NAME : Webster, nom typiquement anglais porté par des générations avant elle... De moldus. SURNAME : Paige, c'est un prénom qu'elle aime beaucoup, tandis que Clélia lui vient d'une arrière grande-tante dont elle ne sait rien. AGE : Vingt ans tout rond. PLACE OF BIRTH : Elle est née dans un hôpital londonien, tout ce qu'il y a de plus basique. YOUR BLOOD : Sang-de-bourbe, comme se plaise à la surnommer les sangs-purs MARITAL STATUS : Elle est fiancée, même si elle n'aime pas trop cette situation : s'attacher dans une période telle que celle qu'elle est occupée à vivre n'est pas la meilleure des idées. JOB OR OTHER : Elle travaille au ministère de la magie. Une fois sortie de Poudlard, elle a intégré le magenmagot où elle possède un poste qui lui a permis de se stabiliser. YOUR WAND : Mesurant vingt-six centimètre de long, elle est faite de bois de rose contenant du ventricule de dragon. Elle est parfaite pour les sortilèges informulés. PATRONUS CHARM : Son patronus prend la forme d'un écureuil.BOGGART : Si au début, lors qu'elle était encore une élève à Poudlard, don épouvantard était une simple araignée géante (ses cousins s'étaient amusés à lui en mettre une dans son lit lorsqu'elle était petite), aujourd'hui, il s'agit plutôt de la découverte du cadavre de son fiancé et de sa petite sœur. HOGWART HOUSE : Ancienne Gryffondor, le choixpeau a cependant hésité quelques instants avec la maison d'helga poufsouffle, en vue de son côté travailleur. YOUR CHOICE : Paige est elle-même une née-moldue et défend avec beaucoup de convictions ces derniers. Après tout, pourrait-il en être autrement ? MIRROR OF ERISED : Elle se voit aux côtés de ses parents, de sa sœur et de son fiancé, portant elle-même un enfant dans ses bras.

Une pièce habituellement vide. Un fin rayon de soleil filtrant au travers des carreaux de la pièce. Une petite fille à la longue chevelure ébène assise au milieu de la pièce, face à l'immense étagère emplie de livres en tout genres. Et puis, un bruit sourd. Le bruit de l'un des nombreux bouquins s'écrasant au sol. La petite fille sursaute, mais ne se formalise pas et jette un regard au livre suivant qui vient lui aussi, s'abattre sur le sol. Très vite suivi d'un troisième, puis d'un quatrième et bien vite, une dizaine de bouquins se retrouvent sur le parquet de la demeure familiale que les Webster ont achetés non loin du centre de Londres. Les parents, alertés par le bruit froncent d'abord les sourcils avant de se diriger vers le bureau dont le père était certain d'avoir verrouillé la porte. Madame Webster ouvre la porte et découvre sa petite fille occupée à rire. Autour d'elle, une bonne dizaine de livres volent en tout sens dans la pièce dont se sert monsieur Webster lorsqu'il doit travailler en semaine. Tout deux sont effrayés et se jettent un regard en coin avant de reculer d'un pas. L'enfant se tourne dans leur direction, venant seulement de se rendre compte de leur présence et tous les livres retombent au sol dans un bruit sourd, comme si rien ne c'était jamais passé.

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Paige, qui n'est alors âgée que de onze ans s'agite sur le tabouret sur lequel elle s'est assise quelques secondes auparavant. Elle sent les regards de certains enfants de son âge, ainsi que de plus grands attablés posés sur elle. Certains sont haineux. Si elle ne sait pas encore pourquoi, elle le saura très vite. Trop vite. Elle n'est ni de sang pur, ni de sang-mêlée, ce qui dérange les sorciers de la haute société, ceux dont le sang est pur de chez pur. Ses mains sont posées sur ses genoux, elle attend la décision du choixpeau qui semble hésiter entre deux maisons. « Jeune fille, laisse-moi te dire que tu me laisses perplexe. Je vois en toi un grand goût pour le travail acharné, la passion de toujours vouloir se dépasser et faire ses preuves. Mais un courage, ainsi qu'une fidélité sans limite, mmh. Poufsouffle ou Gryffondor, telle est la question... Je crois que je vais opter pour GRYFFONDOR ! » Et puis, soudainement des acclamations se firent entendre à la table des rouges et ors. Sur son passage vers la table à laquelle elle mangerait pendant sept années, elle sentit à nouveau des regards haineux, dédaigneux et hautains. Mais finalement, elle s'en moquait, car déjà, elle recevait des tapes amicales sur l'épaule de la part de ses futurs camarades.

