| | | Marcher d’un même pas c'est l'objectif du despotisme et de la tyranie. Les hommes libres, eux, vont dans tout les sens. |  |
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Polly Ladner  SPELLS : 22
AVATAR : Cintia (sexy) Dicker.
until the end  | | Sujet: Marcher d’un même pas c'est l'objectif du despotisme et de la tyranie. Les hommes libres, eux, vont dans tout les sens. Jeu 27 Juin - 17:09 | |
|  Polly Ladner Le degré d’intelligence de cette entité qu’on appelle une foule est inversement proportionnel au nombre d’individus qui la composent. ☞ The last enemy that shall be destroyed is death. NAME : Ladner. Nom de son père Moldu qu'elle a hérité par la suite. Ladner est un nom simple qu'elle a toujours apprécié pour sa sonorité très... cool ? Et puis, elle a pu passer au travers des filets des blagues idiotes sur les noms de famille. SURNAME : Polly. Oui, elle sait pertinemment que ce nom fait animal de compagnie. Dans le style hamster ou petit york à sa mémé. M'enfin, elle s'y est habituée depuis le temps. Quant à son deuxième prénom -beaucoup plus classe, d'après elle-, c'est Ricky-Sage. AGE : 25 balais désormais. C'est encore jeune, mais elle aimerait souvent vieillir plus vite et atteindre les trente-cinq ans rapidement, histoire d'avoir un peu plus d'influence sur les gens de son entourage. PLACE OF BIRTH : Londres, bien sûr. Elle y a vécut toute sa vie.YOUR BLOOD : Polly est une sang-mêlée. Sa mère s'est entichée d'un Moldu lorsqu'elle venait de quitter Poudlard. Une rencontre hasardeuse qui s'est passée dans une cabine téléphonique. Oui, son père était coincé à l'intérieur. MARITAL STATUS : Fiancée de sa plume et épouse de l'information... et sans dire de conneries elle est célibataire, dévouée à ses affaires de fouineuse. JOB OR OTHER : Stagiaire à la Gazette du Sorcier... oui, simplement stagiaire. Oui, le boulot le plus merdique au monde. Néanmoins, elle ne perd pas son ambition de devenir une grande journaliste. C'est d'ailleurs pour ceci qu'à côté de son « merveilleux » boulot, elle cherche toutes sortes d'informations pour débusquer THE scoop qui la propulsera littéralement au rang de la plus grande journaliste au monde... malgré que ses capacités de fouine soient surtout exploitées par un certain Bart'... YOUR WAND : Oh, juste une divine baguette taillée dans du bois d'If avec une magnifique écaille de sirène, à l'intérieur... Je rigole bien sûr. Sa baguette est d'une simplicité à en crever les yeux d'un gobelin, bois de Cèdres, 22 centimètres avec un joli crin de Licorne en son cœur. Oui, banal, banal... Mais cela convient parfaitement à Polly. PATRONUS CHARM : Une ravissante petite Martre... oui, on a souvent l'impression que c'est une fouine ou une belette lorsqu'on le voit la première fois, mais c'est bien une martre. BOGGART : Une pièce déserte et silencieuse. Polly est effrayée par le silence et le vide, ça a le don de la mettre terriblement mal à l'aise. HOGWART HOUSE : Gryffondor. Chose qui l'a beaucoup surprise étant donné qu'elle est loin de posséder une envie irrésistible de se fourrer dans des pétrins monstres par simple bravoure... se fourrer dans des pétrins monstres, si. Mais pas par bravoure, par connerie. YOUR CHOICE : Hahahaha... La question qui embrouille Polly. De son point de vue, elle ne peut bien évidemment être avec les forces du Mal. Après tout, son père est un Moldu et elle se trouve être elle-même une sang mêlée. Néanmoins, elle a toujours détesté prendre parti de quelqu'un... surtout dans une guerre. Oui, la guerre, c'est pas bien. Mangez des fleurs au lieu de vous foutre sur la gueule. Mais, mais, mais... elle reste du côté de l'Ordre. D'une part, car Bart' l'y a légèrement -vraiment légèrement- obligé. Et d'une autre part, car chercher des scoops sur l'Ordre, c'est vachement classe et il y a moins de risque de terminer en bouillie de Polly. Puis bon... elle aimerait également éviter un carnage, elle aura besoin de lecteurs plus tard. MIRROR OF ERISED : Un article de journal, en or -oui, en or massif, elle voit grand- écrit soigneusement avec une plume de haute qualité. Le titre « La guerre, plus qu'un mauvais souvenir ! », l'auteur « Par la grande Polly Ladner », les caractères en bas « Meilleur article jamais écrit au monde, par la plus grande journaliste de l'univers tout entier. »... quoi ? C'est bien beau d'être pour le sauvetage du monde, mais il faut bien qu'elle gonfle un peu son ego de temps en temps !
