Siobhàn Gallagher

QUELQUES INFORMATIONS † Renvoyée de Poudlard pendant sa 6ème année pour l'homicide involontaire d'un sang-de-bourbe de Gryffondor ( légitime défense, elle aura échappé à Azkaban puisque des témoignages prouvaient que le jeune homme l'avait agressé mais elle a laissé sa baguette dans la bagarre ) † Orpheline élevée par son grand-père, ce dernier a tué la mère, le père et le frère de Siobhàn, parce qu'ils n'étaient pas à la hauteur † Irlandaise, elle jure en gaélique et croit aux vieilles légendes † Traine presque tout le temps du côté de l'Allée des Embrumes † Habite un studio miteux, possède une baguette achetée au marché noir et bosse au Crâne Gourmand, comme serveuse peu commode † Méprise les Mangemorts mais vit dans la peur d'être prochaine sur la liste des rafleurs † Fan de musique moldue, aime The Cure, Joy Division, Lou Reed † UN PEU PLUS A SON SUJET : à la fois fragile et forte, elle est atteinte d'un trouble mental non-diagnostiqué chez les sorciers : TBP ( trouble de la personnalité borderline ) - capable de passer d'un état léthargique à une crise incontrôlable, habitée de cauchemars et subissant des crises d'angoisse brutale, elle s'est forgée une carapace pour tenir la distance. Souvent sarcastique, presque tout le temps agressive, elle peut avoir des bons côtés. Sa loyauté est exemplaire, par exemple, mais encore faut-il savoir gagner sa confiance. Menteuse, elle sait se dépatouiller des situations délicates et a un instinct de survie assez impressionnant, d'autant qu'il jure avec ses troubles.

Chiennes sans gloire

Voyez donc qu'ils avaient tort. Elles ne sont pas le sexe faible, non. Elles sont fortes, fortes d'un Enfer qu'elles fabriquent et entretiennent, sous couvert d'un jardin secret. Dans les ronces, dans le mystère, elles attirent les innocents pour qu'ils s'y perdent, tombant pour des chimères aux ongles acérées et des sirènes aux formes d'adulescentes.

Princes de Pacotille

On dit souvent qu'on reconnaît la valeur d'un homme à la façon dont il traite ceux qui le servent. Je vois plutôt la grandeur dans les colères et les brasiers qui dansent dans les yeux agités de ces guerriers qui se fanent de n'avoir point de combat à mener...

Notes & informations