Assise à la table des Gryffondor, Paige qui était alors âgée de quinze ans et donc en cinquième année, la jeune fille s'appliquait à boucler son devoir de métamorphose pour le professeur Mcgonagall qu'elle appréciait particulièrement pour son esprit juste. Certes, elle était sévère, mais peu lui importait. Elle n'avait encore jamais été en retard lorsqu'il était question de rendre des devoirs, mais il faut dire que Potter et Black lui avait cassé les pieds toute la semaine afin qu'ils puissent lui copier dessus. Elle avait cependant juré à Lily de ne pas craquer et pour ne pas se laisser avoir, comme elle le faisait toujours lorsqu'elle était en première année, elle avait décidé de s'y prendre à la dernière minute, évitant les deux jeunes hommes au possible. « T'es sérieuse là ? » La jeune rouquine venant de s'installer à leur table ouvrit des yeux ronds comme des soucoupes en voyant que Paige terminait son devoir seulement quelques heures avant le cours. « Quoi ? » Demanda-t-elle en fronçant les sourcils, cependant toujours occupée à rédiger son parchemin. « Tu m'as dis de ne pas craquer. Je n'ai pas craqué, estime-toi heureuse ! » Lily leva les yeux au ciel, puis reporta son attention sur quelque chose de plus important, tandis que la jeune Webster concluait avec le parchemin. « Et... V-O-I-L-A. » Cependant, elle fut rapidement interrompue par des bruits de pas rapides : deux gryffondors de l'année de sa petite soeur s'arrêtèrent face à elle, le souffle court. « C'est... Eoline. » Commença la première, pliée en deux. Visiblement, elles avaient couru. La deuxième secoua la tête et se tourna vers la table des serpentards. « Ils sont encore occupés à... » Mais Paige ne le laissa pas terminer sa phrase, elle savait. Parce qu'elle était passée par là avant Eoline, comme tous les nés-moldus. Elle se leva du banc avec rapidité, puis quitta la grande salle, suivant April et June, deux jumelles de sangs-mêlés qui la menèrent jusqu'au troisième étage où effectivement, une bande de serpentards qu'elle ne connaissait que trop bien avait encerclés sa petite soeur. Paige leva sa baguette et s'avança vers les élèves de la maison de Salazar. « Quatre contre une, quel courage ! » S'exclama-t-elle, attirant de la sorte l'attention du groupe qui se tourna vers elle, le regard furieux d'avoir été interrompu. « Quoi, t'es jalouse la sang-de-bourbe ? »Tous pointèrent leur baguette sur elle, tandis que les amies de sa soeur d'un geste sortaient la leur. Même si elles tremblaient, elle l'avait fait, prouvant qu'elles étaient bel et bien des élèves de la noble maison de Godric. « Expelliarmus ! » Le sortilège fusa de la baguette en bois de rose de la jeune fille, tandis que les deux autres contraient un sortilège. Elles n'étaient qu'une année en dessous de Paige, mais elle savait que face à des élèves plus âgés, elles ne tiendraient pas. L'élève ayant perdu sa baguette se recula pour la chercher, tandis qu'un sortilège de levicorpus fut lancé de derrière le groupe des trois filles : Nate, un élève de la même année que la jeune fille se trouvait à quelques mètres d'elle. « Quoi, sérieux les mecs ? Non seulement, vous vous en prenez à plus jeune que vous, mais en plus à des filles ? »