QUE PENSEZ-VOUS DE LA VALEUR DU SANG CHEZ LES SORCIERS ? : Une valeur aussi faible que celle de ma couverture avec des nounours imprimés dessus. Oui bon ça va, je l'ai depuis que j'ai cinq ans, rôôôh. Enfin bref, revenons en à la question. Sincèrement, je trouve cette histoire de sang des plus stupides. Non, vraiment. Le sang nous sert tous pour la même chose, non ? Pour vivre ! Du sang reste du sang, qu'il soit croisé avec le sang d'un autre peu importe. Sans lui nous ne serions que des cadavres. Alors du moment que nous, nous en servons pour la même chose, cela ne sert à rien de faire une différence entre un litre de sang et un autre. Cela ne reste qu'un amas de globules rouges, de globules blancs, de fer, de plaquettes et de plasma et de tout un tas d'autres choses que j'ignore sans doute. C'est ainsi qu'est composé le sang de nous, bipèdes, au cerveau plus développé que n'importe quel autre mammifère sur cette planète. Et pourtant, quand j'entends ces histoires de sang pur, sang mêlé, sang j'sais pas quoi et autres balivernes, j'ai l'impression que notre race est aussi conne qu'une poule. Ou alors qu'un coq... mais un coq vraiment très vilain. Alors pour répondre à la question, je trouve cette polémique aussi conne qu'une dinde rôtie le soir de Noël, une polémique fourrée de conneries et cuite dans un jus de perfidie et d’orgueil... Hmm, cela me donne faim, pas vous ?
ÊTES-VOUS TERRIFIÉ PAR LA MENACE DE LORD VOLDEMORT ? COMMENT VIVEZ-VOUS CETTE SOMBRE ÉPOQUE ? : Terrifiée ? On les tous, d'une certaine manière. Et oui, je suis terrifiée, c'est normal. J'ai peur avant tout pour ma famille, mon père étant moldu... Et puis pour moi-même également ! Sang-mêlée, il n'a pas l'air de les apprécier Lord Voldemort... M'enfin, en tant que -future- journaliste de renommée, je me dois de passer outre ma frousse de faible citoyenne et rechercher H24 des informations pour nourrir mes -futurs- lecteurs affamés de mes -futurs- divins articles ! C'est mon devoir, voyons ! Et parole de rousse, je refuse de passer à côté de détails croustillants à cause d'une stupide et... meurtrière, bande de mangemorts ! Et puis, de toute façon, crever de peur dans son trou ne servirait à rien. Je préfère avoir la positive attitude, du moment que je suis encore en vie et que j'ai encore assez de mémoire pour stocker toutes sortes de petits secrets. Alors pour le moment, je passe mes journées à faire du café pour des pseudos journalistes, mes soirées à pêcher des informations et la nuit je fume une clope tranquillement en balançant ce que je sais d’intéressant à ce tyran de Bartholomeus. Je ne pense pas que mes journées vont changer quoiqu'il arrive. Malgré la peur qui m’assaille parfois l'estomac au détour d'une ruelle. On me demande souvent la raison pour laquelle je parts à la recherche de quelques petites choses... d'une part, car les scoops, c'est classe et ensuite... car j'en ai assez de voir dans la Gazette une liste interminable de morts avec le même mot de condoléance. Les gens en ont assez de voir des choses si déprimantes dans le journal ! Cela ne fait qu'affaiblir leur mental... Annoncer une bonne nouvelle ne ferait pas de mal de temps en temps. Et je compte bien finir par trouver cette nouvelle qui ne conduira pas les autres au fond du gouffre de la peur, et ce, malgré le danger qui se ballade en permanence dans les rues... enfin, j'vais éviter de me faire tuer, tout de même.
AVEZ-VOUS DÉJÀ COMMIS UN ACTE IMPARDONNABLE ? SI OUI LEQUEL ET QU'AVEZ VOUS RESSENTI ? SI NON, QU'EST-CE QUI VOUS POUSSEREZ A LE FAIRE ? : J'ai refusé la demande à dîner de mon supérieur... plusieurs fois. D'après mes collègues ceci est l'acte le plus impardonnable au monde après le sabotage du café... Mais pour ma défense, je ne l'avais pas saboté ! Je l'avais raté, c'est tout. Mais si vous parlez d'actes impardonnables tels que tuer quelqu'un ou trahir ou encore manger tout le gâteau au chocolat sans en laisser à personne... Non, je n'en ai jamais commis. Et pour être honnête cela ne m'attire guère d'en commettre un. Évidemment si c'est en situation de crise... genre si quelqu'un à qui je tiens est en danger, je pense que j'agirai... mais vraiment en cas d'urgence. Je ne suis pas une criminelle, je suis journaliste !... Bon, future journaliste... Et si jamais j'ai le moindre antécédent « impardonnable », comme vous dites, sur mon dossier, cela risque de poser des problèmes pour ma future carrière ! Et ça, pas question. Alors je vais essayer de ne pas agir stupidement et éviter de faire une bêtise « impardonnable »... sauf refouler les avances de mon supérieur.
QUE SERIEZ VOUS PRÊT A FAIRE SI LE SEIGNEUR DES TÉNÈBRES SE TENAIT DEVANT VOUS, PRÊT A VOUS TUER ? TRAHIR VOS AMIS, MOURIR, DONNER DES INFORMATIONS ? : Hmm... Je pense que je lui demanderais la raison de tant d'hostilité... mais après mûres réflexions, je ne suis pas sûre que lui donner le numéro d'un psychologue soit une merveilleuse idée... Non, non, évidemment je déconne là, je fais mumuse, mais si le seigneur des ténèbres se trouvait réellement en face de moi, je pense que je crèverais de trouille. C'est pas tous les jours qu'on croise le gars qui fout la panique dans tout le pays ! Après... il pourra toujours crever pour que je lui donne la moindre info ! Non, mais c'est vrai ! Qui c'est qui se fourre dans les plus grosses emmerdes au monde pour avoir une ridicule petite info ? C'est moi ! Mes infos, je les garde pour moi... du moins, tant que je ne trouve pas un big scoop... et que ce n'est pas Bart' qui me menace avec son lyrisme digne des plus grands bourreaux... Bref, pour en revenir à la question; oui, je préférerais mourir. Une bonne journaliste ne révèle pas ses informations à n'importe qui ! Même si celui-ci est le plus effrayant et sanguinaire sorcier au monde... ahem, ahem... Ou alors je tenterais de filer en douce... quoi ? C'est possible !... Enfin peut-être.
