NAME : Skeeter. Nom qui est connu de plus d'une oreille. Ouais, tout ça, là, la famille qui était bien sous tous les plans, sang parfaitement pur... et a fini par être souillée à cause du grand-père. Foutu vieux. Bon, après, Asling. Asling, c'est un prénom d'origine irlandaise, qui veut dire "rêve". Ah, la bonne blague. C'est que ça en serait presque mignon, en plus. Ou pas. Et Roosevelt. Pour le coup, je sais pas où mes darons sont allés chercher ça. Vraiment. Le nom d'un ancien président moldu. Des Etats-Unis en plus. Ils avaient dû boire. Ou quelque chose du genre. Porter le nom d'un "illustre" moldu. J'suis pas fauché avec ça. C'est pour ça que ce prénom-là, je le donne jamais. Personne le connaît, ou presque. J'vais pas me taper la honte, en plus, oh.SURNAME : Ace. On fait court, on fait simple. Et à la limite, sinon, on m'appelle par mon nom de famille. Je suis pas un type à surnoms. Ça me tape vite sur les nerfs, ces trucs. AGE : 29 ans. Toutes mes dents, même qu'elles sont bien acérées, pour le coup. Je fais légèrement plus vieux, il paraît qu'on me donne déjà facilement la trentaine. Bah. Si ça apporte un peu plus de respect, on va pas s'en plaindre. PLACE OF BIRTH : Londres. YOUR BLOOD : Sang-mêlé. Hélas pour moi. Il a fallu qu'on se laisse souiller. C'est peu, mais c'est déjà ça. Ce que je n'apprécie... pas vraiment. De un, parce que ça le fait vraiment très moyen auprès de mes compatriotes d'idéologie. De deux, parce que du coup, même si je brode et j'agis comme si j'étais pur, je ne pourrai probablement jamais trouver un moyen de le justifier. Foutu vieux, encore une fois. MARITAL STATUS : Coureur de jupons. Ou de caleçons, au choix. Je ne crie pas toutes mes amours sur tous les toits, mais bon, il faut bien s’octroyer un peu de plaisir quand même. Je suis devenu spécialiste des histoires d'une nuit. J'aime assez peu m'engager dans ce genre de choses. Il n'y a rien de plus stable que le changement, comme on dit. JOB OR OTHER : Langue de plomb. C'est parfois un oeu lugubre, le Département des Mystères, mais ça me va parfaitement comme place. Bien au coeur de la machine. YOUR WAND : Ma baguette est en bois de séquoia, et mesure environ vingt-neuf centimètres et cinq millimètres. Le coeur est composé d'un cheveu de vélane. Je sais que c'est une preuve de caractère, tout ça, mais bon... Voilà. PATRONUS CHARM : Un diable de Tasmanie, ou Sarcophile pour les plus pointilleux. Texto, ce nom veut quand même dire "qui apprécie les cadavres". Je vais pas m'étaler sur ça. BOGGART : Un couteau. En argent. Un beau couteau, avec de magnifiques reflets... Aerm bref.  HOGWART HOUSE : Le choixpeau a hésité. Assez stupide et téméraire à ses heures pour finir à Gryffondor, assez fourbe dans son genre pour rejoindre les rangs de Serpentard. Et finalement, ça a été Serpentard. YOUR CHOICE : Dans le camp des Mangemorts. Définitivement. Et ne faites pas de commentaires sur mon propre statut, s'il-vous-plait. Merci. Le camp du Lord, donc. Le sang pur prédomine. Et actuellement, je suis surtout une taupe. On ne me recherche pas. Je suis quelqu'un de discret, au moins, pas comme les autres idiots. Et enfin bref. Une taupe, pour le compte de notre idéologie, d'une part. Et j'ai aussi la mauvaise habitude de cacher de temps à autres des fugitifs amis chez moi. Heureusement que je présente bien, sinon. MIRROR OF ERISED : Face à ce miroir... Oh, sans doute qu'il ne verrait rien de très probant. Des cicatrices, effacées. Une lumière, dans le regard. Il ne veut pas tellement. Mais juste la hauteur de son rang rétablie, son prestige en miettes plus ou moins reconnu, et les tâches qui jalonnent sa vie effacées...

