NAME : Zhuang, un nom de famille noble et prestigieux.  SURNAME : Chen, c'est moins prestigieux que le nom de famille mais il a une valeur sentimentale. AGE : Elle vient de fêté ses 18 ans il y a quelques semaines.  PLACE OF BIRTH : Pékin YOUR BLOOD : Sang pure, ce qui est très favorable pour elle en ces temps de guerre.  MARITAL STATUS : Célibataire pour le moment. JOB OR OTHER : Elle ne travaille pas encore et étudie la magie. YOUR WAND : 25 centimètres, contient un crin de licorne et une plume de phénix. PATRONUS CHARM : Une panthère. BOGGART : Sa plus grande peur est le fait que sa famille l'a rejette.  HOGWART HOUSE : Serdaigle comme la plupart des personnes de sa famille. YOUR CHOICE : En vérité elle est très indifférente au conflit alors elle se range du côté de sa famille qui est favorable aux idées de lord Voldemort, son choix a uniquement été fait par défaut. Elle n'a aucune fonction dans l'organisme car sa famille la juge trop jeune pour pourvoir faire quoi que ce soit, elle est assez sous-estimée et protégée même si elle s'est toujours montrée compétente dans tout ce qu'elle faisait. MIRROR OF ERISED : Elle se revoit à l'âge de huit ans en compagnie de son ami d'enfance qui portait le même prénom qu'elle mais qui est aujourd'hui disparue.

« Tu as de la chance. » C'était la phrase que m'avait dit ma mère quand je m'étais plainte du sang qui coulait de ma blessure au genou. Un sang d'une clarté impressionnante ruisselait sur ma pâle jambe et là tout de suite je ne voyais pas en quoi j'étais chanceuse. J'avais mal, tellement mal que j'étais en train de sangloter au sol les mains entourant les extrémités de ma blessure et quand ma génitrice m'avait ordonnée d'être forte puis de me relever, j'avais refusé. Je n'avais que cinq à ce moment-là et je n'étais qu'une simple gamine qui découvrait peu à peu les joies de la douleur physique. Ma mère ne voyait pas cela comme ça, pour elle je n'étais qu'un peu trop capricieuse  et c'est pour cela qu'après m'avoir demandé une énième fois de me lever, elle perdit patience puis elle m'attrapa par l'épaule avant de me soulever et me forcer à être debout. Ce qu'elle était forte ma maman, m'étais-je dis quand je m'étais retrouvée debout sanglotant encore plus fort. Elle me força à marcher pendant tout le trajet et à endurer la douleur alors qu'elle aurait très bien pu me mettre sur son dos. Le truc c'est que ma mère n'était pas comme ça. Ce n'était surement pas une mère poule ou très attentionnée, non et elle pouvait se montrer très dure quand elle estimait qu'il le fallait comme dans ce moment-là que je viens de vous conter. Oui, c'est vrai ma mère n'était pas une tendre mais c'est parce qu'elle attendait de grandes choses venait de moi. Elle ne voulait pas qu'un jour je déshonore ma famille ou mon sang et d'un côté je pouvais très bien la comprendre.


J'ai suivi une éducation très stricte et cela depuis que je suis toute petite. Et oui, si les Zhuang ont une aussi bonne réputation c'est parce qu'ils travaillent très dur et très tôt. J'apprenais bien plus que la magie, on m'enseignait la finesse, on m'apprenait à me battre, à travailler mon mental, mon physique puis me contrôler. Ce n'est qu'un peu plus tard qu'on m'appris la magie. Mais bon ce n'est pas le plus important, je vais plutôt vous raconter quelques passages de ma vie qui font qu'aujourd'hui je suis comme je suis, je pense que cela sera bien plus intéressant.

Il est nuit.

