NAME : La très noble et très ancienne famille Black est son fardeau, son pouvoir, et sa bénédiction. Mariée à son propre cousin, Walburga n'a jamais perdu son nom. Ce nom qu'elle chérit plus que sa propre vie.  SURNAME : peu sont ceux qui osent l'appeler déjà par son prénom, Lady Black est la formule d'usage. Bien que de nombreux surnoms tel que le dragon, ou la dame de fer sont très rependus. AGE : Son age, cette chose honnie qu'elle préférait enterrer. Du haut de ses quarante-deux ans, elle n'en parait souvent que trente-cinq, et rêve silencieusement d'une potion de jeunesse éternelle. PLACE OF BIRTH : le célèbre manoir Black comme le veut la tradition, fut l'endroit où elle vu le monde, manoir qui  à son plus grand désagrément fut donné à son frère, Cygnus.  YOUR BLOOD :  pur. toujours pur.  MARITAL STATUS : son mari est décédé l'année dernière dans des conditions mystérieuses, elle est devenue ainsi veuve avec plaisir.  JOB OR OTHER : Depuis la mort de son cher et tendre, et que ses fils sont pour elle, trop jeune pour prendre la relève, elle s'occupe elle-même de toutes les parts de la famille Black sur le marché, et de faire fleurir l’héritage familial. Elle est donc la chef de famille et la tête des entreprises Black. Bien que d'une certaine façon, vu que son mari était un incapable, elle l'a toujours été. Vous la verrez donc très souvent au Ministère gueulant sur ses inutiles burreaucrate qui lui mettent des bâtons dans les roues. Paix à leur âme. YOUR WAND : Vingt trois centimètres, crin de licorne, et bois d'aulne. Difficilement domptable, mais puissante.  PATRONUS CHARM : Etant donné que ce n'est pas une vraie mangemort, et qu'elle est pourvu de sentiment joyeux, son pratonus prend la forme d'une hyène. BOGGART : A l'image de Blanche Neige, une vieille femme lui tendant une pomme est la forme que son épouventard prend, simple matérialisation de la vieillesse. HOGWART HOUSE : comme toutes les générations qui lui ont précédée, elle est allée à Serpentard.  YOUR CHOICE : Pro-mangemort, elle suit la tradition bien apprise, et ferait tout pour la suprématie du sang. MIRROR OF ERISED : Elle, bien plus jeune entourée de ses fils enfants. Etrange image quand on se fit à sa réputation.  

Le corps calciné de sa victime sentait le poulet rôti, à tel point qu’un haut le cœur la pris. Elle ne bougeait pas. Elle ne voulait pas comprendre ce qui l’avait poussé à commettre un acte aussi horrible. Les Sang de Bourbe ne sont que de la vermine. Ils ne méritent que d’être exterminés. Elle avait fait ce qui est juste. Elle en avait le droit. « Tu vois Bellatrix, c’est comme ça qu’on torture quelqu’un. » Son rire hystérique se fit sentir dans la salle. Elle lui envoyait encore un de ses regards farouches. Walburga n’avait jamais pu apprécier sa nièce, sûrement car c’était dans elle qu’elle se voyait le plus. Elle était son âme brisée, son miroir cassé. « Tu m’impressionnes, ma chère tante, je ne pensais pas que la vieillesse apportait de la puissance. » Elle serra les dents, la pique ne passait pas. Elle ne supportait pas qu’on lui rappelle qu’elle n’était plus de toute fraicheur.  « Ton maître est pourtant si vieux, tu aurais dû t’en douter. »  Elle haïssait ça. Elle haïssait ce climat, cette guerre. Elle avait beau faire sa dame, faire sa grande bourgeoise avec le Lord à sa table. Elle ne voulait juste que tout cesse. Que ses fils soient protégés, et qu’ils reviennent à elle. C’est cette guerre qui les lui a arrachés. Cette guerre et ses idéaux.  Oui, elle aimait tellement quand elle prenait son journal et lisait à Sirius ses insanités, juste pour voir dans son regard cette lueur de rage. Oui, ils étaient des abominations. Oui, le lord avait raison. Mais tuer les moldus n’arrangeraient rien. Il ne risquait que de se faire détruire. A trop poussé l’idée dans ses extrêmes les gens se rétractent. A trop faire peur, les gens paniquent. Non. Son trône n’était que trop menacé. Sa famille bien trop en danger. « N’oublie pas, que ce maître est aussi le tien. » Walburga ne répondit pas. Les Black n’ont pas de maître. Elle n’était soumise à aucun homme. Elle avait lutté plus de vingt ans pour avoir le pouvoir dans cette famille, et ce n’est pas un vulgaire mâle qui lui ravirait son pouvoir.  Walburga attendra. Attendra qu’il tombe. Car il tombera. Il tombe tous. Et elle, elle restera. Grande et forte.