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Paige qui venait aujourd'hui de terminer son premier jour de travail au sein de ministère de la magie avait transplaner jusqu'au coin d'une rue de Londres. A quelques maisons de là vivaient ses parents à qui elle rendait visite chaque soirs, pour s'assurer qu'ils allaient bien. De plus, sa cadette d'un an, Eoline vivait encore chez eux, le temps de décrocher un emploi stable et d'enfin pouvoir voler de ses propres ailes. Paige lui avait déjà proposé à plusieurs reprises de venir s'installer dans l'appartement qu'elle partageait avec son petit copain, Nate le temps qu'elle voulait, mais cette dernière avait refusé, prétextant qu'elle ne voulait pas les encombrer. Regardant derrière elle à plusieurs reprises, de peur d'être suivie étant donné les derniers évènements en date, la jeune femme resserra un peu plus sa cape de couleur bleue nuit, puis se stoppa net à quelques mètres de la demeure familiale. Une boule se forma dans sa gorge et son estomac se noua tellement fort qu'elle cru qu'elle allait vomir le peu de choses qu'elle avait avalé sur la journée. Juste au-dessus de la maison de ses parents flottait la marque. Celle dont elle avait tant de fois entendu parler. Celle du seigneur des ténèbres. Ce n'était pas possible. Cela ne pouvait pas arriver. Pas à elle, pas à sa famille. Paige poussa le portail menant à la porte de la maison qui était entre-baillée, le coeur tellement serré qu'elle cru qu'elle allait étouffer. Elle la poussa d'un geste sec et longea le couloir avant de bifurquer dans la salle-à-manger où gisait le premier cadavre : celui de son père. Il était allongé sur la moquette. Ses yeux grands ouverts de terreur donnait l'impression de fixer sa fille aînée d'une façon suppliante. Ils l'avaient torturé, cela ne faisait aucun doute : ils aimaient ça. Prise d'une soudaine nausée, la jeune fille à la chevelure d'ébène se laissa tomber à genoux à côté de son père qui lui avait tout appris. Rouler à vélo, lire, écrire. Lorsqu'il avait découvert qu'elle était une sorcière, il ne l'avait pas reniée, ni traitée de monstre, contrairement à ce à quoi elle s'attendait. Non, il avait plutôt été émerveillé par sa fille, plus qu'il ne l'était déjà. Puis était venu le tour d'Eoline et une nouvelle fois, il avait accueilli la nouvelle à bras ouverts. Une larme roula sur sa joue, puis une deuxième et une troisième. Mais elle se releva cependant, essuyant ses yeux mouillé d'un revers de bras. Non loin, à quelques mètres, près de la cheminée, elle aperçut le cadavre de sa mère et préféra ne pas s'y attarder. Où était Eoline, sa petite soeur ? « EOLINE ?. » Elle se moquait bien de réveiller les voisins, tout ce qu'elle voulait, c'était sa soeur. Retournant dans le hall d'entrée, elle monta les escaliers, puis ouvrit les chambres une à une, redoutant de tomber sur le corps inerte de la jeune fille. Celle avec qui elle avait tout partagé durant des années entières, une partie d'elle-même. Mais elle ne la trouva pas. Etait-il possible qu'ils l'aient prise ? Non, elle ne leur apporterait rien. Et puis, un éclair traversa le regard de la Webster : elle lui avait fait savoir, il a y a de cela une semaine qu'elle ne serait pas chez elle, mais qu'elle logerait chez une amie qui avait le moral à zéro, suite à la perte de sa mère, tuée par des mangemorts. Quel euphémisme.

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« Ma chère Eoline,

J'espère que ton séjour chez Abigail se passe bien et que tu arrives à lui remonter le moral comme il est possible de le faire avec un tel évènement lui étant tombé sur les épaules. J'aimerais cependant que tu reviennes. Non pas chez papa et maman, mais chez moi. J'ai une terrible annonce à te faire, aussi, je préfère ne pas t'en dire plus via hiboux.

Je t'embrasse,

PCW. »