Je me penche doucement par le rebord de la fenêtre, ma mère est dehors à côté de mon père et ils discutent. J'essaie de capter des bribes de conversation mais je n'entends que des bruissements inaudibles. Je tends l'oreille plus fort en me tenant au rebord, je plisse les yeux doucement, je me concentre pour ne plus penser à rien et pour porter mon attention uniquement sur cette conversation. Ce qui est clairement inutile. Ils connaissent bien l'art de parler le plus bas possible, je le sais car moi-même je sais parler très bas, ce sont eux qui me l'ont appris. Je soupire puis je relève la tête en prenant soin de ne pas me cogner, je m'étire comme un chat puis je me dirige hors la pièce pour rejoindre ma soeur qui est au sous-sol, l'endroit où s'entraîne le plus souvent. En bas on peut pratiquer de nombreuses activités, comme la danse, la musculation, le yoga mais plus particulièrement les sports de combats. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'une Zhuang se doit d'être forte autant physiquement que mentalement et qu'on a tous le devoir d'honorer notre famille, notre patrie puis surtout notre sang qui est pur. On m'a toujours dit que mon sang était pur et qu'il ne fallait en aucun cas que je le salisse comme en m'accouplant avec un né moldu par exemple. On m'a toujours dit que je suis un être exceptionnel doté d'une chance rare et que plus tard mes enfants devront avoir la même chance que moi.

J'ouvre la lourde porte noire en la faisant glisser vers la gauche. Feng, ma soeur s'entraîne rudement avec son sabre chinois d'une valeur inestimable. Cela fait longtemps qu'elle a droit de toucher cette relique contrairement à moi. Moi je me contente de vulgaires répliques en bois car mes parents me sous-estiment ou plutôt ils me protègent trop et ils veulent essayer de me contrôler. Tout ça parce que j'ai toujours été le vilain petit canard de la famille. J'ai beau être studieuse et assidue mon problème, c'est le fait que je ne suis pas toujours d'accord avec eux. Notamment avec la valeur du sang. Quand j'étais petite et cela jusqu'à mes huit ans je pouvais crier haut et fort qu'il fallait éradiquer les nés-moldus car ils étaient mauvais. Mais un jour, la rencontre avec une fille moldu dans une forêt alors que j'avais désobéi ébranla l'idéologie qu'on avait implantée dans mon esprit. On peut dire que tout mon petit monde parfait et bien carré sur la notion du mauvais et du bon s'effrita, se corsa, se compliqua et bien sûr au lieu de garder tout ça pour moi, il a fallu que j'en parle. Tout d'abord, à mon père qui m'a de suite reconduit vers ma mère qui s'est contentée de mettre une gifle et de me hurler dessus avant de voir la gamine que j'avais emmenée à la maison : Li mei. Une née moldu sans aucun pouvoir magique que j'allais souvent voir dans la forêt.

Je tenais ma joue avec la main en essayant de ne pas pleurer : « Mais, mère... » Le choc de la claque avait glissé une boule dans ma gorge, j'essayais de respirer. « Elle m'a dit qu'elle n'avait plus de mère et que son père était méchant et qu'il lui faisait du mal... Elle m'a dit aussi que la magie n'existait pas mais je crois qu'elle ne connaît pas l'existence des gens comme nous ... On peut ... Peut-être la laisser vivre avec nous ? Elle n'a plus rien et ... Peut-être que des pouvoirs se révéleront à elle ? » Ma génitrice me fusillait du regard. « Vous savez mère, les moldus ne sont pas aussi méchants que vous le pensez ... » Je reculai, pensant qu'elle allait me donner un autre coup mais elle se contenta de demander à ce qu'on me conduise dans ma chambre puis elle attrapa la gamine par la main. « Chen, cette fille ne restera pas avec nous. » Puis elle l'emmena. Je ne sais pas combien de temps je suis restée dans la rentrée en train de me débattre comme une folle car je ne voulais pas qu'elle parte, je ne pus entendre qu'une seule phrase venant de Li Mei qui me demandait de ne pas la suivre et de ne pas la chercher.

