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Poppy Hastings
Poppy Hastings
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MessageSujet: / not even pretending (r)   / not even pretending (r) EmptyMer 26 Juin - 21:10


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poppy hastings et molly weasley./ atrium.
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Brume. Poppy traversait les heures péniblement. Les yeux embrumés en continu. Un horrible bourdonnement l’empêchait d’entendre les conversations autour d’elle. Des flashs du corps de son fils se manifestaient devant elle plusieurs fois par jour, son cœur s’arrêtant un petit peu plus à chaque fois. Poppy espérait toujours que la prochaine vision stopperait son muscle de sang une fois pour toute. Hélas, elle devait vivre avec ce fardeau dans la peau, un horrible rappeltout de sa douleur. L’avantage de son statut de Langue-de-plomb au Ministère, c’était sans aucun doute la normalité d’un manque de bavardage inutile avec ces collègues. Même avant l’état pesant et stressant de la guerre actuel, le côté mystérieux et silencieux des Langues-de-plombs étaient tout à fait normal. La salle la plus apaisante pour la sorcière était la salle de la mort. Beaucoup plus chaleureuse à ses yeux que sa maison, théâtre du drame de sa vie. Malheureusement, il fallait bien qu’elle quitte son poste quelques heures. Des nouvelles mesures de sécurité était mise en place au Ministère –comme partout- et l’heure était venue pour elle de rentrer, le souhaitant ou non. Poppy traversa donc les différentes salles du niveau neuf, le regard vitreux, l’allure fantômesque, elle ne faisait définitivement pas l’impression d’être en grande forme. Poppy inspira profondément avant d’arriver au niveau huit : l’Atrium. Grand Hall du Ministère, L’Atrium était toujours bondé, servant de passages d’entrée et de sortie pour tous les sorciers. Au bourdonnement sourd dans ses oreilles s’ajouta celui des différents vas et viens des visiteurs, le bruissement des vêtements et le couinement des chaussures sur le sol. Elle arrêta son regard plusieurs secondes sur les statues d’or au milieu de l’Atrium. Et puis, soudainement, une voix se détacha de tout autre bruit perturbateur. Cette petite voix était claire et limpide, elle remplissait à présent complètement son esprit. Une voix d’enfant. Sa mine se décomposa, Poppy sentit ses jambes vibrer sous ses vêtements. Plutôt que de fuir cette voix douloureuse, elle la chercha avidement du regard. Trois petites têtes rousses se tenaient sous la statue du Centaure, ceinturé d’eau. Poppy s’approcha sans s’en rendre compte. Ses yeux refusaient de l’écouter, elle les regardait tour à tour, jamais elle ne verrait Robb atteindre ces âges-là. Deux d’entre eux devaient avoir à peine dix ans, les troisièmes trois ou quatre ans.  Poppy avançait sans réfléchir, elle avait presque envie d’attraper le plus petit d’entre eux et de s’enfuir par la première cheminé qui passe. La Maman apparut soudainement dans son champ de vision, brisant immédiatement tout les plans désespéré de la sorcière. Poppy l’avait déjà vu plusieurs mois plus tôt. Elle ne se souvenait plus de son nom ni de son prénom, mais se rappeler de sa grossesse lui souleva le cœur de nouveau. Comme un hibou en cage, Poppy tenta de se trouver une porte de sortie, en évitant donc toute discussion avec la sorcière rousse face à elle. Trop tard, cette dernière venait de la saluer, un grand sourire aux lèvres. « Bonsoir, Poppy Hastings c’est bien ça ? Molly Weasley, mon mari est Arthur Weasley du service de détournement de l’artisanat moldu ! » Poppy sentait la fierté dans sa voix d’être son épouse, elle lui tendit sa main, en toute sincérité. Mais Poppy la jalousait, la haïssait. Elle était le spectre de tout ce qu’elle n’était pas. Son fiancé était parti, qui ne l’aurait pas fait, après tout elle avait tué leur enfant. Elle n’était plus mère, elle ne méritait que le titre d’infanticide. Un masque à la place du visage, Poppy pris sa main à contre cœur, dans une poignée de main glaciale. « Mme Weasley. » Et puis, l’un des trois bambins décida de la tétaniser sur place, lorsqu’il tira sur la manche de sa mère. « Maman ! »
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MessageSujet: Re: / not even pretending (r)   / not even pretending (r) EmptyJeu 27 Juin - 8:08