La puanteur. Il n'y avait pas d'autres termes. C'était une réelle puanteur. Ça sentait le sang, le fauve, la moisissure et la peur. Ça sentait comme la cage d'un animal maltraité. L'air de rien, c'était ce que c'était. La cage d'un animal maltraité. La prison d'un bagnard condamné à perpétuité. Une lucarne, minuscule. À peine de quoi voir le ciel, le soleil et la lune. Scindée de barreaux renforcés, rouillés à force de ne pas être aussi dignement entretenus qu'on aurait dû les tenir. On croirait entendre, rien qu'en se glissant par cette trappe, dans cette geôle sombre, entendre les souvenirs. Entendre les souvenirs, exactement. Entendre les gémissements, les hurlements, les cris d'un homme, les cris d'enfant. Les rires, les pleurs, les dédains et les malheurs. Les bonheurs et le son de toutes ces heures, de tous ces cœurs. Perdus dans la nature sur les chemins des souvenirs, à l'abandon des âmes solitaires et vagabondes, des marginaux de nos époques et des préjugés éternels. La puanteur. Ça  sentait le désespoir et les rêves brisés. La solitude et les êtres mal-aimés. Les aux revoirs, les sourires en façade, les larmes qui menaçaient chaque jour de déborder. La tension électrique, les orages humains, les pluies de nos consciences, les neiges de nos raisons. Ça sentait la chaleur des étés brûlants, la nature plus forte que le monde qui l'entourait. Ça sentait la tempête, l'air figé, les cataclysmes en conséquence. Tout ça dans une odeur, une atmosphère. Tout ça, même les yeux fermés, palpable dans ce temps figé. Ça sentait la fin des mondes, la mort des rêves. La frontière entre songe et cauchemar, le no man's land perdu de nos univers oniriques. Ça sentait l'interdit, le conflit. Les mensonges et la vérité. Ça sentait comme le monde entier réuni dans quelques mètres carrés. Ça sentait comme un autre univers encore inconnu de tous, sous nos yeux mais à jamais renié. Une bulle de fer, un poids d'acier, le goût du plomb et de la rouille collé à notre palais. Ça sentait la mort, ça sentait la vie. La vie rageuse qui battait son rythme et lancé des couteaux pour fendre les airs et pourfendre les idées. Ça sentait le vide, le néant, le trou noir sanglant. Quand il ne restait plus rien d'autre que l'air et l'atmosphère, une ouverture à vif dans les Terres sacrées. C'était une puanteur. Une puanteur à nos nez délicats puisque ça sentait la vérité écrasante et rien d'autres. La réalité, la fin des mensonges, la frontière des traîtrises. Ça sentait ainsi. Une odeur tout bonnement indescriptible. Le bord de mer, le sel qui empêchait les plaies de cicatriser. L'oxygène pur des plus hauts sommets. Les caves et les égouts, les tonnerres et les éclairs. Les déserts, les jungles, la chaleur comme le gel. Tout avait une odeur. Tout était concentré en un seul point. Sous un plancher innocent, derrière un tapis bien placé, bien épais. La cage aux oiseaux la plus hermétique du quartier. La plus secrète, aussi. Ça sentait la folie, ça sentait l'inconscient. Le sommeil et la fatigue. Ça sentait la bête, ça sentait l'humain. La ville et la campagne, les extrêmes en union d'une nuit. Une nuit par mois pour renifler et goûter cet air si particulier. Date fixe, échéance régulière. Ça sentait les futurs, ça sentait le passé. Le souffre et le sucre. De quoi serrer un cœur, en soulever un autre. Fermer les yeux et revivre les instants oubliés. C'était une cage à mémoire, une cage à oubli.