Elle arrête ses mouvements réguliers. « Tu sais qu'on va bientôt emménager au Royaume-Uni ? » Me demande ma soeur, j'acquiesce même si je n'en avais aucune idée, je ne veux pas paraître exclu ou autre par mes géniteurs devant elle. C'était surement de ça que mes parents étaient en train de discuter. Elle reprend son dur entrainement et je me contente de la regarder puis je m'assois sur un banc en bois blanc. Ma soeur est si forte, je ne sais pas si je suis plus douée qu'elle car la dernière fois où on s'est battue j'avais dix ans et elle en avait seize. « Tu te souviens quand tu as failli me tuer ? » Demandais-je soudainement, l'arrêtant en plein dans un mouvement, ce qui la fait chuter. Elle tourne son regard vers moi, les sourcils froncés. « C'est-à-dire ? Hier peut-être quand je t'ai lancé ma brosse à dent dans l'oeil ? » Je pose les yeux au sol, je sais que je vais raviver de mauvais souvenirs.

On était dans la salle à manger, j'avais troublé le silence habituel de la table en lâchant violemment ma baguette. « Mère, vous m'aviez dit... » Li Mei était censée avoir été donnée à un homme qui passait par là et qui voulait l'adopter pour s'occuper d'elle. Elle avait précisé que ce n'était pas le méchant homme qu'on avait vu dans la forêt, c'est ce que ma mère m'avait dit quand je lui avais demandé. Maintenant que j'y réfléchis sa réponse était trop facile, invraisemblable mais je l'ais avalé si facilement ! Sa réponse avait glissé dans ma bouche sans que je me dise que c'était peut-être un mensonge, ce que je pouvais être naïve ! « Non vous n'avez pas fait cela mère...» Dis-je en secouant, la tête. Ma mère n'avait pas pu donner cette gamine à l'homme qu'elle avait fui, je n'arrivais pas à y croire. Dans ce cas il aurait mieux fallu qu'elle l'abandonne au bord de la route. Je respirais très fort et mes sourcils étaient si froncés que ça me faisait mal au crâne. Il fallait que je sorte et c'est ce que je fis sans plus attendre, je n'allais pas rester dans cette pièce sinon j'allais commettre un meurtre.

Je m'étais réfugiée au sous-sol et je n'avais pas prévu que ma mère me suive. Habituellement elle se serait contentée d'envoyer un domestique me chercher. J'avais les bras autour des genoux, je relevais la tête vers elle, elle était furieuse. « Je pense que tu n'as bien compris qui je suis jeune fille. » Dit-elle en croisant les bras. Mes yeux étaient humides, j'essayais de réguler ma respiration. « Tu pleures pour une satanée moldu ... Tu devrais avoir honte ! » Je mordis ma lèvre inférieure, ma mère pouvait toujours être effrayante quand elle le voulait. « Tu veux nous déshonorer ? Tu vas épouser un moldu plus tard ? C'est ça, tu soutiens les sangs-de-bourbes ? C'est ça ?! » Elle secouait la tête, visiblement déçue par mon comportement, je détestais quand elle me criait dessus. « Non mère ... » Je me fichais des moldus, tout ce qui m'importait c'était Li mei. « Si , c'est ça... Tu mêleras ton sang plus tard ... Tu vas nous déshonorer ... mais au moins il reste ta soeur, Feng deviendra la fierté de la famille. » J'ouvris la bouche choquée par ses paroles, comment pouvait-elle pensait à des choses pareilles ? Tout ce que je voulais c'était Li Mei mais elle me l'avait arraché, la seule amie que j'avais. « Mais mère... je ne ferais jamais cela... Jamais ! » Elle décroisa les bras. « Alors, prouve-le-moi ! » Elle m'attrapa par l'épaule violemment puis elle me força à me lever comme la fois où je m'étais blessée au genou. Elle me fît monter les escaliers pour me ramener jusqu'à la salle à manger.