QUE VOUS INSPIRE LE MINISTÈRE DE LA MAGIE ET SA MINISTRE ? : Une bande de guignols pas foutu d'agir lorsqu'il le faut ! Aaaah, et je suis persuadée que la plupart des gens travaillant au ministère ne sont que de vulgaires mangemorts s'affairant à leurs obscures besognes entre deux poses café. Tss... cela me rend malade. Ils mériteraient que je fasse un article des plus péjoratifs sur chacun de leurs « honnêtes » travailleurs. Vous savez ? Le genre d'article qu'on peut souvent voir chez les moldus, des articles... people ! Oui, voilà, c'est ça ! J'ai découvert que c'était une solution journalistique de descendre quelqu'un tout en restant très courtois. Cela leur ferait les pieds. Ah la la... Enfin, je suppose que certains essaye de faire quelque chose, mais que voulez-vous... d'une certaine manière, ils ne peuvent pas faire grand chose avec des traîtres dans leur rang. En tout cas, ils ne font rien qui puisse rassurer la population. Il faudrait que je fouine un peu plus du côté du Ministère... je pense que j'en apprendrais des vertes et des pas mûres... j'espère seulement ne pas finir en mille morceaux à cause du sort d'un nerveux de la baguette... la baguette en bois, hein. Pas l'autre.
QUE VOUS INSPIRE L'ORDRE DU PHOENIX ET ALBUS DUMBLEDORE ? : Du respect, sans aucun doute. Enfin, je n'ai jamais rencontré Albus Dumbledore en personne. Je l'ai déjà vu certes, mais je ne lui ai jamais parlé. Néanmoins, c'est un grand homme. Du moins, c'est ce que tout le monde dit. Et je ne peux que croire le peuple sur ce sujet. Un homme, un seul homme, qui crée un groupe contre les forces du mal, tandis que le Ministère de la magie ne fait rien... je lui tire mon chapeau. De plus, il est reconnu comme étant l'un des sorciers les plus puissants au monde... Je pense qu'avec Albus Dumbledore de notre côté, nous ne pouvons que gagner ! Et je serais ravie de l'interroger par la suite sur sa grande victoire. Quant à l'ordre et bien... je côtoie un des membres assez régulièrement. Voire pratiquement tout le temps, alors autant vous dire que ce sont des hommes bien. Du moins, s'ils sont tous comme ce cher Bart'. Et finalement, je suis plutôt contente de donner quelques tuyaux utiles de temps à autre. Bref, l'Ordre et Dumbledore m'inspirent du respect ainsi que de l'espoir de voir un jour cet article sur la fin de la guerre paraître bientôt.
QUE VOUS INSPIRE LES MANGEMORTS ET LORD VOLDEMORT ? : Du dégoût, de l'amusement et une petite touche de mépris ainsi que d’incompréhension. Je ne comprends pas ces gens qui se battent pour quelque chose d'aussi grotesque. C'est vrai ! On dirait qu'ils cherchaient simplement un prétexte pour tout faire péter ! Comme des gamins qui souhaiterait attirer l'attention. C'est ridicule. De plus, que comptent-ils faire une fois que la population sera « nettoyée » de tous ces impurs ? Ils souhaitent faire comme si de rien était ? Ou alors monter un empire ou prône une dictature des plus ignobles, dictée par la valeur du sang ? Et bien, je leur souhaite bien du courage, ça risque pas d'être la teuf tous les jours. Non, j'vois plutôt le genre de petits banquets bourgeois où si quelqu'un rote ou fait tomber sa fourchette il se fait empaler sur place. Sans oublier la peur, plonger le peuple dans la terreur est une chose horrible, mettre des chaînes à toute une communauté est totalement inhumain. Je ne suis même pas sûre qu'il coule la moindre petite goutte de sang dans leurs veines. Pour avoir du sang, il faut être vivant et ressentir des choses. Ces gens-là ne ressentent strictement rien hormis la satisfaction de se montrer plus puissants que le petit marchand du coin. Et la seule question que je me pose c'est; à quoi bon faire tout ça ? Cela en vaut-il réellement la peine ?
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Le jour où j'ai décidé d'être du « bon côté » ? Aaah... j'ai toujours été plus ou moins de ce côté. Même si je n'aime pas particulièrement prendre parti dans ce genre de cas. Ce n'est pas mon boulot d'être du côté de qui que ce soit. Mais bon, faut bien admettre qu'à un moment on se dit « Bordel, c'est quoi cette merde ? »... et là, c'est le cas. Sérieusement, entre un sorcier psychopathe qui s'amuse à éradiquer ceux qui ne lui plaisent pas et un Ordre qui bosse pour le bien du monde magique... le choix est vite fait. À moins évidemment d'avoir un grave problème psychologique dès le départ, et à ces gens-là je leur proposerais bien de demander l'avis d'un spécialiste. J'pense que ça leur ferait le plus grand bien. Mais bref, le jour où j'ai réellement « choisi » mon parti, j'ai fait la rencontre d'une personne m'ayant un peu poussé -plutôt menacé- de rejoindre la cause de l'Ordre. On peut dire que ce fut une des rencontres les plus grotesques et nerveuses de ma vie. Je peux encore me souvenir de l'endroit exact où cette fichue rencontre s'est déroulée. En réalité, je filais depuis quelques mois un Auror. Bon, à mon stade ce n'était encore que de vulgaires rumeurs qui m'avaient mené à cet homme, mais je voulais m'assurer que ces rumeurs soient vraies. Avoir des informations via la bouche d'un Auror aurait été absolument génial ! Non ? Alors je me suis chargée d'en faire mon affaire. Étant donné que personne ne ce bouge l'arrière-train à mon boulot. Et j'peux vous assurer qu'après cette rencontre je me suis durement entraînée pour améliorer mes capacités de filature.