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Tu devais te rendre au Ministère aujourd’hui. Tu n’avais pas le choix. Cela faisait plusieurs années déjà que tu travaillais à la maison, c’était pour toi le seul moyen de garder ton travail et de t’occuper de ta famille. Bien entendu, tu ne faisais pas de grandes expériences chez toi mais tu aidais pour les recherches qu’il fallait faire sur les expériences des autres. Et aujourd’hui, on voulait te lancer sur de nouvelles recherches et pour cela tu devais passer au Ministère pour qu’on te fasse part du contenu de cette expérience et que l’on te confit les ouvrages dont tu allais avoir besoin. Tu avais donc trouvé une baby sitter pour tes trois derniers fils que tu ne pouvais pas emmener avec toi mais tu décidais de prendre Bill, Charlie et Percy parce que même dans les circonstances actuelles, il fallait qu’ils sortent un peu, qu’ils voient ce qu’était le monde, tu ne pouvais pas les garder enfermés pour toujours au Terrier. Percy était le plus jeune mais c’était en lui que tu avais le plus confiance pour bien se tenir, il était sans doute le fils qui t’écoutait le plus et il serait tellement fasciné par ce qui l’entourait qu’il ne te poserait aucun problème. Tu avais donc emmené trois de tes enfants avec toi et tu les avais laissé à Arthur le temps d’aller chercher ce dont tu avais besoin. Tu avais retrouvé tes enfants dans un état d’excitation extrême après que ton mari et ses collègues leur aient montré des objets moldus qui semblaient les fasciner. Cela te fit lever les yeux au ciel, ton mari et son amour pour les moldus et leur mode de vie c’était toute une histoire. Ils t’intéressaient à toi aussi mais beaucoup moins que lui ce qui ne t’empêchait pas de les respecter et aussi de les admirer parce que si tu n’avais pas la magie pour t’occuper de tous tes enfants et de l’entretient de ta maison, cela deviendrait réellement un problème. Tu récupérais donc tes enfants qui sur le chemin de la sortie ne cessèrent de papoter sur leurs nouvelles découvertes. Tout l’ascenseur te regardait de travers, ce n’était pas tous les jours que les gens amenaient leurs enfants au Ministère. Mais tu t’en fichais, tu n’avais que faire du regard des autres. Bientôt vous fûtes dans l’atrium et bien entendu tes enfants furent une nouvelle fois émerveillés. Tu pouvais les comprendre, cet endroit était magique, littéralement. Des hiboux volaient dans tous les sens pour emmener des messages d’un bout à l’autre du ministère, des papiers aussi volaient tout seul dans les airs et la fontaine au milieu de l’atrium était magnifique. C’est surtout cette fontaine qui fascina tes trois enfants que tu gardais à l’œil plus que jamais. Cela te faisait plaisir de les voir découvrir autre chose que la maison mais tu étais vigilante, tout peut arriver surtout dans des temps comme ceux-ci. Au bout d’une dizaine de minutes tu décidais qu’il était temps de partir et tu rassemblais tes enfants quand tu vis que quelqu’un vous regardait. Tu tournais la tête méfiante mais tu vis que ce n’était qu’un visage familier. Enfin, plus ou moins familier. Poppy Hastings … Tu l’avais croisée quelques mois plus tôt alors que tu passais au ministère. Tu étais enceinte à cette époque et Poppy l’était aussi d’ailleurs. Un sourire se dessina donc sur ton visage et tu décidais d’aller lui parler. Tu ne la connaissais pas vraiment mais le peu de fois que tu l’avais croisée elle avait été très aimable et cela avait été un plaisir. Tu t’approchais donc suivie de tes enfants en tendant la main : « Bonsoir, Poppy Hastings c’est bien ça ? Molly Weasley, mon mari est Arthur Weasley du service de détournement de l’artisanat moldu ! » Elle te regarda un moment sans rien dire et tu ignorais ce qui était en train de lui passer par la tête. Cela t’aurait sans doute alarmé si cela avait été quelqu’un d’autre mais tu ne pensais pas que Poppy pourrait faire du mal à tes enfants. Elle finit par te serrer la main en disant froidement : « Mme Weasley. » Tu décidas de ne pas faire attention à ce ton froid que tu ne comprenais pas et tu allais lui poser une question quand Percy décida de se manifester : « Maman ! » Tu le regardais avec un sourire rassurant et tu lui demandais : « Oui Percy ? » Il