Finalement, dans sa lancée, elle but son verre de vin rouge jusqu'à la fin, avant de le poser brusquement sur la table, mais son père ne prêta pas attention à son geste, il était bien trop préoccupé à lui faire la morale. Elle se servit de nouveau du vin, et le but aussitôt. Elle enchaîna un autre verre sous les yeux ahuris de sa mère qui se taisait. La jeune femme s'enfichait atrocement. Son frère n'était pas venu pour éviter cette mascarade, Vesper, présente avait trouvé son divertissement. Sa mère appela son mari pour l'interrompre et il posa enfin ses yeux sur sa fille. « Tu m'écoutes ? » Pas du tout. Aucune réponse. Il frappa violemment sur la table retirant la demoiselle de ses songes. « Vesper. » Vesper termina son verre, le regard perdu, avant de se lever. Elle jeta son regard sur son père le défiant , elle le détestait, il l'énervait. Fatiguée de l'entendre se plaindre à longueur de journée, fatiguée d'être toujours sa cible, elle posa sa serviette violemment sur la table. « Si vous voulez bien m'excuser... » Pas un sourire, le visage vide d'expression, elle partit de la pièce ignorant ces appels, ignorant ses ordres futiles et elle transplana dans l'Allée des Embrumes.

Elle regardait son verre de Whisky Pur Feu, absorbée par sa couleur et les glaçons qui gisaient au fond du verre, les yeux rivés dessus, ses doigts caressaient le verre froid et presque avachie sur sa table, elle jouait ses mèches blondes. Vesper cherchait à tuer le temps. Elle jeta un rapide coup de d'oeil vers l'extérieur, la nuit était tombée et la lune étincelait au milieu des étoiles. Elle ne savait pas vraiment qu'elles étaient ces émotions, mais elle était énervée. Finalement, au bout de quelques minutes, elle se leva mais l'effet de l'alcool la fit rasseoir sur sa chaise. Elle respira... Et sortit quelques gallions qu'elle déposa sur sa table avant de sortir de cet endroit et à nouveau transplaner. Lorsqu'elle atterrit, elle manqua de faire tomber des babioles déposées sur la table basse. Vesper manqua aussi de tomber. Elle n'aurait peut être pas dû transplaner dans cet état. Plongée dans une obscurité certaine, elle devinait que son frère n'était pas là, encore. Elle l'attendrait. La jeune femme connaissait cet appartement comme sa poche, petit, décoration arrangé au goût d'un homme, c'est à dire sans aucun goût, mais ce qu'elle connaissait aussi c'était sa petite réserve où il conservait toutes ses bouteilles. S'approchant du placard, elle attrapa sa bouteille de Whisky Pur Feu qu'elle lui avait offerte, légèrement entamé. Les amusements étaient loin d'être terminés. Elle apporta la bouteille à ses lèvres et but, une, deux, trois gorgées avant de de l'enlever et de la garder contre elle. Elle s'approcha de la fenêtre regardant les moldus passer sous ses yeux. Puis ses yeux dérivèrent sur la rue, toutes les voitures garées les unes derrière les autres, les réverbères qui brillaient de mille feux pour rassurer les habitants de l'obscurité qui pouvait parfois faire peur. La mangemort resta ainsi plusieurs minutes avant de finalement entendre un bruit, elle tourna son regard vers l'entrée, un bruit de serrure et la porte s'ouvrit. Vesper resta silencieuse posant de nouveau son regard sur la rue. « Ton absence a été remarqué. J'ose te rappeler que le dimanches soir, c'est le jour du dîner de famille.» Elle se tourna vers lui, se dévoilant et la lumière s'alluma la faisant ainsi plisser des yeux. Elle le toisa quelques instants avant de finalement boire une nouvelle gorgée. « Mais je vois que tu avais autre chose à faire... Délicieuse. »
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Ypsôs Nott
Ypsôs Nott
SPELLS : 43
AVATAR : vinnie woolston
until the end
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MessageSujet: Re: brother and sister (r)   brother and sister (r) EmptyLun 8 Juil - 15:21


