NAME : selwyn. SURNAME : andreas, gideon, deuxième du nom. AGE : vingt-et-un ans. PLACE OF BIRTH : londres. YOUR BLOOD : pur, comme tous les selwyn depuis des années. MARITAL STATUS : marié de force à Elena selwyn-Petrovic depuis ses dix-sept ans. JOB OR OTHER : employé en tant qu‘oubliator au ministère de la magie. YOUR WAND : crin de licorne, bois de prunellier, vingt-huit centimètres. la baguette de Andreas est plutôt uniforme, gravée de petits symboles runiques sur le manche. PATRONUS CHARM : andreas n‘a pas de patronus, et n’a jamais réussi à en produire un. BOGGART : la mort, tout simplement. HOGWART HOUSE : serdaigle. Bien qu’il eu préféré serpentard. YOUR CHOICE : mangemort. Depuis un peu plus d’un an. avant ça, andreas ne savait pas trop s’il voulait l’être. La mort de son meilleur ami, par un opposant, l’a décidé. MIRROR OF ERISED : un homme. il ne sait pas trop ce que ça veut dire.

La première fois qu’Andreas a vu le Seigneur des Ténèbres, il a d’abord craint. Parce que le Seigneur des Ténèbres est imposant. Sa fierté et sa pureté lui donnent une allure très imposante. Bien qu’impressionné, Andreas fut heureux de recevoir sa Marque, et de rencontrer le Seigneur des Ténèbres. La Marque. Parlons-en. L’importance de la réception de cette Marque fut le point d’encrage de la nouvelle vie d’Andreas. Il fut intégré dans le camp des Mangemorts par son père. Si les premiers jours, sa passivité fut démontrée, l’événement qui lui fit décider de passer définitivement chez les mangemorts fut l’assassinat de son meilleur ami, Owen. Il n’a pas assisté au meurtre, mais il est certain qu’un Phénix est à la base de la mort de son meilleur ami. Andreas fut inconsolable pendant des jours entiers. Puis il s’est relevé de tout ça. La mort de son meilleur ami fut peut-être la meilleure chose qu’il soit arrivé. Parce que grâce à ça, Andreas est enfin rentré chez les Mangemorts. On père fut plus que ravit de voir que son fils avait une vraie envie de s’intégrer dans les rangs de ceux qui seraient bientôt sa nouvelle famille. Le jour où il a reçu sa marque, Andreas a commencé à vivre. Depuis, il voue une haine sans bornes à l’Ordre. Recevoir cette Marque, et les devoirs qui vont avec, lui a ouvert les yeux. Il est clair désormais que la pureté du sang est importante. Plus importante que tout. La pureté Est-ce qui fait l’homme. Si avant la mort d’Owen, la pureté aurait pu être un facteur discutable, désormais Andreas  ne pense qu’aux gens par ce facteur. Ce n’est ni son père, ni sa femme, ni sa mère, ni quiconque d’autre que son meilleur ami qui l’a décidé. Grâce à lui, il a enfin comprit que les idées du Seigneur des Ténèbres étaient les bonnes. Avant ça, il doutait. Il doutait. Parce qu’il avait peur, qu’il était faible. Mais désormais, sa peur est envolée. Parce que recevoir la Marque a été une bénédiction. Une bénédiction qui l’a fait avancer dans la vie. Désormais il travaille au Ministère, mais personne ne connait son allégeance. C’est pour bientôt, espérons-le. Quand le Seigneur des Ténèbres le voudra.