« Tu vois cette femme ? » Demanda-t-elle en désignant une domestique. J'acquiesçais doucement, j'essayais mes yeux humides avec ma manche. « C'est une sang de bourbe. » Cracha-t-elle. « Tu sais pourquoi elle travaille pour nous ? » Je secouais la tête. « Parce qu'elle n'a aucune fierté... Tu vois, les sangs de bourbes travaillent pour ceux qui ne les aiment pas, ce sont des vermines comme elle qui salissent notre monde, tu voudrais mêler ton sang avec eux ? » Je secouais la tête encore une fois, dégoutée par l'ambiance que ma mère faisait régner dans la pièce et par le fait qu'elle pense aussi fort que je voulais déshonorer notre famille. Je tournais la tête vers ma soeur qui regardait la scène la bouche ouverte et vers mon père qui demeurait imperturbable dans sa dégustation. « Tu veux rester à côté de gens pareilles ? » C'était horrible, j'en voulais presque à Li Mei, je m'en voulais de l'avoir rencontré car rien de tout ça ne serait arrivé. « Sors ta baguette. » Je tournais la tête vers elle, craignant le pire. « Sors ta baguette au lieu de me regarder ! » Je m'exécutais. « À présent prouve nous ta loyauté, devant toute la famille et élimine cette chose infâme. » Je n'avais que quatorze ans quand elle me demanda de tuer cette femme. « Mais, enfin ... Mère je ne sais pas l'utiliser... » Elle croisa les bras. « Si tu es vraiment une Zhuang tu réussiras. » Elle tourna la tête vers la domestique qui était terrorisée. «Ça ne servira à rien de vous enfuir, Atsuko. »

J'avais une boule au ventre, j'avais envie de vomir, j'avais envie de hurler, je ne voulais pas rater mais je ne voulais pas tuer cette femme non plus, ça me faisait peur, tuer était quand même un acte extrême. Mais si je voulais prouver à ma mère que je saurais l'honorer il fallait que je le fasse. Je levais ma baguette et j'essayais de concentrer toute la colère et toute la rage que je pouvais, je pensais alors à toutes les choses qui m'énervaient, qui me faisaient souffrir puis quand je fus enfin prêtre, j'hurlai : « Avada Kedavra ! » La domestique qui n'avait même pas essayé de s'enfuir cria de toutes ses forces avant de se précipiter au sol pour entourer son nez ensanglanté. Je lâchais ma baguette, ma soeur était stupéfaite ma mère peu satisfaite : « Ce n'est pas mal pour un début. » Pas mal ? Je lui avais complètement explosé le nez à cette née moldu ! J'avais envie une furieuse envie de vomir. J'avais une furieuse envie d'étrangler ma génitrice. « Vous n'êtes qu'un monstre mère. » Dis-je en m'écroulant sur le sol. Elle tourna la tête vers moi, les yeux grands ouverts comme quand je disais quelque chose qui la révulsé. J'étais en colère contre elle, contre ses actes, ses paroles, le fait qu'elle ne s'est jamais montrée gentille avec moi et je n'avais qu'une envie la frapper. Peut-être que c'est pour cela que ma soeur est intervenue à ce moment-là quand je glissais ma main vers la baguette surement pour faire quelque chose de monstrueux. Elle m'attrapa par les cheveux : « Mère je m'en occupe. » Elle me força à me relever malgré mes violentes protestations puis elle m'entraîna hors de la pièce.

Je ne sais pas comment elle a fait pour me porter dans les escaliers, je ne savais pas qu'elle pouvait avoir autant de force. Elle me força à entrer dans notre grande salle de bain puis elle me plongea dans l'eau la plus froide que je n'avais jamais goûtée. Elle me força à rester sous l'eau, je me débattais de toutes mes forces manquant d'oxygène petit à petit puis enfin elle écourta mon calvaire glacé en me relâchant. Je me relevais crachant de l'eau, toussant, essayant de rependre mon souffle avant de la regarder comme si elle avait perdu la raison. « C'était nécessaire Chen, tu oublies dans quelle famille tu es. » Je fronçai les sourcils. « Tu es folle ma- » Elle me coupa net : « Pour l'amour de dieu ferme-là ! » Je m'exécutais. « Quoi que tu penses sur les moldus, sur l'acte de mère, de ses décisions, ne t'exprime pas ! Personne ne te demande de le faire, tu dois juste obéir et devenir une parfaite Zhuang ! Oublie cette Li Mei, oublie là, elle ne reviendra plus, jamais, tu ne la reverras pas ! » Je baissais la tête, les moldus je m'en fichais, c'est juste que Li Mei avait été importante pour moi, c'est pour cela que j'en voulais à ma mère. « Tu dois honorer ta famille et ton sang car si tu ne le fais pas personne dans cette famille ne te soutiendras même pas père. » Je le savais très bien tout ça. « Ici, c'est soit tu es avec nous soit tu es contre nous. » Et je ne voulais surtout pas être contre ma famille, je ne pourrais pas le supporter. Jamais. « Alors si tu veux rester une Zhuang et ne pas être renier, je te conseille de ne plus jamais faire ce que tu viens de faire.  »