semblait heureux d’avoir attiré ton attention et te demanda : « C’est qui la dame ? » Tu fis donc passer tes trois fils derrière toi, ce n’était effectivement pas très poli de ne pas les présenter à votre interlocutrice. Tu ne manquais pas de remarquer que cette dernière avait l’air plus ou moins horrifiée à la vue de tes enfants ce que tu ne compris pas vraiment. « Poppy, je vous présente mon aîné Bill, mon deuxième Charlie et mon troisième Percy. Les trois autres sont à la maison. » Dis-tu avec un simple sourire. Tu regardais tes enfants d’un air réprobateur et ils comprirent tout de suite ce qu’ils n’avaient pas fait. Du moins les grands comprirent, Percy suivit l’exemple de ses frères : « Bonjour madame. » Dirent-ils en chœur. Tu décidais finalement de poser ta question, après tout n’était-ce pas normal de demander des nouvelles des bébés des gens ? « Vous étiez enceinte la dernière fois que l’on s’est vu. Comment va votre bout de chou ? » Tu étais loin d’imaginer que tu venais de faire l’une des plus grosses gaffes de ta vie …
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Poppy Hastings
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MessageSujet: Re: / not even pretending (r)   / not even pretending (r) EmptyJeu 27 Juin - 13:49

Enceinte lors de leur première rencontre, Poppy n’avait pas du tout réagit de façon aussi glaciale envers Molly Weasley. Sa grossesse avait été difficile, ses pouvoirs de métormophomage dans tous ses états, elle n’arrivait plus à se contrôler et ses déplacements étaient rares. Pourtant, en croisant une sorcière enceinte tout comme elle lui avait fait sourire. C’était comme une connexion inexplicable entre deux personnes. Les deux femmes s’étaient donné des félicitations mutuels et des sourires entendus sur les difficultés de faire grandir un être humain en soi. Aujourd’hui, tout était différent, la connexion était brisée, oubliée et fermée a jamais. Le regard affolé de Poppy se posa sur le petit garçon répondant au prénom de Percy. « C’est qui la dame ? » Poppy observait ses petites mains accrochées fermement au bras de sa maman, ses prunelles curieuses avides de réponse sur le monde. Le geste maternel de Molly lui serra le cœur lorsque cette dernière approcha ses enfants devant elle pour les présenter à Poppy. « Poppy, je vous présente mon aîné Bill, mon deuxième Charlie et mon troisième Percy. Les trois autres sont à la maison. » Poppy ne savait plus au donner de la tête, toute ses paires d’yeux posé sur elle la mettait extrêmement mal à l’aise, elle n’arrivait pas à répondre au regard innocent de ses enfants. Elle décida donc de se concentrer sur le visage de Molly. Six enfants. Elle avait la chance, le bonheur d’en avoir six. Ils étaient tous en bonne santé, elle arrivait parfaitement à s’occuper de tout ce petit monde, tandis que Poppy n’arrivait même pas à en faire survivre un seul. La sorcière se sentait de plus en plus mal. Fuyante, elle observait la foule au dessus de l’épaule de Molly, désireuse de trouver une excuse pour battre en retraite. L’apparition de la Ministre, un hibou maladroit, une attaque de Mangemorts, n’importe quoi ! Elle ne supportait pas de faire face à ses bouilles souriantes et d’entendre leur petite voix prononcée le mot ‘maman’. « Vous étiez enceinte la dernière fois que l’on s’est vu. Comment va votre bout de chou ? ». Un silence étourdissant suivit la phrase de Molly. Brutalement Poppy n’entendait plus rien, son cœur sembla se dérober dans sa poitrine. Perdant les petits moyens qui lui restait, Poppy en oublia de rester maitresse de ses dons, sa chevelure brune et courte prit peu à peu une teinte rougeâtre. L’un des enfants pointa immédiatement son doigt vers son visage. « Oh Bill, regarde ! » Poppy tenta de cacher ses mèches à l’aide de ses mains, priant pour que cet incident s’arrête rapidement. L’attaque étant la meilleure défense, elle rumina. « Vous devriez apprendre à vos enfants la politesse, on ne montre pas du doigt. » La jeune sorcière était sèche et injuste. « Ma vie privée ne vous regarde aucunement, je me garde bien de vous dire ce que je pense des familles nombreuses. » Sa remarque était acerbe et fausse. Poppy rêvait d’une famille nombreuse, mais elle devait taper là ou ça fait mal pour éloigner Molly de toute question sur Robb.