Assis dans un coin, recroquevillé, il crispait des paupières et se laissait accueillir et agresser. Comme à chaque fois. Plus une issue, plus un salut. Il s'était enfermé pour plusieurs heures. Jusqu'à ce que l'aube ne revienne, le lendemain ne se démarque. Jusqu'à le cauchemar soit fini, que la Bête soit repartie. Que les monstres retournent dans leurs tanières, qu'il revienne à ces abus des consciences, ce zèle des sourires polis. Il serrait ses genoux contre lui, le cœur battant. Être ici le rendait fou. Être ici était sa seule chance de ne pas devenir cinglé. Fascinant comment les opposés se complétaient et s'attiraient aussi ironiquement. Il déglutit. Il étouffait, il étouffait de cet air trop lourd, trop moite, trop solide. Il battit des paupières, chassant les papillons noirs qui voletaient doucereusement aux coins de sa vision, et se prit le visage dans ses mains. Plus que quelques minutes, plus quelques instants. Des secondes entre les temps, les dernières avant de sombrer. Se laisser bouffer sans aucune autre possibilité. Tous les mois, le même cirque. Le même rituel macabre, les mêmes mensonges jusqu'à se retrouve seul face à lui-même. Il était constamment seul. Il ne l'était jamais autant que dans cette antichambre de l'horreur. Ses muscles se crispèrent, tétanisés. Comme sa respiration, qui fuit, durant un instant. Plus de battement. Plus de vie, plus de mort. Seulement le Loup, seulement la fin. Le soleil s'écrasait, le soleil disparaissait. Les derniers éclats s'étirèrent, et ce fût fini. Fini, la bonne conscience. Il trembla. La vague. La vague qui montait en lui, ce rez-de-marée dévastateur. Comme si son humanité était chassée en conséquence. Il perdait pied. Il perdait pied, et comme à chaque fois, il revivait, il revoyait. Le film usé de son existence, la bobine dépassée et vieillie qui tournait à toute vitesse. Le projecteur chauffait, le son grésillait. Il crispa ses paupières, serrant les dents. Tentant d'endiguer ce gémissement qui ne rêvait que d'une chose. Déchirer sa gorge, déchirer son monde, sonner le glas.

Il n'avait peut-être pas vécu une enfance si terrible. Rien de grandiose, rien de fameux. Des jours heureux, des jours odieux. Une famille, un passé, des ancêtres et des idées. Trop jeune au début pour saisir tout ce qu'on lui racontait Trop jeune, trop jeune, trop jeune pour comprendre, qu'on lui répétait à tour de bras. Mieux vaut ne pas mentir aux enfants. Mieux vaut ne pas raconter de fausses idées à ces cœurs innocents. La réalité est toujours trop crue, la réalité finit toujours par leur servir la version sans édulcorants avant qu'on n'ait pu expliquer tout ce que cela signifiait vraiment.

La claque résonne, sa peau en brûle encore. Le sang a séché misérablement sous son nez, sur ses petits poings écorchés. Son père crie, son père le sermonne. Des mots qui ricochent sur sa peau et sur son esprit, repartent en sens inverse face à cette surface hermétique à toute explication, au moindre sermon. Il n'a que sept ans. Sept ans, c'est jeune. On a rie fait, dans une vie, à sept ans. Sept ans. Ça lui suffisait, comme âge, pour s'énerver contre les autres et donner les coups qu'il pensait être véritables. Son père s'agenouille devant lui. Il ne relève pas les yeux. Il déglutit. Il serre ses petits poings, toujours les mêmes mouvements. Il ne bouge pas d'un cil, son père l'y oblige. Pourquoi est-ce que tu as fait ça, Ace ? Pourquoi est-ce que tu as cassé le nez du fils de Mme. Glanton ? Il fait la sourde oreille, il sert les dents. Tout cela n'a rien d'important. Réponds-moi, Asling, bon sang ! Il relève le nez, un sourire dégoûté se glisse sur ses lèvres. Une expression indigne d'un enfant de son âge. Mais Asling n'est pas un enfant. Asling est conscient. Il suffirait juste que les adultes le remarquent un peu plus souvent. C'est un sang-mêlé. Réponse simple, et efficace. C'est immonde, de voir comment les préjugés et les idées noires l'ont déjà pris dans leurs serres. Il est perdu, cet enfant, il est trop tard pour faire quoique ce soit. Le patriarche passe une main sur son visage. Bon sang. Mais toi aussi, tu es sang-mêlé, Asling, qu'est-ce que ça peut te faire , ces choses-là ? Roosevelt bat des paupières, Roosevelt ne comprend pas. Ou bien il se jure juste ne pas comprendre. Mais, justement, c'est ce qu'il me disait... Il avait raison, le fils de madame Glanton. Sur toute la ligne. Il a l'air défait, il a la lèvre qui tremble. Il béguait, balbutie. Non, ce n'est pas possible. Il l'a lu dans des livres, ils sont des sang-purs. Non, fiston. Non, ça, c'était avant. C'était avant, plus maintenant. C'était avant...

