NAME : Depuis des générations, les Windspell affublent leurs enfants de prénoms grecs et pas des moindres : souvent, ils sont en lien avec les Divinités ou les souverains ayant marqué la Grèce Antique. Ainsi, les quatre descendants Windspell se nomment respectivement : Adraste (décédé), Adonis, Achille et Ariane (décédée). SURNAME : Windspell, un vétuste nom anglicisé depuis treize générations, à cause des difficultés de prononciation dans sa signification en grec ; ce nom trouve ses véritables racines dans les plaines de la Thrace occidentale. AGE : vingt-six ans. PLACE OF BIRTH : aux environs de Londres. YOUR BLOOD : sang-mêlé. MARITAL STATUS : Autrefois fiancé, il ne s'est pourtant jamais marié. Célibataire et père d'une enfant de six ans. JOB OR OTHER : détective privé. YOUR WAND : Sa baguette mesure vingt-huit centimètres ; en bois de chêne blanc, bois connu pour la loyauté envers le sorcier qui l'hérite. Mais le cœur contient du dard de Manticore, ce qui rend sa baguette très rigide. PATRONUS CHARM : Autrefois, il réussissait à en produire, sous la forme d’un faucon. Depuis plusieurs années, il se sent handicapé magiquement à cause de sa magie disparate. Il a également perdu les morceaux de son humanité, il a du mal à les retrouver pour la reconstruire et le Patronus n’est pas évident à réussir lorsqu’on n’a pas droit au bonheur. BOGGART : Le corps mutilé, défiguré, stigmatisé de sa sœur Ariane. HOGWART HOUSE : Gryffondor. YOUR CHOICE : Autrefois, il était profondément bon, humaniste et altruiste, se préoccupant des autres sans réfléchir. Jusqu'à ses dix-huit ans, il n'y avait absolument rien qui indiquait qu'il changerait de camp un jour ou l'autre. Et pourtant, quand on retrouva le corps mutilé d'Ariane et qu'Achille découvrit que les véritables assassins étaient des moldus et des nés-moldus… Il décida d'agir. Dicté par la vengeance, par la haine d'une sous-race qui lui a enlevé sa sœur, Achille s'est intéressé à l'idéologie mangemorte jusqu'à tourner le dos à son passé de bon samaritain. Il attend de retrouver le né-moldu qui avait dirigé l'homicide de sa sœur pour l'assassiner et ainsi, avoir le privilège de recevoir la Marque des Ténèbres. MIRROR OF ERISED : Une famille, heureuse, nombreuse – pas de morts pour ternir l’image idyllique. Son ancienne fiancée, devenue son épouse et, leurs enfants ; ses frères et sa sœur. Illusions en désaccord avec la réalité puisqu’il n’a plus personne à ses côtés, sa famille est disloquée.