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MessageSujet: Re: / not even pretending (r)   / not even pretending (r) EmptyJeu 27 Juin - 16:43


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Tu ne connaissais pas vraiment Poppy, tu devais l’avouer. Vous vous étiez parlé plusieurs fois en vous croisant dans les couloirs quand tu étais enceinte mais c’était tout et vous aviez eu à vous dire des choses juste parce que vous étiez enceinte. Tu aimais aussi beaucoup converser avec les gens et échanger des anecdotes alors ce n’était pas surprenant que tu aies sauté sur la première occasion qui se présentait. Aujourd’hui tu avais avec toi tes trois aînés et tu étais heureuse de les avoir emmené. Bien sûr ils étaient un peu turbulents mais au final ils étaient sages et t’écoutaient ce qui était déjà en soi une très bonne chose vu ce que Fred et George avaient tendance à faire par rapport à tes ordres. Et puis comme toute mère, tu étais contente de montrer aux autres combien tes enfants étaient merveilleux. C’était un peu ce que tu étais en train de faire avec Poppy. Elle t’avait toujours parue très aimable et gentille et tu te souvenais très bien qu’elle était enceinte et donc, elle devait maintenant avoir accouché vu sa taille. Tu avais donc fait ce que tout le monde fait quand on voit que quelqu’un accouche, tu avais demandé des nouvelles de son enfant. C’était une question des plus normales mais bien entendu, tu ignorais ce qui venait de se passer dans la vie de Poppy dernièrement. Pourtant, tu lisais la Gazette du Sorcier mais dans la situation actuelle, ce genre d’affaire était loin de faire la première page surtout si elle avait voulu garder l’affaire loin des médias. Alors tu n’étais pas au courant, Arthur ne travaillant pas dans son département tu n’étais pas au courant. Tu vis bien qu’elle essayait plus ou moins de se défiler et la petite voix de Charlie la fit sortir de ses pensées pour te jeter un regard de glace. « Oh Bill, regarde ! » Tu n’y avais pas fait attention toi non plus mais effectivement, les cheveux de la jeune femme en face de toi venaient de prendre une teinte rouge. Contrairement à tes enfants, tu avais déjà vu des une métamorphomage et cela te surpris donc à moitié, tu étais juste surprise que Poppy en soit une, ce n’est pas quelque chose à quoi tu aurais pensé. D’ailleurs, le fait qu’elle perde le contrôle de ses transformations te disait que tu devais avoir touché un point extrêmement sensible parce qu’à son âge, on maîtrise en général ce don et tu ne doutais pas une seule seconde que Poppy le maîtrisait complètement. Mais dans des moments de forte émotion on se laisse aller, on a du mal à utiliser son cerveau et on a tendance à laisser parler son cœur. Suite à la réplique de Charlie, Poppy sembla se refermer encore plus sur elle-même et dit : « Vous devriez apprendre à vos enfants la politesse, on ne montre pas du doigt. » Tu avais tout simplement du mal à croire ce que tu étais en train d’entendre. Elle était en train de remettre en cause l’éducation que tu donnais à tes enfants ? Tu détestais cela tout simplement. Ils n’étaient que des enfants et comme tous les enfants de cet âge ils avaient tendance à agir par impulsion et à ne pas réfléchir si oui ou non c’était poli. Tu sentais la colère monter à toi devant ces paroles qui t’attaquaient personnellement mais tu te dis qu’il fallait te calmer et ne pas laisser ton tempérament de feu prendre le dessus. « Vous m’excuserez mais ce ne sont que des enfants. » Dis-tu à ton tour sèchement. On pouvait dire ce qu’on voulait sur ta famille et sur ses valeurs mais on ne pouvait pas critiquer l’éducation de tes enfants. Charlie avait baissé de suite son bras et te regardait avec de grands yeux brillants mais tu lui fis un sourire pour lui montrer que tu ne lui en voulais pas. « Ma vie privée ne vous regarde aucunement, je me garde bien de vous dire ce que je pense des familles nombreuses. » Tu la regardais la bouche à demi ouverte, tu arrivais à peine à le croire. Toutes les femmes venant d’avoir un bébé adoraient parler de leur enfant alors c’était quoi le problème ? Et là, cela fit clic. Il avait dû se passer quelque chose, tu ne savais pas quoi mais quelque chose. Seulement, Bill décida de prendre la parole pour toi : « Vous êtes méchantes madame, vous dites ça parce que vous avez pas pleins de frères et sœurs mais moi je les aime tous. » Tu ne pus t’empêcher de sourire légèrement à ton fils aîné qui comme toi aimait beaucoup votre nombreuse famille. Tu finis par dire : « Ecoutez, je suis désolée si je vous ai blessée et encore plus s’il est arrivé quelque chose à votre bébé. » Dis-tu tout simplement. « Je ne pouvais pas savoir alors merci de ne pas rejeter votre colère sur mes enfants. »