J'arrive encore à me souvenir de ce bar glauque aux effluves des plus désagréables pour mon odorat. Une bâtisse crasseuse, dont les seuls clients semblaient avoir perdu leurs rêves au fond d'un verre de whisky sans glaçon. Les regards de ces gens abandonnés par la gaieté me mettaient franchement mal à l'aise... surtout que niveau furtivité ma tenue laissée à désirer... il faudrait que je pense à ne pas mettre d'orange ou de rouge pétant lorsque je m'occupe de récolter secrètement des données... m'enfin. Dans tous les cas il était là à ce moment précis. J'ai toujours été douée pour me souvenir de l'emploi du temps des gens. Petite capacité qui m'est des plus utiles ! Il semblait tout aussi perdu que la plupart des clients du bar. Bartholomeus Madsen. À cet instant précis je me souviens avoir eu la désagréable impression d'avoir affaire à un ivrogne aussi joyeux qu'un pigeon malade sur le point de clamser. J'ai presque cru que je m'étais plantée de gars ! J'ai tenté de l'aborder, lui, enchaînant les verres, et moi essayant vainement de tirer deux ou trois mots de la part de ce type chelou... impossible. Non, vraiment, impossible de lui faire ouvrir sa bouche ! J'ai tout essayé ! Le coup de la grande journaliste cherchant des réponses, le coup de la nana en pâmoison devant tant de présence et aussi le coup de la pauvre fille cherchant une ridicule information sous risque d'être virée... que dalle. Niet. Nada. Fuck. J'ai même pensé qu'il était muet cet abruti d'alcoolique ! Tss... tu parles, quel enfoiré. Muet comme une carpe. Ou comme une tombe, au choix. Son aura sombre faisait plus penser à une tombe qu'à un mignon petit poisson joyeux de nager en rond pendant des heures.
Après deux heures à essayer de le faire participer à la conversation -ce qui fut un fiasco total- j'ai finalement décidé de le suivre. S'il se rendait à l'Ordre cela n'aurait été que du bon pour moi ! Vous imaginez . Découvrir où l'Ordre du Phénix prépare ses plans... ouuuh, rien que d'y penser j'en ai des frissons ! Mais, malheureusement, cela ne s'est pas passé ainsi. Je l'ai suivi, gaiement, dans les rues et ruelles. Me cachant derrière des saloperies de POUBELLES. Oui, des poubelles ! Vous, vous rendez compte ? Eurk, ça me donne envie de vomir rien que d'y repenser. Oh j'vous jure, ils devraient installer des machins pour pouvoir se planquer lors des filatures. Parce que les poubelles... Oui, oui, je sais, je m'égare. Donc j'étais parti pour le suivre tranquillement avant que je ne me retrouve écrasée contre un mur. Telle une pauvre bestiole frappée par la divine attaque d'une tapette à mouches. Ouais, il avait remarqué ma présence, et il n'était pas content. Et ce goujat me tenait à la gorge ! D'où est-ce qu'on s'occupe d'une demoiselle comme ça ? Le plus drôle c'est qu'il m'avait pris pour une « ennemie »... J'ai la tronche d'une biatch sanguinaire ? Bref, il m'avait demandé... bon, plutôt ordonné, d'expliquer ma présence. Sauf que... c'est pas facile de parler en étant étranglée. Ouais. Une flèche ce gars, quand il le veut. Après m'avoir relâché, j'ai dû lui expliquer calmement -sans hurler à l'agression- que je n'étais ni une mangemort, ni un troll, ni un strangulot ou encore une goule. Et bizarrement, moi qui pensais qu'il allait me lâcher après ça, il finit par m'agripper par l'épaule et m'embarquer chez lui. J'ai flippé sur le coup, j'me disais « NOOON, un psychopaaaaathe, mamaaaaaan, j'veux pas finir captive d'un barjooot, j'suis trop jeune pour finir au fond d'une caaave ! » Mais au final, tout c'est bien terminé... enfin, en quelque sorte. Je suis juste une esclave au service de ce vieux râleur qui, je cite, va m'enfoncer ma plume dans la gorge si je ne l'aide pas à obtenir des tuyaux sur certaines personnes. En gros je joue les fouineuses pour lui. Oui, je risque mes miches pour ce gars. Parce que je suis persuadée qu'il serait capable de mettre ses menaces à exécutions.