I. L’ÉPOUSE.
femme infidèle, femme immortelle.
décembre 1979

Une petite fille court. Elle joue, elle s’amuse. Elle rigole. Sa mère l’appelle. Elle n’aime pas quand sa maman l’appelle par son nom en entier, elle a toujours peur d’avoir fait une bêtise. Pourtant aujourd’hui elle n’a rien fait de mal, elle en est presque sûr. « Walburga, je te présente Orion, c’est ton cousin, et ton futur mari. » La petite fille hoche la tête sans trop comprendre. Si c’est son cousin, elle ne devrait pas l’épouser non ? C’est interdit ? Sa maman lui avait donné une baffe lorsque Cygnus avait osé lui faire un bisou quand elle avait mal. Alors pourquoi elle pourrait l’épouser lui ? Il était si beau. Avec ses cheveux noirs, et ses grands yeux. Mais il la regardait comme si elle était nulle. Non. Elle ne l’aimait pas, elle n’était pas nulle. Oui, elle se promit qu’elle serait meilleure que lui. En tout.

Walburga est une de ses femmes qui ne se sont pas vu vieillir. Ce n’est qu’un matin, en se regardant dans la glace qu’elle aperçut les ravages du temps. La fatigue, la noirceur avaient pris ses traits. Le temps s’écrivait sur son visage. Elle n’était plus la douce enfant qu’elle était. Non, elle était Walburga Ursula Black, la dure, la froide.  Sur sa pommette, une étrange marque prenait sa joue. Ses doigts fins la caressaient doucement, trace de la haine que lui portait son mari. Le geste de trop. Il y a de ses amours un peu étrange, celui que toutes les cousines ont un jour pour leur cousin. Un  amour doux et pur, tellement différent des autres. Le premier amour enfantin et innocent. Cet amour, Walburga le regardait dans la glace. Le portrait de ses vingt-cinq ans d’enchaînement. Bétail, elle avait été élevée pour l’aimer. Mais cet amour d’enfant ne peut vivre avec le temps, il n’est qu’éphémère. Poussé, forcé, il ne s’envoie pas grandit mais détruit. Walburga et Orion, ce n’était que ça. Une destruction, bien trop programmée. Elle était une reine. Une reine sans roi désormais. Un éclat sortit de sa gorge, froid, sinistre et fou. Ravage d’une passion consumée. Une joie intense, euphorisante la prit. Elle était heureuse. Heureuse et libre.

De son lit céleste, il doit bien rire. Au final, elle a gagné. Cette bataille silencieuse qui a duré toute sa tendre vie, cette bataille qu’on nomme mariage. Il était fort, il était puissant. Mais elle était tellement plus que ça. Il l’avait regardée plus de vingt ans avec des yeux d’amant, alors qu’elle ne le pouvait plus. Il l’avait aimée à s’en couper les veines. Elle n’avait jamais pu le chérir comme il le souhaitait. Il a toujours su qu’elle finirait par l’achever. Il se souvenait que trop bien du jour de son mariage. Elle était digne, le visage fermé. Et quand enfin il dut l’embrasser, ce n’était que des lèvres de morte. Walburga n’était pas de ses femmes qu’on mettait en cage. Il l’avait compris que trop tard, quand le roi des aulnes vint le prendre, et sur sa bouche, le goût doucereux du poison déposé par un baisé de sa chère et tendre.