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MessageSujet: Re: / not even pretending (r)   / not even pretending (r) EmptyJeu 27 Juin - 18:18

« Vous m’excuserez mais ce ne sont que des enfants. » Sa remarque, criante de vérité glissa sur la carapace que s’ériger peu à peu Poppy. La perte de Robb l’avait plongé dans un profond désespoir, doucement comblée par la folie. La sorcière s’était relever de ce gouffre uniquement en cherchant un autre sujet auquel penser en boucle : Lord Voldemort. Plus les secondes s’écoulaient et plus Poppy reprenait le contrôle, le dessus. Elle s’était ordonné de ne plus adresser un regard aux enfants devant elle et surtout de défendre sa vie privée au-delà de tout. « Ecoutez, je suis désolée si je vous ai blessée et encore plus s’il est arrivé quelque chose à votre bébé. » Hélas, Poppy n’avait pas face à elle la dernière des idiotes. Molly avait décelé dans son comportement une attitude étrange et surtout sa manière de ne pas répondre à son interrogation tout à fait aimable sur son enfant. Poppy avait échouer, elle ne connaissait pas Molly Weasley plus que cela, ni même son époux, mais la panique la gagna de nouveau. Et si des bruits commençaient à courir au sein du Ministère, et si elle perdait son emploi, et une dizaine d’hypothèses suivaient. La sorcière avait étouffée l’affaire de la mort par asphyxie de son enfant. Comment ? Elle avait d’abord attendu trois jours avant de déclarer sa mort, devant son état second et surtout son manque de soutient familial ou amical, les autorités de Sainte-Mangouste avait réussi à ne pas faire publier une annonce de son décès dans la rubrique associée dans les journaux. De toute manière, au milieu de toutes les morts affreuses du moment, celle de Robb n’aurait pas fait plus d’effet qu’une petit galet dans l’océan. La panique visible dans le fond de ses prunelles fit place à la rage. Molly devait immédiatement retirer ses paroles. L’entendre haut et fort ne faisait qu’attiser la souffrance de Poppy. Cette dernière, oubliant complètement l’endroit et le moment, s’approcha dangereusement de Molly. Sous la statue du centaure, le petit groupe faisait tout simplement penser à deux amies discutant mains dans les mains, entourées des enfants de l’une d’entre elles. Poppy agrippa le bras gauche de Molly fermement, à l’aide de sa main droite, elle appuya doucement sur l’épaule de son plus jeune fils, du bout de sa baguette, soigneusement cachée sous les plis de sa longue veste. « Ma colère ? Vous n’avez aucune idée de ce dont je serai capable. » Son regard ne lachait pas celui tout autant déterminé de son interlocutrice. Un autre de ses fils, courageux, tenta de se jeter sur la baguette de Poppy, cette dernière, avec une dextérité étonnante ravisa son bras avant d’attraper celui qui se prénommait Charlie. Son bras sous son menton, elle le tenait fermement contre elle. « Courageux votre garçon. Beaucoup meurent courageusement ces temps-ci. » Poppy ignorait tout de l’implication de Molly et son époux dans l’Ordre du Phoenix, mais ses paroles pouvaient bien évidemment laisser penser à Molly son allégeance pour les Mangemorts. Doucement, elle mit une nouvelle fois Molly en garde. « Je ne veux pas entendre un mot de plus sur mon fils. » La sorcière venait pourtant de dévoiler une information sur son enfant : son sexe. Finalement, une fois qu'elle était certaine du petit effet de son geste sur son interlocutrice, elle relâcha gentiment la pression qu’elle exerçait sur Charlie. Puis, feignant une quelconque leçon en tant qu’agente du Ministère sur les enfants, elle déclara à leurs intentions. « Ne faites confiance à personne. La nuit est sombre et pleine de terreurs. » Il était évident que son petit numéro n’avait pas du tout plus à Molly. Sous sa chevelure rousse se cachait une lionne, et Poppy avait sans aucun doute réveiller la bête. Cependant, au milieu même du Ministère, Poppy pouvait très bien clamer haut et fort que c’était un moyen de mettre en garde ses enfants sur la dangerosité de l’époque et surtout crier à l’inconscience de se balader avec ces enfants en ces temps maudits. Ses prunelles vertes étaient hautains et parfaitement sur d’eux à présent. Toute trace de panique et de terreur face aux paroles de Molly avait disparues. Sa baguette toujours présente sous ses doigts, Poppy attendait la réaction de Molly, presque impatiente et excitée, comme si une petite altercation, pouvait évacuer la rage en elle. La rage qu’elle avait contre elle-même.