Il était en train de perdre. Perdre toute bataille, perdre toute raison. Les sens s'aiguisaient, la conscience se noyait. Animal reprenant le dessus sur tout ce monde qu'il s'était minutieusement construit. Il déglutit, serra les poings. Phalanges qui s'écrasèrent en vain contre la roche, alors qu'il se sentait flancher, se sentait partir. Le ciel s'obscurcit lentement mais sûrement, comme chaque part de son crâne, chaque part de son être. Adieu. Adieu. Laisse le film tourner pendant que les spectateurs ferment les yeux.

Il a vingt ans. Il a vingt ans. Bond dans le temps, treize années sous silence. Le silence qu'il se garde de tenir, le silence dédaigneux qu'il observe constamment. Il n'accepte pas cette réalité, sa réalité. Il renie, il dit non. Il campe ses positions, il est fier de lui. Et si l'on dit le contraire, il manger le sol. Savoureux goût de terre et de pierre qui brise les dents. Il n'a aucune délicatesse, sur certains points. Il se hait, il hait ce monde, mais il a compris assez tôt que l'afficher ne servirait à rien. Il reste à l'écart, il marque les distances. Un gars sociable, mais pas non plus très bavard sur lui-même, comme on dirait si bien. Il a vingt ans, il a vingt ans. Il se sentait déjà sali, sali dans son existence et son rang, sali de ne pouvoir affirmer la pureté de son sang. Il se sentait déjà sali, mais demain, il le sera d'autant plus. Souillé, traîné dans la boue de nos sociétés. Il n'aura qu'à ouvrir les yeux, douloureux, et il comprendra. Il saisira toute la portée de sa stupidité et de son entêtement. Les murs blancs, la famille l'accompagnant. Ne le dites à personne, évitez de le crier sur les toits si vous tenez à garder bonne image. Il a de la chance, son visage n'a pas été touché. Il a juste le dos lacéré, les morsures gravées dans la peau. Il a encore le teint pâle, il a perdu beaucoup de sang. Mais ça ira, madame, mais ça ira, monsieur. Au quotidien, il aura un peu plus envie de viande saignante et quelques excès de réaction en plus. Des réflexes à vif, mais ça, ça passe encore. On n'a pas de remède, madame, pour les jours de pleine lune, ou les nuits, devrais-je dire. Je sais que ça peut paraître cruel, mais le mieux, si vous voulez vous assurer qu'il ne prenne pas le risque de blesser qui que ce soit, c'est de l'enfermer. C'est dur, je sais. Mais il a de l'avenir, devant lui, ce jeune homme. Vous même me l'avez dit. Il pourrait vivre en paix avec sa différence, si il arrive à contrôler et prendre des précautions.