Une violente lueur se posa sur ses paupières, dans son ventre, la Bête rugit d’envie. Un frisson le parcourut au même instant que sa carcasse fatiguée se mit à gesticuler. Délire hallucinatoire. Il en avait l’habitude. De voir les spectres à ses côtés. Des personnes disparues, décédées, des membres de sa famille. De l’impatience à la fougue, Achille rêvassait, avec hâte, de retrouver les siens. Ses hallucinations lui donnaient l’impression de voir toutes ces personnes, constamment, près de lui. Et en ce moment même, lorsqu’il darda son regard azur dans la pièce plongée dans la pénombre, il les vit. Contact visuel, simagrées de sourire, silence tendu. Mais plus il maintenait le contact visuel, plus les effets de son délire se dissipaient. Achille fronça les sourcils, quelque chose clochait dans sa vision, celle-ci semblait trop réelle. « Achille ? Achille, retrouve tes esprits, c’est urgent. » La silhouette se découpa dans le noir, elle se distinguait des autres par les mièvres détails trop réels pour passer inaperçus ; de sa voix inquiète, à ses yeux couleur frayeur, Achille était certain que l’homme face à lui n’était autre que son frère. En titubant, Achille parvint à marcher vers lui, faisant fuir les autres présences – résultat avilissant de ses hallucinations. « Que… » commença-t-il, dans l’espoir de relâcher les nombreuses questions qui gangrenaient son cerveau. Car après tout, la présence de son frère n’était pas rien : des nombreuses disputes, ils s’étaient mis d’accord que si par miracle l’un d’eux trouvait de nouvelles pistes, ils se reverraient. Trois mois qu’ils ne s’étaient pas revus, sans même ressentir le besoin, les frères Windspell n’étaient pas proches, ils se contentaient des coups et des luttes intestines. « J’ai une piste. » annonça Adonis de but en blanc, la nervosité faisant tressauter sa paupière gauche. Achille grommela, chassa les restes de ses hallucinations afin de retrouver ses esprits. « Je t’écoute. » Même si, au fond de lui, il était mitigé entre la hâte d’en savoir davantage et la peur d’apprendre une mauvaise nouvelle. « Les moldus. Deux-trois moldus ont parlé il y a quelques jours, propageant des rumeurs dans la région du Sud. Je… Les collègues ne voulaient pas me croire. J’ai décidé d’enquêter seul et j’ai trouvé ça. » dit-il en tendant une veste rouge à Achille. À sa vue, une lueur brilla dans son regard, la possibilité que la veste soit celle de leur sœur était hausse puisque les arabesques cousus sur les manches étaient exactement les mêmes que pour tous les Windspell. « Peut-être que c’est une simple reproduction, une copie. » « Impossible, il y a les initiales d’Ariane sur l’étiquette. Je sais, il peut y avoir un millier de raisons pour que sa veste soit retrouvée sur le même lieu de ces rumeurs. Mais… mais j’ai envie de croire qu’on a une piste et qu’elle pourrait toujours être en vie. Est-ce que tu me suis ? » Achille acquiesça, la gorge enrouée, rassembla les morceaux épars de sa détermination et ils quittèrent l’appartement pour suivre une piste qui pourrait être fausse.
Au Sud de la région, dans un entrepôt en ruines, une multitude de carcasses flasques en voie de boursouflure s’entassaient dans un coin. Dans ce tas de corps, se trouvait celui de leur sœur. Ariane, mutilée, défigurée, dépourvue d’une once de vie. Les Windspell ne surent jamais ce qui s’était réellement passé avec Ariane, le fond de l’affaire n’était pas révélé. Mais Achille savait et cela l’obsédait. Il ne fit jamais son deuil, il devint haineux et vindicatif, exécrant l’humanité entière pour ne vouloir qu’une chose : se venger, éradiquer les membres de la secte Zodiak qui s'était emparée de sa sœur. Il n’était pas prédestiné à changer de camp. Mais quand il apprit que sa sœur avait était torturée puis tuée par des moldus… sa haine de ce peuple le fit disjoncter. Jusqu'à le changer dans son essence, il adhéra ainsi à l'idéologie mangemorte.

« TES PENSÉES, JE LES FAISAIS MIENNES. T'ACCAPARER, SEULEMENT T'ACCAPARER. »

Elle l’a quitté.
Comme les autres. Comme tout le monde. Il s’enfila un verre de rhum, tituba légèrement, cracha sur son miroir. Reflet d’un cadavre presque en décomposition. Il se déteste. Il la déteste. Il ne sait plus qui il déteste. Les rires, les sourires… incrustés dans son esprit, sans qu’il ne puisse penser à autre chose. La vingtaine, qu’il dit, mais il était amoureux et convaincu de faire sa vie avec cette fille. Imbécile qu’il était. Nouveau verre pour noyer ses regrets. Parce qu’il voulait sincèrement en faire la femme de sa vie, la mère de ses enfants. Il rit, d’un rire malsain, nerveux, dont il n’a aucun contrôle. Il voudrait l’insulter… si seulement il en était capable. Parce que même si elle l’a quitté, ses foutus sentiments ne sont pas partis en même temps qu’elle a quitté leur appartement. L’appartement, son regard se posa çà et là, contemplation discrète du lieu supposé être le leur. Comme s’il pouvait la voir se déplacer dans le salon, enchaîner les nombreuses activités, rire entre deux ménages, l’embrasser… Il en rêverait. Le spectre de son sourire s’envola et une autre bouteille se vida.