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MessageSujet: Re: / not even pretending (r)   / not even pretending (r) EmptyVen 28 Juin - 7:14


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Une chose était certaine à tes yeux, peu importe ce qui était arrivé au fils de Poppy, celle-ci ne s’en était pas remise et ne semblait pas prête de le faire. Tu n’avais pas pensé que parler de son enfant vous amènerait là tout simplement parce que tu ignorais qu’il était arrivé quelque chose à son nouveau né et comme à chaque fois que quelqu’un avait été enceinte, tu demandais des nouvelles de cet enfant. C’était tout ce qu’il y avait de plus banal, c’était même de la pure politesse et certainement qu’une personne normale t’aurait fait comprendre avec moins de violence dans quoi tu avais mis les pieds et tu serais revenue sur tes pas. Mais Poppy avait décidé de t’insulter, toi, ta famille, tes enfants et ça c’était hors de question. Tu ignorais à quel camp elle appartenait dans cette guerre mais tu commençais à avoir un mauvais pressentiment. Tu étais du genre à faire confiance à tout le monde avant mais ce n’était plus le cas désormais et sous tes gentilles paroles, une grande méfiance était toujours là. Tu n’avais pas supporté qu’elle traite tes enfants de malpolis simplement parce qu’il pointait ses cheveux du doigt. Ce n’était que des enfants et des enfants qui n’avaient jamais eu affaire à une métamorphomage avant aujourd’hui. Tes dernières paroles semblèrent la mettre hors d’elle. Tu avais fait de nouveau illusion à son enfant et cela devait être la raison de ce soudain excès de rage que tu voyais naître dans ses yeux. Oui, tu devais faire attention, très attention désormais et tu le savais. Cette journée qui devait si bien se passer n’allait pas bien se terminer. Alors que le regard de Poppy complètement désamorcé par les paroles que tu venais de prononcer se transformèrent en grande colère, tu rapprochais des enfants de toi, inconsciemment certainement mais tu le faisais. Cette dernière ne tarda pas de s’approcher et elle t’attrapa le bras. Cela n’avait aucune importance, tu avais ton autre main sur ta baguette prête à intervenir à n’importe quel moment peu importait en réalité l’endroit où tu te trouvais. Tu ne pus t’empêcher de remarquer sa baguette pointée sur toi à l’intérieur de sa robe alors qu’elle te disait : « Ma colère ? Vous n’avez aucune idée de ce dont je serai capable. » Oh que si … Tu commençais à en avoir une très bonne idée de ce dont elle serait capable. Si elle n’avait pas encore rejoint le groupe des mangemorts, elle était prête à le faire. S’attaquer à des enfants, c’était une capacité qui était requise chez le Seigneur des Ténèbres. « Je commence à voir de quoi vous semblez capable. » Dis-tu avant de voir ton fils Charlie essayer de se jeter sur la baguette de votre interlocutrice qui était désormais pointée sur Bill. A cet instant, tu compris que s’il y avait un de tes fils qui irait à Gryffondor, ce serait Charlie sans aucun doute. C’était un geste idiot mais il était jeune et il voulait sauver son frère sans aucun doute. Cependant, Poppy l’attrapa avant que tu n’aies pu faire un geste et posa son bras sur son cou. Tu sentis à ton tour la rage monter en toi bien plus forte qu’auparavant, personne ne touchait à tes enfants. « Lâchez-le de suite. » Dis-tu en sentait la colère dans ta voix. Tu serrais ta baguette dans ta main droite et en regardant Bill et Percy tu leurs dis : « Bill, Percy mettez-vous derrière moi. » Avant de partir, tu leur avais donné des consignes précises pour ce genre de situations et ils ne bronchèrent pas. Ils se mirent derrière toi et Poppy finit par te dire : « Courageux votre garçon. Beaucoup meurent courageusement ces temps-ci. » Tu ne l’ignorais pas, ceux qui mourraient en ce moment étaient des amis ou des collègues de l’Ordre mais l’entendre de la bouche de Poppy alors qu’elle menaçait ton fils était autre chose … « En effet mais mourir courageusement n’est-ce pas mieux que mourir lâchement après s’en être pris à plus faible que soit. Avouez que c’est assez facile quand même, s’en prendre à des enfants incapable de se défendre … » Oui, tu voulais faire comprendre à Poppy que si elle voulait faire les choses correctement qu’elle s’attaque à toi plutôt qu’à tes enfants, de toute manière tu étais préparée à tout pour les défendre, réellement tout. « Maintenant rendez-moi mon fil où je n’aurais aucun problème à utiliser ma baguette. » Poppy te toissa du regard pendant un moment alors que tu agrippais ta baguette. Tu avais toujours été douée avec une baguette et tu n’avais aucunement peur de combattre quelqu’un. Finalement elle te dit : « Je ne veux pas entendre un mot de plus sur mon fils. » Quelques secondes plus tard, Charlie venait se mettre derrière toi à son tour. Tu avais envi de voir s’il allait bien, de lui faire un gros câlin mais cela devrait attendre, tu avais toujours Poppy devant toi et tu ne pouvais pas te permettre de la lâcher des