II. LA FEMME.
femme-enfant, femme-amant.
juin 1978
L’amant l’attend. Il est là. Dans cette salle. Elle, elle n’ose pas vraiment entrer. Pas qu’elle est peur. Du moins pas de lui. C’est un gamin, bien trop jeune pour elle. Si faible, alors qu’elle est si forte. Sa cigarette se consume trop rapidement. Ses doigts jouent avec. Signe de nervosité ? Non, Lady Black n’est jamais nerveuse. Elle est sûre que c’est cette saloperie moldue qui la fait trembler.  Elle ne sait même pas pourquoi elle a commencé. Sûrement qu’elle aimait l’air qu’elle avait un porte-cigarette à ses lèvres. C’est la seule chose qu’elle appréciait chez eux. Ça et leur technique de torture, terriblement passionnant. Ses immondices ne devraient pas existé, mais l’interdit libérateur de se voir consumer à petit feu par le long poison qu’elle absorbe, lui faisait atteindre pas à pas l’ataraxie. Elle respire. Calme. Elle ne doit pas paniquer. Elle ne peut pas. Elle est la reine des Sang Pur, l’unique matriarche des Blacks. Même son mari ne peut rien contre elle. Alors pourquoi a-t-elle si peur de le blesser ? Pourquoi ne veut-elle pas voir dans ses yeux clairs et fatigués cette once de reproche ? Il fait de même qu’elle. Elle l’a si souvent retrouvé à copuler avec des jeunes filles même plus jeune que leur fils cadet. Elle avait même réussi à faire perdre toute sa gloire à son frère, et devenir la branche principale de la famille. C’était d’une certaine façon un coup du sort, avec l’incapacité de sa femme d’avoir des fils. Revanche qu’elle prenait sur lui de l’enfance, que d’avoir un v là il lui faudrait un p.  Elle ouvre la porte, sereine, et digne. « Tu es en retard. » Elle sourit, déposant un baisé sur l’épaule de l’éphèbe. « Je savais que tu m’attendrais. »  Pourquoi est-elle si faible face à la jeunesse ?  Sûrement parce que malgré tout, Walburga est une femme. Et une femme a besoin d’être aimé.

septembre 1979
Flânant dans les boutiques du chemin de traverse, Walburga cherchait la robe idéale. Superficialité à vomir, elle devait être la plus belle. Phrase d’enfant de huit, elle en convenait. Mais c’était un bal pour son fils, elle se devait d’évincer toutes ses gamines, et leurs pâles vingt ans. Elle était sa mère. La  personne la plus importante de la soirée après Regulus. Car la communauté Sang Pur malgré que tous les mâles s’en proclament les rois, ce n’était qu’un petit monde de femme. Et ça en était à qui aurait la plus belle réception, le plus beau mariage, et surtout les meilleurs enfants. En ce jour, elle se devait d’être fière. Regulus allait rentrer dans les rangs du Lord, ce qui était la raison officieuse du Bal, bien entendu. La valse macabre ne faisait que commencer. « Walburga, ma chère amie ! » Ses dents se serrèrent automatiquement. Elle haïssait cette femme, et encore plus lorsqu’elle l’appelait sa ‘chère amie’ c’était d’un mauvais goût. La matriarche Lestrange.  Belle, froide. A presque cinquante ans, elle avait moins de ride qu’elle. Un magnifique gâchis. Rien que le simple fait que cette femme soit rattachée à elle dans l’arbre généalogique lui donnait des frissons de dégout. Elle se retourna vers elle avec un magnifique sourire. Trop beau pour être vraie. « Comment allez-vous très chère ?  J’ai entendu dire que Rabastan n’était toujours pas marié ? » Première attaque. «  Très bien, et votre chère Sirius, toujours un adorateur des Sang de Bourbe ? » Elle riposte. « Au moins, il n’est pas rechercher pour million de gallions. J’espère que vos nerfs arrivent à le supporter. »  Contre-attaque marquante. « Oui, mais j’ai appris qu’il ne serait tardé pour votre cadet, vous arriverez très bien à gérer la situation j’en conviens. » Presque à terre, elle l’achève. « Il est certain que votre mari sera ravis d’avoir de la compagnie avec vos fils, si ils sont arrêtés, et vous vous retrouverez seul. Du moins, vous pourrez compter sur moi. Comme toujours. Ce fut un plaisir. » Elle sourit aimable et digne. Tournant les talons, cherchant toujours cette tenue qui ferait rabattre son caquet à cette garce.  Dans cet univers impitoyable, être une femme était autant un honneur qu’un fardeau. Et Walburga fera toujours tout pour rester sur son trône.