Idylle d’adolescents, loin des affres émotionnelles et des luttes sans raison. Ils ne se cachaient même plus, à l’école. Ne perdaient pas un instant pour étaler leur bonheur devant les autres. S’enivrer d’amour. À l’école, on révise, on vise des objectifs, on se construit un avenir. Il l’entraîna chez les Aurors. Les regrets pèsent lourd. Il se demanda si elle ne l’a pas quitté parce que… parce qu’il a mis un frein à la carrière professionnelle de Geneva, pour qu’elle ne soit jamais séparée de lui, même dans un cadre professionnel. Il ne voulait, sincèrement, que son bonheur. Un peu égoïstement. Il décida de chasser cette idée pour se souvenir de ce qui avait pu mal tourner dans cette relation. Ils avaient été heureux, un court instant. Tombés amoureux à l’adolescence, même plus longtemps encore pour Achille, tant son obsession pour son ancienne fiancée remontait à loin. Amoureux, fiancés, ils avaient fini par emménager ensemble. Il l’avait présentée à sa famille, et sa famille l’avait adoptée. De ce qu’il s’en rappelait. Sa mère lui avait donné une bague de fiançailles, celle qu’elle avait hérité de sa propre mère, afin qu’il puisse l’offrir à Geneva, un jour. Et Geneva l’a quitté. Il balança la bouteille sur le miroir, morceaux tranchants qui entaillèrent ses pieds nus. « Pas grave », qu’il dit, ivre mais toujours aussi lucide sur les souvenirs qui tentaient de refaire surface. Sa famille lui manquait. Les Windspell, déchirés par les décès ; famille disloquée mais qui tentait de survivre. Autrefois, la famille était unie. Famille formidable, dirait Achille. Il ne croyait pas à cette malédiction qu’on racontait sur sa famille. Comme quoi les enfants Windspell seraient maudits à cause d’un mauvais pacte conclu par Sahak Windspell et le Diable en personne. Qu’on raconte. Mais Achille n’y croit pas, il n’y a jamais cru. Parce que si son frère Adraste est décédé, ce n’est pas la faute d’une malédiction mais celle du feu. Les flammes. Braises incandescentes qui l’ont dévoré quand il n’avait que deux ans. Achille ne l’a pas connu, n’a pas réellement été marqué par cette tragédie. C’est surtout la mort de sa jeune sœur qui l’a touché plus qu’il n’y aurait cru. Parce que sa sœur est morte de façon injuste. Parce que ses assassins n’ont toujours pas été attrapés et n’ont pas payé. Parce que Ariane… Ariane était merveilleuse. Enfant, elle lui avait demandé ce qu’était la mort. À lui, un enfant lui-même, celui qui ne s’y connaissait pas non plus sur ce sujet mais qui avait fini par répondre que… « Adonis m’a expliqué que la mort, c’est quand… quand tu perds ta rame ou ton âme, je sais plus très bien. Et bah, quand on meurt, petite-sœur, on perd sa rame et on ne peut plus naviguer avec les autres. On va dans le pays des morts, là où il n’y a pas de rame pour vivre. Mourir, c’est perdre ta rame. Mais t’en fais pas, les enfants, ça ne meurt pas très bien… » Et puis, Ariane l’a finalement perdue, la sienne. Et Achille… Achille n’y a pas survécu. Il se mit à haïr le monde entier. Plus d’humanité, plus de pitié… il troqua ses idéologies d'antan contre la haine dévoratrice des entrailles. C'était un peu comme s’il avait l’impression d’avoir un monstre dans ses entrailles. Les blessures créent des monstres. Peut-être qu’un jour, le sien finira par le dévorer… « 'Nuit, Achille, » dit-t-il en s'écroulant sur son lit, ivre mort, à cause de ses pensées décousues dont il n'avait aucun contrôle. Surtout quand il repensait à Geneva et à sa famille. Ce jour-là, il se noya dans son désespoir, demain, il reprendra le cours de sa vie.

« J'AI DANS LES BOTTES DES MONTAGNES DE QUESTIONS OU SUBSISTE ENCORE TON ÉCHO. »

