Lord Voldemort est l'un des plus dangereux mages noirs de Grande-Bretagne, mais aussi du monde. Derrière ce nom d'emprunt se cache une personnalité incapable de comprendre et de ressentir l'amour, ainsi que de la complexité et une grande puissance, une haine viscérale pour les nés-moldus. Voldemort possède bien des noms d'emprunt, bien des pouvoirs inconnus. Il a dépassé les limites du royaume qu'on appelle le mal pour vaincre l'immortalité. Son apparence n'est plus celle d'un jeune homme charmant. Il aborde un visage d'une blancheur maladive et des yeux injectés de sang. Un crâne dégarni pratiquement chauve et de grands doigts squelettiques. La seule évocation de son nom suffit à faire trembler n'importe quel sorcier.

Tom Marvolo Riddle est le véritable nom de Lord Voldemort, sorcier de sang mêlé. Il est l'un des plus dangereux sorciers de tous les temps. Tom devient alors l'un des plus redoutables mages noirs que la Terre ait porté en prenant définitivement le titre de Lord Voldemort. Le nom est construit par l'anagramme : « JE SUIS VOLDEMORT = TOM ELVIS JEDUSOR » (il s'est lui-même attribué le titre de Lord) ; dans la version anglaise, "I AM LORD VOLDEMORT = TOM MARVOLO RIDDLE". Le nom Voldemort, admis comme étant un mot-valise français, est utilisé dans toutes les langues, la question de l'homonymie du mot « vol » restant ouverte. Il regroupe autour de lui une troupe de sorciers appelée les « Mangemorts ». Ces derniers le suivent pour diverses raisons : peur, conviction idéologique, simple intérêt, ensorcèlement, ou tout simplement bêtise. Cette époque, où Voldemort était à l'apogée de son pouvoir, est certainement l'une des plus sombres pour le monde de la Magie. En effet, « Le Seigneur des Ténèbres », ainsi nommé par ses serviteurs, est sans pitié et n'hésite pas à tuer toute personne se mettant en travers de son chemin. (LIRE PLUS ?)

Albus Dumbledore est considéré, pour une grande majorité des sorciers d'Europe et même par delà, comme le plus grand sorcier du siècle. Ce titre honorifique lui fut offert après sa victoire contre le sorcier et mage noir mythique Gellert Grindelwald contre qui Albus remporta une victoire écrasante. Suite à cela, Dumbledore gagna un grand respect au sein de la communauté des sorciers. Il travailla avec l'alchimiste français Nicolas Flamel et fut celui qui découvrit les huit usages du sang de dragon. Albus Dumbledore était d'ailleurs tout prédestiné à devenir le prochain ministre de la magie, mais il laissa volontiers ce poste à plusieurs reprises et resta au sein de l'école Hogwarts. Selon lui, c'était là qu'il fallait agir et aussi longtemps qu'il serait vivant, Albus enseignerait son savoir aux jeunes générations. Dumbledore est le fondateur de l'Ordre du Phoenix est le gardien du secret. Il est le secret que craint le plus Lord Voldemort et dirige le camp adversaire. Il symbolise lui et l'Ordre, l'espoir disparu.

Albus Perceval Wulfric Brian Dumbledore est considéré par beaucoup comme le plus grand sorcier de notre époque. Dumbledore fut directeur de l'Ecole de Sorcellerie Poudlard à partir de 1955 environ à 1997. Il est célèbre pour avoir écrasé le mage Grindelwald en 1945, pour avoir découvert douze propriétés du sang de dragon et pour son travail en collaboration avec son ami, l'alchimiste Nicolas Flamel. Dumbledore était le président sorcier du Magenmagot et Manitou suprême de la Confédération internationale des mages et sorciers. LIRE PLUS ?