‘Mon fils. Par ici. Viens que je te présente Elena.’ Tu t’avances d’un pas incertain. Tu détestes ce genre de mondanités. Cela fait une bonne heure que tu attends, un verre de bierreaubeurre à la main. Il s’agit pour ton père de se faire bien voir de ses collègues du Ministère, de parler affaire avec les Malefoys, ou bien de sympathiser avec de nouveaux sangs-purs. Pour toi, il s’agit de rester dans un coin, un verre à la main, en regardant d’un œil mauvais chaque nouvel arrivant. La plupart du temps, la moyenne d’âge des invités est de vingt-cinq ans, minimum. Vingt-cinq ans. Tu en as quinze après tout. Toutes les conversations sur le statut de sang, sur les épreuves que le Ministère traverse, sur le mécontentement de ton père quant à votre Ministre de la Magie, tu n’en as rien à faire, à vrai dire. Alors voir une jeune fille guère plus âgée que toi t’as surpris. Oh oui. Surpris. Mais pas dans le bon sens du terme. La jeune fille n’a rien d’une beauté. Elle a de longs cheveux blonds d’un gras peu commun, un nez crochu, des lèvres pulpeuses mais immondes. En clair, elle ne te plait pas. Et si elle arrive un jour ou l’autre à plaire à quelqu’un, eh bien, quelle aubaine pour elle. Ton pas est incertain, ton regard sombre. Tu n’as clairement aucune envie de rencontrer cette Enora. Elle ne te semble pas être de bonne compagnie. Tu regardes ton père d’un air mauvais, puis ton regard se radoucit quand il te lance son regard qui signifie qu’il ne faut pas que tu le déçois. Si ceci arrive, tu sais ce qu’il t’arriveras. La cave. Tu te radoucit, un sourire aussi hypocrite que possible se dresse sur tes lèvres. Tu n’ouvres pas la bouche, mais ton regard noir se change en un regard plein de joie et de sympathie, à l’égard de tous ces moutons que tu ne connais pas et qui ne te donnent aucune envie d’être connus. Ton père te prend par l’épaule. ‘Alors, mon garçon, comment sens-tu cette nouvelle année arriver? Prêt pour tes BUSE?’, demande un vieil homme ventripotent. Tu le regarde en biais et avec le même sourire hypocrite, tu réponds de ta voix la plus douce possible. ‘Oh vous savez, je l’ai été depuis des années. Je travaille dur, je suppose donc que j’arriverai au moins à rendre mon père fier en décrochant six BUSE, au minimum.’ Tu lances un regard à ton père, pour savoir si ta réponse a convenu. Tu ne sais jamais si tu réussi à bien rentrer dans le moule. Vous savez, ces phrases toutes faites, qu’il faut sans cesse répéter pour éviter de passer pour un idiot, ou pour ne pas faire honte à votre père? Lors de ces soirées, tu les dis cinq ou six fois. Par heures. Et tu lances toujours le même regard apeuré à ton père qui signifie ai-je bien fais? vas-tu me punir? Souvent, le regard de ton père signifie que c’est très bien. Mais il t’arrive souvent de gaffer. Dans ces moments là, tu sais que ton sort est la cave, et des coups dans le dos. C’est plus douloureux quand la plaie dans ton dos ne s’est pas refermée. La réponse, ce soir, a convenu. Le vieil homme reprend, en lançant un regard à ce qui semble être sa jeune fille (ou petite-fille, vu son âge). ‘Elena est elle-même élève à l’Institut Durmstrang. Et bien évidemment, elle a réussi tous ses examens jusqu’à présent. Mais les BUSE n’existent pas là-bas. Du coup elle devra attendre sa dernière année pour tout passer. Mais je ne me fais pas trop de soucis pour elle, n‘est-ce pas chaton?’, finit-il.

Ton père et celui d’Elena vous ont poussé dehors. ‘Il fait beau, et pas trop nuit. Emportez cette lampe à huile et allez dans le jardin. Ca vous fera le plus grand bien.’ Tu lances un énième regard de supplique à ton père. Mais la porte est déjà fermée et tu te retrouves seul avec Elena nom de famille inconnu. Tu la regardes, puis tu t’avances, la lampe à huile dans la main, dans le jardin, spacieux et plein de verdure. Vous marchez, silencieusement, sans regarder l’autre. Tu n’as aucune envie de regarder cette fille. Tu n’aimes, ni son visage, ni ses cheveux, ni son regard, ni ses yeux, ni rien venant d’elle. Vous ne vous appréciez pas, et ça ne fait qu’une trentaine de minutes que vous vous connaissez. Tu t’arrêtes, et t’assieds sur le banc qui se trouve dans le fond droit du jardin, en face d’une fontaine. Elle s’assied également. Tu ne la regarde toujours pas. Tu regardes tes mains, joue avec, mais tu ne la regardes pas. ‘Alors donc…’ ‘J’te coupe tout de suite. Je n’ai rien à partager avec toi, et toi non plus, donc on va juste fermer nos gueules et attendre, d’accord?’ Wow. Dur. Elle est encore plus conne qu’elle n’y parait. Tu la regardes. ‘T’es une sacré conne, t’es au courant?’ ‘Et toi t’es sacrément moche, tu sais?’ ‘Aurais-tu la prétention de dire que tu es une experte en matière de beauté?’ Et bam. Vous n’allez pas vous entendre c’est sûr. Tu n’aimes pas comment elle te parle à toi, Andreas Gideon Selwyn. ‘Non. Mais je sais que tu ne me plais pas.’ Fort heureusement, petite. ‘Tant mieux, je préfère plaire à un scrout que te plaire à toi, vois-tu.’ La conversation continue comme ça, pendant dix, quinze minutes. Puis vos parents vous appellent. ‘Ah beh c’est pas trop tôt.’, dis-tu, d’une voix douce. Tu jette un regard noir à Elena et vous reprenez le chemin du Manoir.