yeux. Tu la regardais un peu avec pitié désormais parce tu avais compris désormais que cette souffrance la rongeait plus que tu ne le pensais. « Seulement en parler vous permettra d’aller mieux, le garder au fond de vous finira par vous faire faire des choix que vous regretterez. » Dis-tu tout simplement. Tu ne parlais pas de son fils, pas directement, tu parlais d’elle cette fois. Tu n’avais aucune envie de déclencher un scandale au ministère alors tu gardais ta baguette cachée pour l’instant mais tu étais prête à toute éventualité. Personne ne touchait à tes enfants et en sortait indemne, tu avais une petite idée comme cadeau de départ que tu pourrais fournir à Poppy. « Ne faites confiance à personne. La nuit est sombre et pleine de terreurs. » Tu ne faisais pas confiance à grand monde en ce moment. Enfin, pas à des inconnus parce que tu avais pleins de personnes en qui tu avais entièrement confiance autour de toi. Tu regardais Poppy d’un air dégoûté, réellement. Tu agitais d’un petit coup ta baguette en murmurant : « Furunculus. » Bientôt des furoncles vioacées apparurent sur la peau de Poppy. Un sortilège sans conséquence mais qui était là pour faire passer un message. « Vous voyez, je n’aime pas que l’on touche à mes enfants. »
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Poppy Hastings
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MessageSujet: Re: / not even pretending (r)   / not even pretending (r) EmptyVen 28 Juin - 18:20

S’attaquer à des enfants n’est vraiment pas dans le tempérament de Poppy. En état normal. Seulement, Poppy n’est plus elle-même, et c’est dans un excès de folie qu’elle agit de la sorte. Bien évidemment, elle n’avait pas l’intention de blesser les enfants, ni même de leur faire subir des actes impardonnables. A travers eux, elle voulait simplement heurter Molly Weasley. Ou bien simplement lui faire prendre conscience de sa chance. La vie est fragile, la vie ne vaut rien une fois la perte d’un enfant vécue. « Seulement en parler vous permettra d’aller mieux, le garder au fond de vous finira par vous faire faire des choix que vous regretterez. » Sa manière de lui parler ne faisait qu’accroitre la méchanceté de Poppy. Avec ces airs moralisateurs, toute la gentillesse possible dans ses propos n’étaient pas perçus comme tel par Poppy. Selon cette dernière, Molly s’adressait à elle comme si Poppy ne savait rien, comme si elle n’était pas capable de comprendre ni de se prendre en main. Mais Molly n’avait aucun droit de lui dire tout cela. Molly n’était pas dans sa situation, elle ne pouvait juste pas comprendre. La main légèrement tremblante de rage, Poppy maudisait l’Atrium. Avec les dizaines de sorciers présents, la prochaine sortie par cheminée trop lointaine et surtout sa place au sein du Ministère mis à mal au moindre faux pas. Elle voulait se battre, lancer un duel à Molly et évacuer cette colère inépuisable en elle. Ou bien voulait elle souffrir ? Prendre des coups, mourir ? Sous les yeux de ses enfants, Molly ne tentera rien. Et puis elle n’avait pas l’étoffe d’une sorcière choisissant les morts ou les vivants. Dommage. Poppy essayait de se résoudre à en rester là. L’occasion se représentera surement à un autre moment, dans d’autres circonstances. La sorcière pouvait toujours sentir les prunelles innocentes posées sur elle. « Furunculus. » Molly, elle, n’avait pas envie de partir sans rétorquer un petit peu. Après tout c’était logique, Poppy venait tout de même de menacer un de ses fils. Néanmoins, Poppy s’étonna du ridicule de son sort. Elle ne l’avait pas entendu ni subit depuis sa seconde année à Poudlard, et encore. Un sourire moqueur se dessina sur son visage. Est-ce que Molly pensait vraiment qu’une poussée de furoncles gênerait Poppy ? Elle qui depuis plusieurs semaines fait un effort moindre sur son apparence, dont le don de métamorphomage détruit son cuir chevelu et la forme initial de son nez ? Vraiment ? Quelques secondes plus tard, Poppy agita avec grace sa baguette sur son avant-bras, à l’aide d’un sort informulé elle mit fin au sortilège enfantin de Molly. « Mignon. » Sa peau reprit peu à peu son apparence normale. « Je n’aime pas qu’on me résiste. »

Elle posa quelques secondes son regard sur les trois fils de Molly avant de remonter son regard sur la maman. Elle observa sa poigne exercée sur sa baguette magique, un sourire malicieux de nouveau sur le visage, elle murmura. « Il va falloir être plus convaincante la prochaine fois. » Menace enclenchée. La sorcière se redressa, et recula d’un pas, moyen subtil de signaler à son interlocutrice que la discussion était close. Il valait mieux qu’elle s’en aille à présent. Poppy était certaine d’avoir atteint son but : l’énerver assez pour s’assurer d’une seconde rencontre. Entre adultes cette fois.
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MessageSujet: Re: / not even pretending (r)   / not even pretending (r) EmptyDim 30 Juin - 8:32


CREDIT : @(tumblr)
poppy hastings et molly weasley./ atrium.