Des précautions. Il ne faisait que ça, prendre des précautions. Mais il n'y en avait jamais assez pour se préparer à affronter le monstre. Jamais. Jamais pour ce qu'il vivait maintenant. Jamais assez pour ses os qui criaient, ses muscles qui tiraient, son corps qui changeait de forme. La bête était laide. Horriblement laide. C'était fini, du moins ça le serait d'ici quelques instants. Dans peu de temps, il n'y aurait plus rien. Plus rien d'autre que cette chose qui sommeillait doucereusement en lui, au quotidien. Cette chose qu'il haïssait. Cette chose qu'il cachait. Cette chose qui avait tué, une nuit. Pas si lointaine que ça, d'ailleurs. Anthonin comme seul porteur commun de ce secret. Qu'il était naïf, cet enfant. Si naïf. Plus tard, peut-être, aurait-il saisi le pièce tendu sous ses pieds, la nasse qui se refermait avec efficacité au-dessus de sa tête. De toute façon, tout le monde avait une cage dans laquelle l'on était enfermé. Le monde n'était pas rose, rose et doux comme les matins d'été. Il avait peur de se faire exploiter, pour ce qu'il était. Il avait peur de déraper, peur en constance lancinante. Il n'était qu'un rebut, il était bourré de tares. Il n'était pas une bête. Il aidait, il refusait. La valeur de sa vie n'était pas assez haute pour qu'il puisse défendre la cause autant qu'il ne le voudrait. Il cachait, se cachait. Presque parfait, dans ce rôle. Il était fait pour ça, de toute manière. Trop de haine ensommeillée, trop de mépris pour le monde entier, sans raison apparente pourtant. Pourtant. Il battit des paupières, un feulement rauque. Plus d'humain, plus rien de cela. Plus que le Loup, le Loup que l'on attendait au tournant, le Loup qui s'écorcherait encore une fois les pattes à gratter contre les murs et hurler à la mort, prisonnier. Un jour, tout finirait par basculer. Il suffisait d'un coup de pouce, comme un certain flamand en avait déjà donné. Plus d'un, sans pour autant qu'Asling ne les saisisse. Manipulé, simplement trop bête et borné. Un jour, peut-être, il comprendrait. Trop tard, sans aucun doute.

Sur une musique très conquérante (n'est pas peur, clique pour découvrir la musique de la victoire !) te voici enfin validé(e) ! Tout d'abord, nous te souhaitons nos félicitations, mais ce n'est pas tout ! Désormais, étant que membre validé, tu vas devoir lire les énoncés suivants. Tu as désormais pris un choix en faisant ta fiche, celui de collaborer ou de résister. Il est très important pour toi de comprendre l'importance de ce choix au vu de la situation et du contexte dans lequel nous jouons (ouais, c'est pas les bisounours quoi.) et que ton personnage sera soumis, en fonction de ce choix, a une vie pas forcément belle, pas forcément très morale. En effet, la guerre, la peur de mourir ou d'être torturé et laisser pour mort peut faire basculer vers les choix les plus immoraux, les personnes les plus droites d'esprit. C'est la guerre, voilà. Si tu as bien compris ça et que tu sais dans quoi tu es engagé, tu peux désormais lire la suite.

Comme tous les membres validés (on note l'entrain de Hermione qui vous félicite, ouaip, elle est contente.) tu vas devoir venir recenser ton avatar dans un premier temps. C'est très important car si tu ne le fais pas, le staff ne le fera pas pour toi, ni Hermione d'ailleurs (bon okay, elle est à l'état d'embryon pour le moment, mais quand même !) Ensuite, tu devras t'occuper de ton personnage, de bien l'intégrer dans le jeu et pour cela, tu devras recenser son patronus, son métier mais aussi son ancienne maison quand il étudiait à Hogwarts. Tu pourras ensuite, si tu le souhaites, ouvrir un registre de liens et de rps ainsi que tenir un journal intime pour conter l'histoire et les mésaventures de ton personnage ! Enfin, n'oublie pas le flood qui est un très bon moyen pour t'intégrer au sein du forum et de sa communauté !

Concernant ta fiche sinon, Hermione a un petit mot à te dire à ce sujet, elle l'a trouve géniale. Très agréable à lire et fluide. Je me suis parfois perdue dans les métaphores mais c'est juste ma tête qui est fatiguée

Et enfin, un dernier mot ! Bon jeu parmi nous !