Il n’y avait que des miasmes retentissants au dehors, le barouf de l’orage s’était étiolé, présage d’un temps sans doute meilleur pour l’après-midi. Son regard dévia de la fenêtre pour se poser sur son bureau, cadavres de cigarettes écrasés contre céramique de cendrier, entassés les uns sur les autres. Il lâcha un juron en arrachant la cigarette entamée de sa bouche ; il n’était pas d’humeur à fumer. Son regard azuré se posa sur les nombreux documents que vomissait la corbeille. Il s’attarda un instant, sur un slogan qui se dévoilait sur une feuille, slogan qu’il avait étudié durant des heures… Sans résultat. Et de rage, il avait tout balancé dans la poubelle. Agacé, il voudrait même renverser le cendrier sur ces papiers, pour qu’un mégot mal-éteint mette le feu à ce souk. Dans une impasse. Il était dans une véritable impasse, il ne cessait d’enquêter, enquêter, enquêter… Sans mettre la main sur une piste sérieuse. Adonis avait eu raison, l’année dernière, de dire qu’il ne valait rien comme enquêteur. Mais Adonis avait l’habitude de lui dire des choses qu’il ne pensait pas, et réciproquement, les frères Windspell n’étaient pas habitués aux mots doux ni aux étreintes chaleureuses. Comme des étrangers l’un pour l’autre. Et puis, Achille était déterminé, foutrement déterminé, persuadé qu’il trouverait quelque chose, agacé également de ne rien trouver. Un peu sanguin, un rien le mettait sur les nerfs ces dernières semaines. Ou années, il a cessé de compter. Depuis qu’il a quitté les Aurors. Depuis que sa fiancée l’a quitté lui. Pour s’occuper et éviter de devenir aliéné, Achille s’était d’abord lancé dans la vente d’objets et créatures magiques, activité illégale qui lui prenait tout son temps, il avait fini par laisser tomber au bout de quelques mois. Il préférait reprendre cette vente que lorsqu’il n’a pas les moyens financiers de s’en sortir – à peu près tous les six mois. Et puis plus tard, il devint chasseur de primes, boulot qui lui rapporte le double de la vente d’objets et créatures magiques mais qu’il ne pratique que lorsque les récompenses en valent la peine. Depuis quatre ans, le seul travail stable qu’il n’a pas abandonné au bout de quelques mois est détective privé. Principalement en lien avec ses occupations de Mangemort, malgré l’absence de marque sur son bras. Et également en lien avec sa sœur décédée, car ses recherches laborieuses ne concernent que cette secte qui l’obsède : Zodiak.  

Encore les mêmes histoires qui reviennent incessamment, il eut l’impression que son existence ne tournait qu’autour des autres, de ces gens, ceux qui l’avaient abandonné. De fatigue, il reposa son front contre le bureau, dans l’espoir de mettre au clair ses pensées. Il travaillait trop, dirait Adonis, pour rien, rajouterait-il aussitôt. C’était un sale défaut, de s’obstiner dans cette affaire, ne rien lâcher, ne rien abandonner. Achille se sentait fatigué, vieux, il avait l’impression de s’acharner depuis une centaine d’années, tant il n’avançait pas. Ou très peu. Même Adonis avait finalement laissé tomber, acceptant la mort d’Ariane. Quelques secondes plus tard, un pop se fit entendre à sa gauche. Achille ne prit pas la peine de relever sa tête pour faire face à l’intrus, il savait très bien qui c’était. « À chaque fois qu’on se voie, tu m’annonces quelque chose. Crache ton morceau et dégage. » dit-il sans cérémonie, il ne supportait de le voir réapparaître dans sa vie et tout bousiller sur son passage. Adonis était comme une Banshee, le spectre annonciateur de la mort. Il dévastait tout sur son passage, même les membres de sa famille. « Qu'as-tu trouvé sur Ariane ? » anticipa Achille, en relevant sa tête pour le regarder dans les yeux quand il lui annoncerait les nouveautés. En le dévisageant, Achille se rendit compte que son frère était affreusement amaigri, une barbe recouvrait son visage mais pas assez pour couvrir le creux dans ses joues. Il décida de ne pas lui demander ce qui lui était arrivé… « Ça ne concerne pas Ariane cette fois. Mais ton ancienne fiancée… » À cette phrase, Achille crispa ses mains sur le bois du bureau. Ses lèvres formèrent une ligne fine et amère, ses yeux se teintèrent d’une lueur foncée, amorce d’une colère qu’il ne réservait qu’à son ancienne fiancée. Il garda le silence. « Je voudrais juste savoir… quand elle t’a largué, t’avais pas remarqué un comportement étrange ? » Achille fronça les sourcils, cherchant dans sa mémoire une information qui pourrait convenir à Adonis mais il ne trouva rien, il se contenta de hocher la tête négativement. « Bon, eh bien, je suppose que tu étais trop absorbé par d’autres priorités… Passons. En fait, elle a mis au monde une petite fille. Ta fille. »