Ypsôs Nott & Vesper Nott
City of London (apartment)
brother and sister.
« Ypsôs, il faut que j’aille travailler. » Un grondement, tandis qu’il conserve le regard fermé, ses mains accrochant sa victime, suffisamment pour qu’elle ne puisse s’échapper, qu’elle ne puisse le quitter, et plus encore lorsqu’elle étouffa un rire, ses lèvres venant s’aventurer sur sa peau nue, ses doigts caressant ce début de barbe naissante. A peu de choses près, la jeune femme à la chevelure blonde était ce qui se rapprochait le plus d’une relation de couple, à d’autres égards pourtant, Nott savait pertinemment qu’elle ne pourrait que demeurer la femme de l’ombre, le statut de son sang étant bien trop souillé pour qu’elle soit acceptée dans la famille. Hëllie était et demeurerait à jamais la créature ayant gagné l’affection du cadet des Nott, mais qui ne pourrait jamais le clamer haut et fort, et cela durant depuis bien des années désormais. « On est dimanche… Personne ne travaille le dimanche. » Grogna t’il entre ses dents, encore ensommeillé, gardant sa poupée contre lui, ses doigts dérivant le long de sa peau dorée. « Je te rappelle que j’ai un second métier, et que celui-là ne connait pas de jour de repos. » Un soupir cette fois, tandis qu’il ouvre les yeux, observant en tout premier lieu le plafond, comme pour s’accoutumer à la lumière encore faible, avant de finalement le détourner vers la fausse dulcinée. « Fixe ton prix et je te garde pour la journée complète. » Sérieux ? Bien entendu qu’il l’était, pas tout à fait sous l’emprise de sentiment, mais bel et bien pour cacher cette solitude le guettant, ou pour fuir une obligation qui arriverait bien trop tôt. « Ce n’est pas possible et tu le sais. Et après ? Tu n’as pas ton repas de famille ce soir ? » Nouveau soupir, glacé cette fois, tandis qu’il cherche sur la table de chevet son paquet de cigarettes, venant en caler une au coin de ses lèvres pour mieux l’allumer. Le fameux repas de famille du dimanche, tradition quelque peu agaçante aux vues des derniers évènements, les conversations ne tournant plus que désormais sur ce fameux mage noir à l’ambition grandissante et aux idéaux si semblables à ceux des Nott. Nombreux membres de leur famille avaient fini par rejoindre les rangs de cet homme, sa sœur ainée ayant été la dernière à entrer dans cet ordre. Lui seul résistait encore à cet envahisseur, clamant haut et fort qu’il n’était que trop peu désireux de devenir le toutou du Lord. Pour autant, il ne s’opposerait pas à ce dernier, ne veillant finalement que sur sa moitié de loin, peu désireux de la voir tomber. Première volute de fumée dans les airs, et le voilà suffisamment penseur pour ne plus retenir sa belle qui déjà s’évade du lit pour se préparer. L’heure est déjà bien avancée, l’après-midi, entamée. « J’avais oublié. » finit il par décrocher, se levant de même pour rejoindre la jeune femme blonde, achevant ce moment de répit par une tendresse dont il ne sait faire preuve qu’avec elle, pour mieux s’évader par la suite, rentrer chez lui certainement et terminer quelques travaux sans importance avant de se rendre au manoir familial qu’il a quitté depuis bien longtemps.

Pourtant, n’a-t-il pas déjà posé un pied dans son propre appartement qu’un bruit de bec à sa fenêtre attire déjà son attention, l’incitant à se faire curieux quant à la lettre du ministère qui lui est adressée. Allons bon ! Personne ne dort jamais là-bas ? Peu de surprise à la vue de la demande, tandis qu’il se dirige déjà vers sa propre chambre, se débarrassant par la même occasion de ses vêtements souillés par l’odeur de femme, troquant sa tenue actuelle pour une bien plus formelle, bien plus adaptée à ce qu’il va devoir exécuter. C’est au moins une activité qui l’occupera toute la journée, et pour laquelle il semble être le mieux qualifié, considéré par ses compères comme étant le meilleur dans cette profession dangereuse, au grand damn de son paternel qui l’aurait bien plus vu derrière un bureau. D’y penser pourtant, il n’en a guère le temps, transplanant déjà pour des contrées plus reculée du Royaume-Uni, pour mieux se retrouver face à la créature dangereuse qu’on l’a sommé d’arrêter avant qu’elle ne commette plus de dégâts. Un travail de traque, de ruse et de violence des plus sommaires, son esprit travaillant déjà sur la meilleure façon d’exterminer la chimère apportée illégalement sur le sol anglais. Il ne doute pas un instant qu’il aura à faire aux aurors plus tard, afin de leur donner le plus d’informations possibles. Qu’importe, ce n’est qu’un détail, tandis que ses paumes brûlent déjà sous le regard vif et sauvage de la légende grecque incarnée face à lui. Et les heures défilent, jusqu’à ce que le soleil ne laisse place à sa froide compagne, observant l’homme jurer sous la conscience du retard irrécupérable. Tant pis pour le dîner familial s’entête t’il, tandis qu’il achève enfin la bête, rendue folle par des heures de traque et de pièges. Lui-même n’est pas en reste, certaines plaies se faisant plus profonde que d’autres, le sang suintant sa peau, sans qu’il n’y prenne garde, entamant la seconde partie de son travail, la récupération de composants à la valeur inestimable, pour enfin brûler le corps, ses paumes s’embrasant sous sa volonté pour consumer le poil de la créature et la faire disparaitre dans une sombre fumée. Quant à lui… le voilà qui disparait enfin, atterrissant devant son appartement, insérant la clé dans la serrure. Pourtant, à peine a-t-il mit un pas dans ce dernier que la douce voix de sa sœur l’interpelle, lui arrachant un rictus aussi agacé qu’amusé, sans qu’il ne daigne répondre à son accusation, se contentant d’allumer la lumière, se dirigeant dans le salon, sans jamais la quitter des yeux, alors qu’elle l’accuse de nouveau, jugeant par sa tenue abîmée. « Tu as une mine affreuse Vesper, certainement dûe aux nombreux verres que tu as vidé. Sers-m’en un veux-tu, j’ai un travail à achever si tu permets. » Comme maintenir dans le meilleur état possible les restes de la chimère fraîchement abattue, l’incitant à se diriger vers la cuisine, ayant bien plus office d’être un laboratoire que pour cuisiner, les organes venant bien vite rencontrer la surface lisse du plan de travail tandis qu’il exécute déjà son travail minutieux. « Que me vaux ta visite ma douce, hormis le fait que mon absence à été remarqué et que père t’a encore certainement reproché le fait de ne pas être capable de conserver un œil sur moi ? »
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