Quand vous arrivez sur le perron, son père vient à le rencontre d’Elena, qui, de sa voit la plus hypocrite, commence, en s’adressant à ton père. ‘Andreas est charmant. Très charmant.’ Elle se retourne vers toi avec un sourire tout autant hypocrite. ‘Tu es bien aimable Elena.’, réponds-tu, avec une animosité non voilée. Elle est douée. Très douée. Elle sait, par un quelconque moyen, que ton refus d’être agréable te vaudra une punition. Ton père te lance un regard noir, mais tu ne flanches pas. Pas cette fois. Tu t’en fiches de recevoir trois, quatre, cinq coups de ceinture, tu n’as aucune envie d’être ami ou plus avec cette fille. Ton père te croit naïf. Mais tu as vu clair dans son jeu. Tu sais bien que toute cette mise en scène n’est pas moins qu’une mascarade. Tu ne connais pas trop les plans de ton père, mais tu sais que rien de bon ne vas en résulter. Vous vous avancez tous les quatre dans la grande salle à manger, où  plusieurs invités attendent avec impatience le retour de vos pères. Vos mères respectives viennent se coller à vous. La tienne t’ébouriffe les cheveux et te regarde d’un air heureux. ‘Tu vas bien mon chéri?’ ‘J’préfèrerai m’enterrer, là tout de suite Je n’aime pas ces gens maman.’

Tout se passe très vite. Le speech de ton père, sur l’importance du sang, speech qu’il a répété trois millions de fois à chaque invités, et à toi également, te donne quelques boutons, puisque tu le connais par cœur. C’est à l’autre de prendre la parole ensuite. Tu le regarde, son ventre bougeant avec force quand il bouge les mains. Il parle lui aussi de la pérennité des sangs-purs, du fait que le mariage entre familles de très haute lignée est important. Tu le sens venir. Tu te tournes vers ta mère. ‘C’est une blague. Dis moi que tu ne le laisses pas faire ça.’, implores-tu. ‘C’est pour le plus grand bien.’ Non. Mais non. Ils ne peuvent pas. Tu regardes horrifié le reste de la salle, te défait de l’étreinte de ta mère. Pourquoi te fait-elle ça? Ton père, tu n’es pas tellement proche de lui, mais ta mère? Ta mère, qui t’as élevé, aimé, choyé, et dont tu étais le plus proche? Pourquoi te fait-elle ça. Tout se passe trop vite. En un quart de secondes, on vous pousse l’un vers l’autre. Et ta sœur vient te dire à quel point elle est fière de toi. Mais vas te faire empaler par un hippogriffe. Tu la déteste à ce moment précis. Tu les déteste tous. Tu détestes ta mère, ton père, ta sœur, cette Elena, son père, sa mère, et tous ces invités qui ne te connaissent pas mais viennent te féliciter.