C'est ce qui m'a vraiment poussé à rejoindre le parti des « gentils ». Comme vous pouvez le constater, c'est loin d'être un choix personnel, plutôt un besoin de survivre. Puis bon, mine de rien il est plutôt cool Bart. Alcoolique, râleur, sarcastique, dépressif et goujat sur les bords, mais c'est un chic type... du moment qu'il ne m'emmène pas tout droit à l’abattoir pour recueillir une info à la con. ☞ It is our choices that show what we truly are. PSEUDO : Panda.  PAYS : France, vive les bérets et le camembert ! /PAN/  CONNEXION : 5/7 ? Tout dépendra de mes projets. | | | PERSONNAGE : A moi, à moi, à moi /PAN/ Inventé.  AVATAR : Cintia (sexy) Dicker. AVIS SUR LE FORUM : Il est... tout d'abord très sombre, mais totalement sublime et lumineux et brillant dans mon petit cœur de panda.  CRÉDITER : Tumblr pour la plupart des gifs, Terry Pratchett pour ces fabuleuses citations et Class Whore pour le petit gif. |
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Dernière édition par Polly Ladner le Mar 2 Juil - 2:55, édité 5 fois |
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until the end | | Sujet: Re: Marcher d’un même pas c'est l'objectif du despotisme et de la tyranie. Les hommes libres, eux, vont dans tout les sens. Jeu 27 Juin - 17:10 | |
|  Undesirable no. one C'est la vie, say the old folks, it goes to show you never can tell ☞ Killing is not nearly as easy as the innocent believe. UNE POTION : Felix Felicis. UN LIVRE POUR SORCIER : Étude des récents progrès de la sorcellerie. UNE FRIANDISE : Un Fizwizbiz. | | | UN OBJET MOLDU : Une télévision. UN SORCIER CÉLÈBRE : Uric le Follingue. UNE INCANTATION : Aparecium. |
It was a teenage wedding, and the old folks wished them well
You could see that Pierre did truly love the madamoiselle
And now the young monsieur and madame have rung the chapel bell,
C'est la vie, say the old folks, it goes to show you never can tell Les cris, les fortes voix, les bruits de pas, le doux chant des patrons en train de grogner après la pauvre petite Catherine venant de renverser son café sur le sol... Aaah, qu'il était bon de se trouver au boulot... heureusement que l'ironie existe, également. Du bruit, du stress, du bordel, des papiers éparpillés aux quatre coins de ce lieu d'informations. Sans oublier les gens. Mais oui ! Ces fabuleux, divins, exquis petits asticots se tortillant dans tous les sens pour remplir leur tâche à la perfection, comme le réclame la direction. Parfois, on pouvait comparer tout ce beau monde avec une bande de jambons animés de spasmes en tous genres. Oui, des jambons. Les plus jeunes sont des jambons tout ce qu'il y a de plus banal, achetés dans la boutique du coin. Les plus vieux sont des jambons de pays. Avec ce goût sec et trop salé. Les jolies filles et les jolis hommes sont des jambons fumés, quant à la direction, ce sont des jambons rôtis aux noix. Et toute cette charcuterie s'amusait à accomplir son boulot du mieux qu'elle pouvait. On pouvait les voir courir, certains se vautrant lamentablement sur le plancher des plus nickels, criant des phrases souvent incompréhensibles. Tout le monde agissait sous le stress le plus prenant au monde. Les plumes volaient de ci, de là, les feuilles également. Des balais ensorcelés s'occupaient de nettoyer le sol de toutes les cocottes en papier tombaient des bureaux. Toute cette agitation était comparable à un ballet des plus grotesques et ignobles. Aaaah... quelle belle journée ! Tandis que tout le monde s'égosillait, se pressait ou s'occuper d'un nouvel article, dans un petit coin du bâtiment, on pouvait voir que les rires remplaçaient les jurons. Et oui, évidemment ! Le soleil et là, les corbeaux et les mangemorts aussi, mais ce n'est pas parce que nous sommes tous sous la menace d'un cinglé qu'il faut oublier de faire la fête. Et cette rousse savait comment s'amuser tout en restant au boulot. Le vieux tourne-disque fonctionnait à plein régime, laissant la musique sortant de ses intestins mécaniques s'emparer des lieux. Et quelle musique ! Et devinez qui se trouvait sur une des tables en train de se trémousser au rythme du boogie-woogie ainsi qu'accompagnée d'un balai comme cavalier ? Ouais, Polly était comme ça. Depuis toute petite, elle ne pouvait pas broyer du noir, même en période de crise. Alors elle s'occupait de remonter le moral des troupes en chantonnant et en dansant telle une dinde estropiée. Oui... elle était seule. En même temps, elle était la seule stagiaire de la gazette et hormis lui donner des tâches telles qu'apporter le café ou s'occuper des feuilles volantes elle ne faisait que peu de choses productives. Alors elle avait le temps de... de.... de faire euh... d'imiter un chanteur moldu. Lunettes de soleil sur son nez constellé de taches de rousseur, son corps gigotant dans leurs habits aux couleurs pétantes, qui aurait pu se douter que la demoiselle vivait dans un monde où le mal pouvait se montrer à chaque coin de rue ? Personne. Même elle, parfois, en doute. Alors elle danse Polly au rythme de la musique entraînante, kidnappant chaque balai se trouvant à sa porté, glissant sur la table telle une rock star avec