Paige plaça la lettre dans une enveloppe qu'elle confia par la suite à son hiboux, Cléo qui s'envola immédiatement pour Loutry st chaspoule. Derrière elle se tenait Nate qui finit par lui attrapa la main pour l'attirer à lui, la serrant dans ses bras. Il savait combien les derniers évènements avaient été dures à affronter et il l'avait soutenu comme il pouvait la nuit dernière, lorsqu'elle était tombée sur le cadavre de ses parents. La jeune femme lui embrassa la joue, puis s'éloigna, légèrement pensive. Comment avait-elle pu laisser ses parents sans la moindre protection ? Elle aurait du se douter qu'ils seraient l'une des nombreuses cibles des partisans du mage noir, ça creuvait les yeux. « Paige, épouse-moi » Perplexe, la jeune femme se tourna vers son petit-ami depuis maintenant quatre ans et haussa un sourcil. Elle avait mal entendu, ce n'était pas possible autrement. « Quoi ? » Finit-elle par articuler, la gorge sèche tandis que Nate s'avançait vers elle, lui prenant les deux mains cette fois-ci et plongeant son regard dans le sien. « Marions-nous ! Maintenant, tant qu'il en est encore temps. Tu as vu ce qui est arrivé à tes parents, on a pas de temps à perdre. » Il marqua une courte pause et voyant son regard plus que perdu, il ajouta. « Je t'aime, Paige et j'ai peur de te perdre. Chaque jour, je me dis que s'il t'arrivait quelque chose, je ne m'en remettrais pas, je ne me le pardonnerai jamais. Ne perdons pas de temps, épouse-moi. » « Mais je... On a pas.. Tu es certain ? » Surprise, elle l'était. Cependant, l'idée n'était pas mauvaise en elle-même. Puisqu'on était plus certain de rien, alors autant faire ce dont on avait envie. Sauter le pas avec Nate en faisait partie. « Je suis certain de mes sentiments, le reste n'a aucune importance. » Un sourire se dessina alors sur les lèvres de Paige. Malgré les dernières atrocités, il avait réussi à la faire sourire. « D'accord.. Je.. Oui, j'accepte de t'épouser. » Et comme dans les romans à l'eau de rose qu'elle lisait, Nate la prit dans ses bras et la fit tourner dans les airs avant de l'embrasser avant de lui murmurer à l'oreille. « Au fait, on est attendu par l'ordre demain pour les rejoindre. » Surprise, Paige cligna des yeux avant de se reculer quelques peu de son fiancé. Elle le détailla un instant pour voir s'il était sérieux et puis ouvrit la bouche. « Sérieusement ? On va enfin pouvoir aider à ramener la paix. » C'était tout ce qu'elle souhaitait après la mort de ses parents. Non pas par vengeance, mais par saturation de cette injustice qui s'emparait de l'Angleterre. Elle allait se marier, intégrer l'ordre et avait encore Eoline à ses côtés.

Sur une musique très conquérante (n'est pas peur, clique pour découvrir la musique de la victoire !) te voici enfin validé(e) ! Tout d'abord, nous te souhaitons nos félicitations, mais ce n'est pas tout ! Désormais, étant que membre validé, tu vas devoir lire les énoncés suivants. Tu as désormais pris un choix en faisant ta fiche, celui de collaborer ou de résister. Il est très important pour toi de comprendre l'importance de ce choix au vu de la situation et du contexte dans lequel nous jouons (ouais, c'est pas les bisounours quoi.) et que ton personnage sera soumis, en fonction de ce choix, a une vie pas forcément belle, pas forcément très morale. En effet, la guerre, la peur de mourir ou d'être torturé et laisser pour mort peut faire basculer vers les choix les plus immoraux, les personnes les plus droites d'esprit. C'est la guerre, voilà. Si tu as bien compris ça et que tu sais dans quoi tu es engagé, tu peux désormais lire la suite.

Comme tous les membres validés (on note l'entrain de Hermione qui vous félicite, ouaip, elle est contente.) tu vas devoir venir recenser ton avatar dans un premier temps. C'est très important car si tu ne le fais pas, le staff ne le fera pas pour toi, ni Hermione d'ailleurs (bon okay, elle est à l'état d'embryon pour le moment, mais quand même !) Ensuite, tu devras t'occuper de ton personnage, de bien l'intégrer dans le jeu et pour cela, tu devras recenser son patronus, son métier mais aussi son ancienne maison quand il étudiait à Hogwarts. Tu pourras ensuite, si tu le souhaites, ouvrir un registre de liens et de rps ainsi que tenir un journal intime pour conter l'histoire et les mésaventures de ton personnage ! Enfin, n'oublie pas le flood qui est un très bon moyen pour t'intégrer au sein du forum et de sa communauté !

Concernant ta fiche sinon, Hermione a un petit mot à te dire à ce sujet, elle l'a trouve (...) très bien et bienvenue par la même occas parce que tu as été trop vite pour moi ! xD

Et enfin, un dernier mot ! Bon jeu parmi nous !