III. LA MÈRE.
femme mère, femme amère.
juillet 1976
« Ou est-il ? Ou est-il ? » Hurla-t-elle désemparé. Elle n’avait que vingt ans quand elle tomba enceinte de lui. Et elle avait aimé, ce petit être de toutes ses forces. « Je ne sais pas. Sûrement dehors. »  Il avait le regard fuyant. Regulus n’avait jamais su lui mentir. Surtout quand cela concernait son frère. « Regulus, dis-moi la vérité ! DIS-LA-MOI ! »  LA panique l’avait prise. Elle faisait son possible pour rester impassible, pour ne rien montrer. Mais elle ne pouvait pas. Il avait disparu.  « Partit. » Elle eut un choc. Au fond d’elle, elle le savait. Elle l’avait su au moment où elle avait ouvert la porte, et vu sa chambre vide. « Comment-ça partit ? » Elle faisait l’idiote, refusant de voir la vérité en face. « Il nous a quitté mère. » Potter. Ce nom se figea dans son esprit. Et tous les scénarios de vengeance s’additionnèrent. Oh oui, elle jura sur l’honneur des Black, les Potter payeront.  « Non. Il ne peut pas. » Elle attrapa un vase et le jeta de toutes ses forces contre le mur dans un hurlement féroce.  « Mère. »  Regulus impuissant, essaya de la raisonner. Il ne savait que faire. Jamais, il ne l'avait vu ainsi. Elle maudissait son mari, Poudlard, ses sales sangs de bourbe qui le lui ont volé. « Il n’a pas le droit. »  Elle en attrapa un autre, et commença le massacre. Des éclats de porcelaines volaient. « Il est à moi. A MOI.  Je l'ai porté neuf mois dans mon ventre ! Je l'ai élevé pendant seize ans !  Il ne peut pas me quitter. IL NE PEUT PAS. » Elle n’avait que vingt ans quand elle tomba enceinte de lui. Et elle avait aimé, ce petit être de toutes ses forces. C’était son bébé. Son amour. La seule chose qui la faisait encore avoir de l’affection pour Orion. Et il était parti. Il l’avait laissée seule, sans même un regard pour elle. Mais surtout en laissant son frère derrière. Son frère qui l’avait toujours vu comme son héros.  A cet instant, toute l’admiration qu'elle avait pu avoir, sur son soi-disant courage s’envola, et ne put que penser que le grand Sirius Black n’était qu’un lâche.