ses talons hauts, secouant sa tête comme une épileptique en pleine crise... sans oublier les regards de la plupart de ses collègues qui voulaient sans aucun doute dire qu'elle avait un grain. Un gros grain. Mais elle s'en fout Polly, elle s'en moque que ces gens soient aussi amusant que des trolls malades, elle, elle s'éclate, et ça restera ainsi pendant un bail ! Alors elle remue dans tous les sens, elle danse, elle danse et... elle tombe. Et se ramasse sur le sol. « Aïïïe !... Qui a laissé traîner ces feuilles sur ce bureau ? Personne ne pourrait mettre un panneau « Attention, ne glissez pas sur les feuilles » ? Fait chier... Oh, John, coucou, hahaha... » Et elle avait merdé, comme d'habitude. Elle et son sourire fautif, elle et son regard qui signifiait « Et meeeerde... », elle et ses lunettes de soleil cassées sur le sol. Tandis qu'elle saluait son supérieur d'un signe de la main, elle se remit sur ses jambes, ignorant les rires de ses chers et tendres collègues. « Mlle Ladner, combien de fois vais-je devoir vous dire de vous tenir à carreau tant qu'on ne vous donne pas quelque chose à faire ! » ce mec n'a pas changé depuis l'époque de Poudlard. Elle s'en souviendrait toute sa vie, lorsqu'ils se sont retrouvés chez les lions et qu'elle devait à chaque fois l'obliger à venir dans ses abracadabrantesques aventures à la recherche de choses croustillantes. John était un trouillard. Ainsi qu'un être pédant et hypocrite. Et il était son supérieur. « J't'en prie, John ! Ça va faire dix ans qu'on se connaît, tu vas pas me jouer la carte du supérieur hiérarchique ! » ce cher petit John regarda de tous les côtés en souriant, gêné, au reste de l'équipe avant d'empoigner fermement la rousse par le bras et de l'emmener dans un coin à l’abri des oreilles des jambons de la Gazette. Ooooh, il ne pouvait pas appeler la stagiaire par son prénom devant les autres, sinon cela prouverait qu'il manquerait d'autorité, tss. « Écoute Polly, tu sais que je suis de ton côté, mais si tu n'agis toujours que par amusement je ne pourrais jamais t'aider à atteindre ton but de devenir journaliste ! » Oh, la sale petite enflure qu'il était ! Il ne l'avait jamais aidé devant la direction. Jamais ! Tout ce qu'il faisait c'était attendre qu'elle accepte enfin sa foutue demande à dîner pour en parler à la direction. Râââh, quel... mais quel... connard ! Oui, c'était le terme. « C'est bon ! J'essayais juste de mettre un peu de bonne humeur dans cette journée aussi pesante que les autres ! Il y a rien de mal à ça. » il soupire, passe sa main sur son visage et elle, elle lève un sourcil « C'est normal que ces journées soient « pesantes » comme tu dis, nous sommes dans une situation des plus sombres ! Mangemorts, Ordre, le seigneur des ténèbres... ça ne te dis rien ? » il est vrai qu'il y avait de quoi s'affoler, même paniquer... hurler, se laisser tomber et se mettre en position fœtale pour ensuite attendre la mort... oui... mais Polly s'en moquait bien... bon, pas de crever, je vous l'accorde, mais elle n'avait pas envie de devenir une hystérique qui oublie les ennuis en s'enfonçant dans son boulot. Surtout que son boulot, c'est de la merde pour l'instant. Donc bon. « Je sais bien ! Mais rester là, à attendre que tout pète tout en crevant de trouille, c'est pas la meilleure façon d'occuper ses journées ! Sans oublier les journaux qui ne sortent que des nouvelles catastrophiques, les « journalistes »... eurk, quelle horreur de les appeler ainsi... bref, les journalistes devraient faire un effort pour donner le moral aux gens et ne pas les laisser couler dans les abysses de cette merde noire dans laquelle nous somme ! » il souffle, grimace, fait de grands gestes avec ses bras pour se détendre... haha, quel spectacle amusant à observer. Un joli petit pingouin sous retour d'acide. Oui, bon, d'accord c'était poussé, mais ça lui ressemblait plutôt pas mal. Et la rouquine tapotait tranquillement ses doigts contre sa cuisse en entendant la musique de là-bas. C'est la vie, say the old folks... « Malheureusement nous ne pouvons pas donner de bonnes nouvelles, lorsque celles-ci n'existent pas ! Les temps sont durs, tu t'attends à c'qu'on annonce une grosse fiesta ? Raaaah... tu es tellement... tellement... » elle pouvait encore se rappeler de la semaine de vacances scolaire qu'elle avait passé chez lui lors de leur deuxième année. Il était déjà rabat-joie à cette époque, mais là... mais bon, il était resté son seul ami lors de ses années à Poudlard, alors elle se devait d'être indulgente. Enfin, son seul ami, c'est un mot un peu fort. Elle était juste trop obnubilée par ses ambitions de future grande journaliste qu'elle faisait à peine attention à ses camarades. Et comme il lui fallait un assistant à cette époque... bon, disons surtout qu'elle avait besoin de quelqu'un pour dire cette phrase « Tu passes en premier pour voir si la voie et libre et j'arrive pour fouiller, t'es prêt ? Aller, go ! »... oui, ce n'était pas très gentil, certes. Comment avait-il pu la doubler au niveau hiérarchique ? Ça la rendait presque malade. « Tellement moi ? Bref, dans tous les cas si personne ne se