Tu montes dans ta chambre. Ta future épouse ─ le mariage est programmé pour l’année de tes dix-sept ans, après avoir fini tes ASPIC ─ et sa famille sont partis. Tout comme cette dizaine d’invités que tu méprises au plus haut point. Sans dire un mot, tu es parti. Tu as claqué la porte de ta chambre. Et maintenant, tu t’es allongé dans ton lit. Non, tu ne veux pas. Pas avec cette……… ARGH. Tu la détestes. Tu la trouves méprisable. Laide, chiante, grognon, hypocrite… Elle a joué son rôle à la perfection. Petite miss parfaite. Elle a sourit, et a montré un amour qui n’est pas. Elle a joué l’hypocrite de base, à te tenir la main, alors que la tienne se serait volontiers aplatie contre sa joue, ou celle de ton père si tu n’avais pas tant peur de lui. Tu ne l’aimes pas. Et elle non plus. Mais tu vas devoir vivre avec. Faire l’amour avec elle ─ quelle horreur, lui faire des enfants, construire un mariage, une vie, une hérédité avec elle. Comment vivre avec ça? Pour le moment, tu n’as juste qu’une envie, hurler au monde que tu les déteste. Tout ce que tu veux, ce soir, c’est tuer quelqu’un, ou quelque chose. Oswald, ton elfe de maison, rentre dans la chambre, et s’excuse de te déranger. ‘DEGAGE STUPIDE ELFE.’ Il referme la porte très vite pour ne pas se prendre le scrutoscope que tu viens de lancer en plein dans sa direction. Tu n’as envie de voir personne. Tu te relèves, et fermes la porte à clé. Quelqu’un vient frapper à la porte dix minutes plus tard. ‘Andreas. Ouvre-moi.’ ‘Dégage.’ Ta sœur refrappe, une fois, deux fois, trois fois, puis pousse un soupir, et repars dans la sienne. Si tu dois la voir, ta main partira sûrement dans sa figure. Parce qu’elle, n’a pas besoin d’un mari tout de suite. Tu es l’unique héritier de la famille. Elle ne deviendra pas héritière, mais seulement sœur de l’héritier. Alors tu devras te marier avec cette idiote, parce que quand ton père mourra, tu finiras par hériter de la responsabilité de nourrir cette famille et de lui apporter gloire et richesse. Alors tu la déteste. D’être une fille. De ne pas avoir à se marier, alors qu’elle a plus de dix-sept ans. Tu détestes tout ce qui est une partie de cette famille. Et bientôt le sentiment ne te quitteras plus. Injustice cruelle. Tu devras partager ton lit, tes richesses, et quinze millions d’autres choses avec cette Elena. Cette idiote. Bientôt elle deviendra une Selwyn. Au moins le sang restera pur, point positif.

Une mission. Pas la première. Tu prends tes ordres de ton lieutenant, que tu n’aimes pas tellement. Mais dans cet ordre, tu dois quand même le respecter, et ne pas lui montrer une quelconque animosité. Tu te contentes donc d’écouter ce qu’il a à te dire. Vous serez trois. Toi, Jakob et Garett. Votre mission commencera dans une heure. ‘Vous vous introduirez dans la maison de cette famille de sangs-purs qui soutient les Phénix. Vous devez chercher le plus d’informations possible sur la famille, et sur l’Ordre. Les torturer n’est pas une option mais une obligation.’. Tu regardes ton lieutenant, lui adresse un sourire, et repart. Une heure. Parfait.

Une heure plus tard vous transplantez à l’adresse indiquée par ton lieutenant, dans le Wiltshire. Le manoir est vaste et grand, de l’extérieur. Il se compose de trois étages, d’un jardin plus que spacieux. En fait il te rappelle ton propre manoir. Tu vis depuis maintenant bientôt trois ans dans le second manoir de la famille, acquisition faite il y a des années par le père du père du père de ton père. Tu y vis avec ce qui te sert de femme. Elena. Tu la déteste toujours autant. Vous ne faites quasiment jamais l’amour. Vous ne vous parlez pas. Le contact humain avec elle ne te manque pas. Mais le fait de faire l’abstinent depuis des années est contraignant. Tu t’es habitué à cette situation, mais ce ne fut pas facile. Désormais, vous vivez dans cet imposant manoir, avec vos quatre elfes de maison. Tu n’as aucune envie d’avoir un enfant d’elle. Mais bientôt il faudra se forcer. Pendant les repas mondains et autre solennités, vous jouez les bons petits amoureux, à vous embrasser, vous donner la main, et rire aux idioties de l’autre. A la maison, la réalité est bien différente. Qu’importe. Il vous faut vous concentrer sur la mission. Vous avancez rapidement et furtivement vers la porte de la maison. Il vous faudra agir vite. Sans ça, ils s’échapperont. Ces sales traîtres. Tu n’as jamais été aussi en colère contre quelqu’un en fait. C’est tellement affligeant de soutenir l’Ordre du Phénix, quand on peut prétendre être un Pur.

Tout se passe très vite. Très rapidement, vous entrez en silence, sans qu’ils ne vous aient vus. Le père, la mère et les deux enfants se trouvent là. Vous les neutralisez rapidement à l’aide de Levicorpus rapides. Bientôt, vous les voyez se débattre et tu les fais se taire rapidement à l’aide d’un simple Silencio. Pendant vingt bonnes minutes vous cherchez des documents, inscrits sur des papiers, dans la salle à manger, mais rien n’y fait, vous ne trouvez rien. Les enfants se débattent de plus belle. La mère et le père se débattent également, mais plus calmement.