décembre 1979

Elle avait si mal. Les contractions se rapprochaient difficilement. Le médicomage l’avait prévenu,  cela allait être risqué. Elle n’était même pas sûr d’en ressortir vivante. Orion était là. Sans un regard pour elle. Il hurlait sur ses incapables alors qu’elle souffrait de plus en plus. Non elle n’ira pas à Saint Mangouste. Il refusait. La tradition. La tradition. Elle avait si mal. Bien plus mal qu’avec Sirius. Il allait lui prendre. Non elle refusait. C’était son bébé. Ses bébés. Un cri déchira la salle étouffante. Il était là. Sa deuxième perfection. Son deuxième miracle. Elle ne savait pas comment elle allait faire. Elle ne savait pas comment elle pouvait autant aimer des êtres. Des longues larmes coulaient sur ses joues. D’allégresse, de joie, mais surtout de peur. Deux mains puissantes vinrent lui prendre son miracle. « Non. Laissez-le-moi. C’est le mien. »  Hurla-t-elle en se débattant. « Non, Walburga. C’est un garçon. Il est à moi. » Un cri de rage se mêla à ses sanglots. Elle était seule. Si seule. Sans eux. Et elle pleura à ne plus s’en arrêté. Elle pleura pour la dernière fois de sa vie. Et se refit la promesse qu’enfant elle s’était faite, elle serait meilleure que lui. Et le détruirait.

Assise à la fenêtre elle repense à cet instant où son cœur s’est brisé en deux. A cet instant où elle sut qu’elle le tuerait, car il serait le plus grand rempart entre elle et ses uniques amours. « Ou vas-tu Regulus ? » Il pencha sa tête et déposa un baisé sur sa joue. « Nulle part maman. » Elle sourit. D’une mimique tendre comme elle n’avait plus l’habitude de faire. Oui. Elle le tuerait pour l’avoir éloigné d’un et privé de l’autre.

Sur une musique très conquérante (n'est pas peur, clique pour découvrir la musique de la victoire !) te voici enfin validé(e) ! Tout d'abord, nous te souhaitons nos félicitations, mais ce n'est pas tout ! Désormais, étant que membre validé, tu vas devoir lire les énoncés suivants. Tu as désormais pris un choix en faisant ta fiche, celui de collaborer ou de résister. Il est très important pour toi de comprendre l'importance de ce choix au vu de la situation et du contexte dans lequel nous jouons (ouais, c'est pas les bisounours quoi.) et que ton personnage sera soumis, en fonction de ce choix, a une vie pas forcément belle, pas forcément très morale. En effet, la guerre, la peur de mourir ou d'être torturé et laisser pour mort peut faire basculer vers les choix les plus immoraux, les personnes les plus droites d'esprit. C'est la guerre, voilà. Si tu as bien compris ça et que tu sais dans quoi tu es engagé, tu peux désormais lire la suite.

Comme tous les membres validés (on note l'entrain de Hermione qui vous félicite, ouaip, elle est contente.) tu vas devoir venir recenser ton avatar dans un premier temps. C'est très important car si tu ne le fais pas, le staff ne le fera pas pour toi, ni Hermione d'ailleurs (bon okay, elle est à l'état d'embryon pour le moment, mais quand même !) Ensuite, tu devras t'occuper de ton personnage, de bien l'intégrer dans le jeu et pour cela, tu devras recenser son patronus, son métier mais aussi son ancienne maison quand il étudiait à Hogwarts. Tu pourras ensuite, si tu le souhaites, ouvrir un registre de liens et de rps ainsi que tenir un journal intime pour conter l'histoire et les mésaventures de ton personnage ! Enfin, n'oublie pas le flood qui est un très bon moyen pour t'intégrer au sein du forum et de sa communauté !

Concernant ta fiche sinon, Hermione a un petit mot à te dire à ce sujet, elle l'a trouve (...) géniaaaaaaaale j'adore te lire ! Par contre oublie pas qu'elle quand même renié Sirius et l'a brulé de la toile représentant l'arbre généalogique hein xD

Et enfin, un dernier mot ! Bon jeu parmi nous !