charge de trouver THE bonne nouvelle, je m'en chargerais moi-même, comme d'habitude ! Tu étais plus sympathique à l'époque où les professeurs nous criait dessus à cause de nos retards répétés... » et voilà comment désespérer un homme en moins de quelques minutes. Il avait sûrement raison de se pincer l'arrête du nez, Polly pouvait se montrer tellement têtue. De plus, lui rappeler leur scolarité fit rougir ce bon vieux John. « Je n'étais pas plus « sympathique », c'est notre époque qui l'était bien plus que maintenant. Et... et... ne rejette pas sur moi le fait que j'ai eu cette promotion et toi non ! Cesse donc de vouloir faire le boulot des autres, les journalistes savent ce qu'ils font. » Cette fois, c'est à son tour d'être exaspérée. Il est vrai que dire à la direction qu'elle n'est qu'un ramassis de vendus à l'affût de la moindre information, qu'elle soit bonne ou mauvaise ou même placée sous confidentialité, n'est pas une très bonne façon d'obtenir le poste qu'elle désirait. Mais, c'était sorti tout seul... mais ils pouvaient toujours rêver pour qu'elle prononce la moindre excuse. Tseuh. « Je ne t'en veux pas, écoute... c'est juste que je pense être capable de... bref. Laissons tomber, j'ai terminé ma journée de toute manière, j'y vais. » un sourire apparaît enfin sur le visage de John. Soulagé que cette histoire soit réglée. Malheureusement cela signifiait également que ses fantasmes d'homme approchant de la trentaine resurgissaient. Et Polly pouvait déjà sentir les grandes mains de son « ami d'enfance » sur ses hanches, se voulant « rassurantes »... elle ignorait le nombre de fois qu'elle avait refoulé John. Tout ce manège avait débuté dès leur sixième année. Et il n'a jamais cessé d'espérer de pouvoir gagner son cœur ou moins son corps. John n'était pas laid pourtant, loin de là. Il était même beau garçon. Un beau garçon super lourd et peureux, mais un beau garçon tout de même. Mais malgré tout c'était le même beau garçon qui s'amusait à la dînette tout seul il y a quelques années. Non, vraiment. « Je suis content que cette affaire soit terminée. Je termine dans deux heures, tu pourrais m'attendre et nous pourrions aller d-... » elle secoua la tête frénétiquement en s'échappant de ses mains un peu trop baladeuses « Je... je suis déjà attendue quelque part. Bye, John ! » et elle se dépêche de quitter ce lieu, se trémoussant une dernière fois au rythme de la musique. Elle savait qu'accepter ses avances lui donnerait des bons points pour sa promotion, mais non. Non, vraiment, non. « Bye, Polly....... BORDEL! Est-ce que quelqu'un peut m'éteindre cette foutue musique ?! On s'entend plus penser, merde ! » et tout repart comme une farandole infinie et éternelle. Le brouhaha recommence, et le bruit des talons de la rouquine s'évapore peu à peu. Elle s'en reprendre son histoire en main, son histoire qui depuis toujours reste des plus banals, une histoire de stagiaire fouineuse. Des plus banals avant qu'elle ne rencontre un certain auror un peu trop porté sur la bouteille. until the end
Dernière édition par Polly Ladner le Sam 29 Juin - 20:56, édité 4 fois |
| | | | Invité until the end | | Sujet: Re: Marcher d’un même pas c'est l'objectif du despotisme et de la tyranie. Les hommes libres, eux, vont dans tout les sens. Jeu 27 Juin - 17:13 | |
| Bienvenue et bonne chance pour ta fiche |
| | | | Poppy Hastings  SPELLS : 212
AVATAR : rooney mara
until the end | | | | | Marlene McKinnon  SPELLS : 693
AVATAR : Jenna-Louise Coleman
until the end | | Sujet: Re: Marcher d’un même pas c'est l'objectif du despotisme et de la tyranie. Les hommes libres, eux, vont dans tout les sens. Jeu 27 Juin - 17:46 | |
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| | | | Duncan Jones  SPELLS : 103
AVATAR : Andrew Lee Potts
until the end | | Sujet: Re: Marcher d’un même pas c'est l'objectif du despotisme et de la tyranie. Les hommes libres, eux, vont dans tout les sens. Jeu 27 Juin - 17:52 | |
| Bienvenue  |
| | | | James Potter  SPELLS : 623
AVATAR : aaron johnson (the best)
until the end | | Sujet: Re: Marcher d’un même pas c'est l'objectif du despotisme et de la tyranie. Les hommes libres, eux, vont dans tout les sens. Jeu 27 Juin - 18:40 | |
| Cintia est magnifique  Bienvenue et bonne chance pour terminer ta fiche  le début est déjà très prometteur ! |
| | | | Polly Ladner SPELLS : 22
AVATAR : Cintia (sexy) Dicker.
until the end | | Sujet: Re: Marcher d’un même pas c'est l'objectif du despotisme et de la tyranie. Les hommes libres, eux, vont dans tout les sens. Jeu 27 Juin - 20:29 | |
| Awwww, merci vous êtes adorables  Oui, il est vrai que Cintia est sublime, puis les rousses c'jute trop sex' Je vais essayer de terminer ma fiche au plus vite ! |
| | | | Louise Ashburn  SPELLS : 11
AVATAR : Mila Kunis
until the end | | Sujet: Re: Marcher d’un même pas c'est l'objectif du despotisme et de la tyranie. Les hommes libres, eux, vont dans tout les sens. Jeu 27 Juin - 20:32 | |
| Cintia  Je l'adore tellement Bienvenuue |
| | | | Remus Lupin  SPELLS : 721
AVATAR : andrew garfield.
until the end | | | | | Polly Ladner SPELLS : 22
AVATAR : Cintia (sexy) Dicker.