— ω —

« Ça a fonctionné. » Il avait du mal à y croire… comme si, même en constatant de ses propres yeux, il n’arrivait pas admettre le fait que son plan ait fonctionné. Il déglutit, se sentant désorienté dans son appartement à huis clos. Merde, ça avait vraiment marché. Son ancienne fiancée… Torturée. Mais torturée pour la bonne cause. Et puis, libérée. Il y avait comme un combat, à l’intérieur de sa caboche, entre une culpabilité naissance et l’euphorie de la victoire. C’était une belle revanche qu’il gagnait sur Geneva… Persuadé que le temps serait court, avant qu’elle ne tombe entre ses mains. Parce qu’elle ne survivrait pas sans sa fille. Grace. Il déglutit de nouveau. Effrayé. À présent qu’il n’avait plus l’esprit occupé par Geneva et ses sévices subis, il ne savait plus comment gérer sa nouvelle vie – avec sa fille. « Maman ? » entendit-il derrière lui, une voix douce, enfantine. Il tenta d’afficher un sourire rassurant, il en avait même oublié comment faire, et se tourna en douceur vers son enfant. Une lueur ensommeillée, peluche dans les bras, l’enfant avait été arrachée des bras de Morphée. « Non, ce n’est que moi, » répondit-il en s’approchant à petit pas de Grace. « Maman vient quand ? » Il s’agenouilla à la hauteur de Grace, son sourire rassurant toujours présent sur son visage. Mais il avait beau sourire, il n’avait pourtant pas encore gagné la confiance de sa fille – il y travaillait, durement, d’autant qu’à présent, son esprit n’étant plus accaparé par la mère, il a toute sa tête pour s’occuper d’elle. « Maman va venir bientôt, je te le promets. » Et cette promesse, il la tiendra… elle craquera bientôt, Achille en est convaincu. Il ne reste plus beaucoup de temps avant qu’elle ne craque. Achille en a fait la promesse à Grace.

Sur une musique très conquérante (n'est pas peur, clique pour découvrir la musique de la victoire !) te voici enfin validé(e) ! Tout d'abord, nous te souhaitons nos félicitations, mais ce n'est pas tout ! Désormais, étant que membre validé, tu vas devoir lire les énoncés suivants. Tu as désormais pris un choix en faisant ta fiche, celui de collaborer ou de résister. Il est très important pour toi de comprendre l'importance de ce choix au vu de la situation et du contexte dans lequel nous jouons (ouais, c'est pas les bisounours quoi.) et que ton personnage sera soumis, en fonction de ce choix, a une vie pas forcément belle, pas forcément très morale. En effet, la guerre, la peur de mourir ou d'être torturé et laisser pour mort peut faire basculer vers les choix les plus immoraux, les personnes les plus droites d'esprit. C'est la guerre, voilà. Si tu as bien compris ça et que tu sais dans quoi tu es engagé, tu peux désormais lire la suite.

Comme tous les membres validés (on note l'entrain de Hermione qui vous félicite, ouaip, elle est contente.) tu vas devoir venir recenser ton avatar dans un premier temps. C'est très important car si tu ne le fais pas, le staff ne le fera pas pour toi, ni Hermione d'ailleurs (bon okay, elle est à l'état d'embryon pour le moment, mais quand même !) Ensuite, tu devras t'occuper de ton personnage, de bien l'intégrer dans le jeu et pour cela, tu devras recenser son patronus, son métier mais aussi son ancienne maison quand il étudiait à Hogwarts. Tu pourras ensuite, si tu le souhaites, ouvrir un registre de liens et de rps ainsi que tenir un journal intime pour conter l'histoire et les mésaventures de ton personnage ! Enfin, n'oublie pas le flood qui est un très bon moyen pour t'intégrer au sein du forum et de sa communauté !

Concernant ta fiche sinon, Hermione a un petit mot à te dire à ce sujet, elle l'a trouve très agréable ! Oui, j'avais déjà commencé à lire ta fiche hier mais je n'ai pas eu le temps de finir.. à présent je peux te valider avec grand plaisir, ta présentation a été vraiment très plaisante à lire et j'aime beaucoup le personnage d'Achille. Bienvenue et bon jeu !  

Et enfin, un dernier mot ! Bon jeu parmi nous !