Quelques minutes plus tard vous avez bâillonné les gamins et le père ainsi que la mère. Tu t’occupes du père. ‘Dis moi ce que tu sais.’, dis-tu, d’une voix calme. Ta baguette est pointé dans sa direction. Ses yeux suivent ta trajectoire. Il te regarde, avec ce regard de mépris. ‘Vas te faire cuir un Botruc. Je ne trahirai pas l’Ordre.’ Tu ris d’un rire fort et gras, sans savoir d’où il vient. ‘Tu es pitoyable. Tu vas voir ta femme et tes enfants mourir, si tu continues.’ ‘T’as pas assez de couilles pour ça.’ Sa remarque te blesse. ‘Endoloris.’ Il se tort de douleur, pendant toute la durée du sortilège. Pendant quarante secondes il se tort de douleur et un sourire vicieux se lit sur ton visage.

L’entretien dure cinquante bonnes minutes, au cours desquelles tu reçois un nombre d’informations conséquent. Des petits détails qui feront leur importance. ‘Vous perdrez. Vos forces sont trop faibles. Vous n’êtes que des lâches.’ La réflexion te blesse encore plus que toutes les insultes qu’il t’a envoyé jusque là. Tu n’en peux plus. D’un geste violent, tu te retournes. ‘Avada Kedavra!’ L’homme tombe à la renverse. Tu viens de faire échouer la mission. Mais qu’importe. Cependant, le choc te fait perdre contrôle de ta baguette, que tu lâches immédiatement.

Premier vrai meurtre. C’est ton premier vrai meurtre. Et tu ne réagis pas comme tu devrais. Tu as déjà torturé des gens. Mais tué, jamais. Tu n’en étais pas arrivé là. Tu avais toujours réussi à éviter ce sortilège. Mais ta colère a prit le dessus cette fois. Tu n’as pas pu te contrôler. C’était plus fort que toi. Désormais tu es passé du côté du vrai mal. Tu es un mangemort à part entière. Bienvenue dans la famille, Andreas Gideon Selwyn.

Sur une musique très conquérante (n'est pas peur, clique pour découvrir la musique de la victoire !) te voici enfin validé(e) ! Tout d'abord, nous te souhaitons nos félicitations, mais ce n'est pas tout ! Désormais, étant que membre validé, tu vas devoir lire les énoncés suivants. Tu as désormais pris un choix en faisant ta fiche, celui de collaborer ou de résister. Il est très important pour toi de comprendre l'importance de ce choix au vu de la situation et du contexte dans lequel nous jouons (ouais, c'est pas les bisounours quoi.) et que ton personnage sera soumis, en fonction de ce choix, a une vie pas forcément belle, pas forcément très morale. En effet, la guerre, la peur de mourir ou d'être torturé et laisser pour mort peut faire basculer vers les choix les plus immoraux, les personnes les plus droites d'esprit. C'est la guerre, voilà. Si tu as bien compris ça et que tu sais dans quoi tu es engagé, tu peux désormais lire la suite.

Comme tous les membres validés (on note l'entrain de Hermione qui vous félicite, ouaip, elle est contente.) tu vas devoir venir recenser ton avatar dans un premier temps. C'est très important car si tu ne le fais pas, le staff ne le fera pas pour toi, ni Hermione d'ailleurs (bon okay, elle est à l'état d'embryon pour le moment, mais quand même !) Ensuite, tu devras t'occuper de ton personnage, de bien l'intégrer dans le jeu et pour cela, tu devras recenser son patronus, son métier mais aussi son ancienne maison quand il étudiait à Hogwarts. Tu pourras ensuite, si tu le souhaites, ouvrir un registre de liens et de rps ainsi que tenir un journal intime pour conter l'histoire et les mésaventures de ton personnage ! Enfin, n'oublie pas le flood qui est un très bon moyen pour t'intégrer au sein du forum et de sa communauté !

Concernant ta fiche sinon, Hermione a un petit mot à te dire à ce sujet, elle l'a trouve vraiment top ! Le passage de l'Elfe de maison était le plus comique et puis on ressent bien la puissance et la perfidie des Selwyn. C'est top

Et enfin, un dernier mot ! Bon jeu parmi nous !