until the end | | | | | James Potter SPELLS : 623
AVATAR : aaron johnson (the best)
until the end | | Sujet: Re: Marcher d’un même pas c'est l'objectif du despotisme et de la tyranie. Les hommes libres, eux, vont dans tout les sens. Mar 2 Juil - 12:19 | |
| Puisqu'une autre membre tente le même avatar, nous attendrons qu'elle termine sa fiche pour te valider |
| | | | Amélia Bones  SPELLS : 217
AVATAR : la jolie jennifer lawrence.
until the end | | | | | Lily Evans  SPELLS : 687
AVATAR : karen gillan.
until the end | | Sujet: Re: Marcher d’un même pas c'est l'objectif du despotisme et de la tyranie. Les hommes libres, eux, vont dans tout les sens. Mar 2 Juil - 12:39 | |
| Cintia est vraiment magnifique bienvenue ici ! |
| | | | Chen Zhuang  SPELLS : 192
AVATAR : Zhang Xin Yuan
until the end | | Sujet: Re: Marcher d’un même pas c'est l'objectif du despotisme et de la tyranie. Les hommes libres, eux, vont dans tout les sens. Mar 2 Juil - 12:41 | |
| Cintia ♥♥ Bienvenue sur le forum ! |
| | | | Polly Ladner SPELLS : 22
AVATAR : Cintia (sexy) Dicker.
until the end | | Sujet: Re: Marcher d’un même pas c'est l'objectif du despotisme et de la tyranie. Les hommes libres, eux, vont dans tout les sens. Mar 2 Juil - 12:52 | |
| Ah mince, je n'avais pas vu qu'elle était déjà tentée  *pas douée pour les compétitions* Et bien tant pis, nous verrons bien  Merci à vous trois les filles Juste quelques petites choses à dire; Amélia- Lawrence est juste sublime Lily- Doctor Who, Doctor Who, Doctor Who, une autre rouquine trop sex' Chen- OMG, Zhang est magnifique et beaucoup trop rare sur les fow |
| | | | Opale Avery  SPELLS : 140
AVATAR : Barbara Palvin
until the end | | | | | Sirius Black  SPELLS : 267
AVATAR : ben barnes
until the end | | Sujet: Re: Marcher d’un même pas c'est l'objectif du despotisme et de la tyranie. Les hommes libres, eux, vont dans tout les sens. Mar 2 Juil - 19:02 | |
| Cintia Bienvenue.  |
| | | | Lily Evans SPELLS : 687
AVATAR : karen gillan.
until the end | | Sujet: Re: Marcher d’un même pas c'est l'objectif du despotisme et de la tyranie. Les hommes libres, eux, vont dans tout les sens. Lun 8 Juil - 15:12 | |
| Je suis navrée pour le temps d'attente, nous attendions que l'autre membre qui tentait Cintia se manifeste, ce qui n'a pas été le cas. :)  enjoy !! ☞ te voici validé(e) Sur une musique très conquérante (n'est pas peur, clique pour découvrir la musique de la victoire !) te voici enfin validé(e) ! Tout d'abord, nous te souhaitons nos félicitations, mais ce n'est pas tout ! Désormais, étant que membre validé, tu vas devoir lire les énoncés suivants. Tu as désormais pris un choix en faisant ta fiche, celui de collaborer ou de résister. Il est très important pour toi de comprendre l'importance de ce choix au vu de la situation et du contexte dans lequel nous jouons (ouais, c'est pas les bisounours quoi.) et que ton personnage sera soumis, en fonction de ce choix, a une vie pas forcément belle, pas forcément très morale. En effet, la guerre, la peur de mourir ou d'être torturé et laisser pour mort peut faire basculer vers les choix les plus immoraux, les personnes les plus droites d'esprit. C'est la guerre, voilà. Si tu as bien compris ça et que tu sais dans quoi tu es engagé, tu peux désormais lire la suite. Comme tous les membres validés (on note l'entrain de Hermione qui vous félicite, ouaip, elle est contente.) tu vas devoir venir recenser ton avatar dans un premier temps. C'est très important car si tu ne le fais pas, le staff ne le fera pas pour toi, ni Hermione d'ailleurs (bon okay, elle est à l'état d'embryon pour le moment, mais quand même !) Ensuite, tu devras t'occuper de ton personnage, de bien l'intégrer dans le jeu et pour cela, tu devras recenser son patronus, son métier mais aussi son ancienne maison quand il étudiait à Hogwarts. Tu pourras ensuite, si tu le souhaites, ouvrir un registre de liens et de rps ainsi que tenir un journal intime pour conter l'histoire et les mésaventures de ton personnage ! Enfin, n'oublie pas le flood qui est un très bon moyen pour t'intégrer au sein du forum et de sa communauté ! Concernant ta fiche sinon, Hermione a un petit mot à te dire à ce sujet, elle l'a trouve très drôle ! J'ai beaucoup aimé te lire, tu écris vraiment très bien et la touche d'humour que tu as su ajouter au texte le rend d'autant plus agréable à lire. Ce personnage promet d'être haut en couleur et j'ai hâte de te lire en RP. Et enfin, un dernier mot ! Bon jeu parmi nous !  until the end |
| | | | Contenu sponsorisé until the end | | Sujet: Re: Marcher d’un même pas c'est l'objectif du despotisme et de la tyranie. Les hommes libres, eux, vont dans tout les sens. | |
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| | | | | | Marcher d’un même pas c'est l'objectif du despotisme et de la tyranie. Les hommes libres, eux, vont dans tout les sens. | |
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