« Bien sûr que je m’en souviens. » Répond-elle presque en crachant ce qui me fait esquisser un sourire.  « Tant mieux chère sœur car j’ai bien assimilé tes paroles, elles sont mêmes gravées dans ma mémoire.» Je ne suis plus la petite Chen de quatorze ans, je réfléchis plus qu’avant et je peux maintenant me vanter d’être enfin la Zhuang que mes parents attendaient-ils se méfient encore de moi et me mette en souvent arrière mais bon, ne chipotons pas. Je me lève du banc, le sourire aux lèvres. « Tu ne voudrais pas te mesurer à moi grande sœur ? » Elle braque son regard vers moi, méfiante, elle réfléchit puis elle me lance une vulgaire réplique de sabre en bois. « Je me demande si tu t’es améliorée depuis la dernière fois petite sœur. » Je secoue la tête, elle aime bien me sous-estimé elle aussi. « Tu ne peux pas savoir à quel point je me suis améliorée. » Et elle ne pouvait également pas savoir à quel point j’avais changé.

Sur une musique très conquérante (n'est pas peur, clique pour découvrir la musique de la victoire !) te voici enfin validé(e) ! Tout d'abord, nous te souhaitons nos félicitations, mais ce n'est pas tout ! Désormais, étant que membre validé, tu vas devoir lire les énoncés suivants. Tu as désormais pris un choix en faisant ta fiche, celui de collaborer ou de résister. Il est très important pour toi de comprendre l'importance de ce choix au vu de la situation et du contexte dans lequel nous jouons (ouais, c'est pas les bisounours quoi.) et que ton personnage sera soumis, en fonction de ce choix, a une vie pas forcément belle, pas forcément très morale. En effet, la guerre, la peur de mourir ou d'être torturé et laisser pour mort peut faire basculer vers les choix les plus immoraux, les personnes les plus droites d'esprit. C'est la guerre, voilà. Si tu as bien compris ça et que tu sais dans quoi tu es engagé, tu peux désormais lire la suite.

Comme tous les membres validés (on note l'entrain de Hermione qui vous félicite, ouaip, elle est contente.) tu vas devoir venir recenser ton avatar dans un premier temps. C'est très important car si tu ne le fais pas, le staff ne le fera pas pour toi, ni Hermione d'ailleurs (bon okay, elle est à l'état d'embryon pour le moment, mais quand même !) Ensuite, tu devras t'occuper de ton personnage, de bien l'intégrer dans le jeu et pour cela, tu devras recenser son patronus, son métier mais aussi son ancienne maison quand il étudiait à Hogwarts. Tu pourras ensuite, si tu le souhaites, ouvrir un registre de liens et de rps ainsi que tenir un journal intime pour conter l'histoire et les mésaventures de ton personnage ! Enfin, n'oublie pas le flood qui est un très bon moyen pour t'intégrer au sein du forum et de sa communauté !

Concernant ta fiche sinon, Hermione a un petit mot à te dire à ce sujet, elle l'a trouve parfaite. C'est très agréable à lire et le côté pro-pur qu'a les Zhuang c'est touchant, surtout quand on voit dans quelle famille a grandi Chen.

Et enfin, un dernier mot ! Bon jeu parmi nous !