YOU COULD NEVER KNOW WHAT IT'S LIKE
YOUR BLOOD LIKE WINTER FREEZES JUST LIKE ICE


Tu n’aurais jamais pensé qu’une visite au Ministère puisse tourner comme cela. Tu n’étais pas une idiote, tu savais que le Ministère n’était pas un endroit sûr mais tu ne pensais pas devoir en arriver là et surtout pas avec Poppy. Si tu avais croisé Lucius Malfoy, cela aurait été normal. Ton mari et lui se détestaient, tu essayais de ne pas entrer dans leurs querelles mais c’était inévitable, ton tempérament de feu ne supportait pas que l’on insulte ta famille d’une quelconque manière. Mais tu n’avais pas croisé les Malfoy aujourd’hui ni aucune autre famille de sang pur qui pouvaient en vouloir à tes enfants et tu n’aurais jamais pensé que tu pourrais en arriver là avec Poppy qui quelques mois plus tôt te paraissait une personne tout à fait convenable. Elle devait l’être il y avait quelques mois mais entre temps, il y avait eu l’histoire avec son bébé. Tu ignorais ce qui s’était passé mais tu pouvais t’imaginer que ce dernier n’était plus de ce monde ce qui t’attristait vraiment. Tes enfants étaient tout pour toi et tu ne pouvais même pas t’imaginer en voir un mourir, c’était trop terrible. Voilà pourquoi tu étais prête à tout pour les défendre aussi. Tout le monde pensait certainement que tu étais folle de faire sortir tes enfants de la maison dans des temps pareils mais ils devaient connaître un peu le monde. Bill monterait dans le Poudlard Express l’année prochaine et il était hors de question qu’il y monte après avoir été confiné à la maison pendant des mois et sans aucune idée de ce qu’était le monde. Pour l’instant tu pouvais te permettre des sorties de ce genre, peut-être que plus tard ce ne serait pas possible mais là n’était pas encore la question. Tu avais lancé un sortilège des plus bénins à Poppy, en un coup de baguette elle pourrait l’annuler mais quelle importance ? De toute manière, au milieu de l’atrium, tu ne pouvais pas faire beaucoup plus et tu aurais évité de toute manière tout combat même dans une autre circonstance parce que tu avais tes enfants avec toi. « Mignon. Je n’aime pas qu’on me résiste. » Non, ça tu n’en doutais pas. Tu essayais de trouver des points communs entre la personne que tu avais devant toi aujourd’hui et la personne que tu avais eu devant toi quelques mois plus tôt et tu en trouvais à peine. La Poppy qui se trouvait devant toi aujourd’hui était bien trop sombre, tu avais le pressentiment qu’elle pourrait être une mangemort ou qu’elle l’était déjà, en réalité tu n’en savais rien. Mais si elle l’était, il y avait des chances qu’elle se serait montée un peu plus violente que ce soit dans ses propos ou dans ses actes. Enfin cela n’avait plus vraiment d’importance de toute manière, tu avais l’habitude de te faire de nouveaux ennemis tous les jours. Poppy sembla ensuite regarder de nouveau tes fils mais tu savais qu’elle ne tenterait plus rien sur eux, pas maintenant que tu étais prête à toute éventualité. « Il va falloir être plus convaincante la prochaine fois. » La prochaine fois ? Tu n’avais aucune envie de recroiser Poppy mais la vie était faite de telle manière que tu étais certaine que vos pas se recroiseraient un jour malheureusement. Tu la laissais partir sans un mot, qu’y avait-il à ajouter sincèrement ? Une fois qu’elle se fut éloignée, tu relâchais la prise que tu avais sur ta baguette avant de te tourner vers Charlie et de lui demander : « Tu vas bien mon chou ? La dame ne t’a pas fait mal ? » Non, Poppy ne lui avait physiquement pas fait de mal mais il y avait tout le côté psychologique. « Non maman mais elle est méchante. » Oui, ça tu avais pu le remarquer. Tu fis un câlin à ton deuxième fils avant de regarder tes trois têtes rousses et de leur dire : « Vous avez été très courageux, je suis fière de vous. Surtout toi Charlie mais fais attention, certaines personnes peuvent être encore plus méchantes que Poppy. » Les yeux de Percy s’ouvrirent de surprise et de peur et il te demanda : « Vrai maman ? » Ils étaient encore remplis d’innocence, cela te brisait le cœur de leur faire voir la réalité mais malheureusement, c’était aussi important. « Oui Percy, c’est vrai. Allez, on rentre à la maison ! » Dis-tu en prenant Percy par la main et en faisant avancer tes deux autres fils devant toi jusqu’à la cheminée.

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