Sorcière issue d'une famille nombreuse comptant pas moins de quatre filles et trois frères, Millicent grandit à l'abri du tumulte de Londres, dans les Hautes-Terres d’Écosse. Cadette de sa famille, elle développa rapidement un réel intérêt pour la magie et l'histoire. Petite, on la disait la plus douée de la famille. Elle pouvait parler aux animaux et bien d'autres choses. Ursule, sa mère, déclara qu'un jour et par erreur, sa fille ensorcela une moldue qui lévita dans un parc bordant le petit village de Troy's Wood. Les Bagnolds ne se sont jamais véritablement illustrés à l'exception de Ramsay Bagnold (oncle de Millicent) qui fut un des plus brillants gardiens que l'équipe de Quidditch d'Angleterre eut jusqu'à ce qu'il prenne sa retraite et soit élu directeur du département des jeux et sports magiques (il décéda des suites d'une Dragoncelle fulgurante à seulement 57 ans.) Rien n'aurait laissé penser que Millicent Bagnold allait devenir une brillante et redoutée sorcière. Elle intégra l'école Hogwarts à onze eux et fut envoyée dans la maison de Salazar Serpentard pour son ambition dévorante selon le Choixpeau. La scolarité de Millicent fut brillante et déterminante dans le choix de carrière qu'elle embrassa après l’obtention de ses diplômes. Ses professeurs savaient qu'ils allaient entendre parler d'elle, ainsi que Albus Dumbledore qui avait jugé en elle, un immense talent (Dumbledore était alors un jeune professeur de métamorphose). Ce fut presque inexacte pendant vingt longues années. Millicent Bagnold engagea une formation pour devenir Auror mais ne la termina pas (les rumeurs disaient qu'elle était pourtant une brillante occlumencienne ayant même défait Alastor Maugrey le prodige) pour intégrer le département de la Coopération internationale magique. Envoyée comme jeune ambassadrice en France, Millicent y passa vingt longues années. Personne n'entendit plus parler (en dehors de sa famille) de la brillante et prometteuse sorcière. Les années où Millicent travailla au sein du ministère de la magie français sont assez floues. On lui prête cependant (d'après une source du ministère français, une dénommée Melle Vertchamps) une romance avec un jeune sorcier français du nom de Charles Duchannes, mais rien n'a jamais pu être formellement prouvé. Du jour au lendemain, Millicent revint à Londres et abandonna son poste d'ambassadrice pour reprendre sa formation d'Auror malgré son âge avancé. La sorcière marqua les esprits en obtenant sa licence en moins d'une année. Brillante, douée et particulièrement intelligente, elle fut la seule à mettre en déroute des sorciers reconnus comme Ruth Clarke ou encore, Esmée Moriarty. Déterminée à gravir les échelons, elle s'illustra auprès du ministre de la magie d'époque en l'informant de sa capacité à parler plus de vingt-quatre langues dont celle des êtres de l'eau et des trolls/ogres/géants (on suppose que Millicent grogne pour se faire comprendre !) Admirée ou crainte, Millicent gagna sa place au sein du Magenmagot comme conseillère puis juge quelques mois plus tard et ce, pendant quelques années. C'est pendant cette période des années 1970 que Lord Voldemort commença à frapper. Millicent arriva à convaincre le ministre de la magie d'époque de passer dans une offensive directe plutôt que de rester passive. Elle gravit encore un échelon en prenant la charge du bureau des aurors. Dirigeant ses troubles d'une main de fer (dans un gant de velours), Millicent fut récompensée en 1976 par l'Ordre de Merlin de première classe après avoir orchestré une action contre les premiers partisans de Lord Voldemort. Le ministère tomba cependant en déroute et la figure déterminée, imperturbable, parfois hautaine de Millicent rassura le peuple. Le ministre fut forcé de démissionner sous la contrainte et la pression et c'est Millicent qui arriva à obtenir le poste. Heureuse ? Le mot était faible. Si Millicent brillait enfin sur le devant de la scène après tant d'efforts, elle se dévoila enfin sur ses vingts années passées en France. En plus de son travail d’ambassadrice, Bagnold avait travaillé l'art de l'alchimie, appris plusieurs langues et avait lié observé les français. Elle changea radicalement le ministère pour se mettre à se battre contre les forces du mal, s'engageant dans une politique austère et d'une extrême sévérité où les simples partisans ou admirateurs de Vous-Savez-Qui finissent dans les cellules humides d'Azkaban à attendre la peine suprême du Baiser. C'est un combat difficile que Millicent a su préparer avec le temps et elle ne le perdra pas, sous aucun prétexte. (extrait de la biographie : LA VÉRITABLE VIE DE LA DAME-SORCIERE)

Froide, hautaine et parfois orgueilleuse, la figure du ministère de la magie en la personne de Millicent Bagnold peut faire peur, mais en ces temps troublés, la ministre représente la dureté nécessaire pour croire encore à une certaine sureté d'un gouvernement en déroute total. Millicent est une femme forte, qui ne se laissera jamais marcher sur les pieds. Autoritaire et déterminée à vaincre Lord Voldemort, elle met tout en œuvre pour essayer d'y parvenir, mais ses tentatives se sont soldées par des échecs. Respectueuse envers Albus Dumbledore qu'elle a eu pour jadis enseignant, Millicent n'apprit cependant pas l'existence de l'Ordre qu'elle dit être une bande de sorciers renégats et inexpérimentés comparés aux forces de son ministère.