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 regulus › la patrie, c'est le sang des autres

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Regulus Black
Regulus Black
SPELLS : 118
AVATAR : Logan Lerman
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MessageSujet: regulus › la patrie, c'est le sang des autres   regulus › la patrie, c'est le sang des autres EmptyLun 24 Juin - 17:54






regulus arcturus black
vous ne possédez rien, en dehors des quelques centimètres cubes de votre crâne.
☞ The last enemy that shall be destroyed is death.

NAME : Je suis le jeune Black sur qui tous les espoirs reposent. Je suis un Black, toujours pur. SURNAME : Je suis l'étoile la plus brillante de la constellation du Lion, Regulus, et de celle du Bouvier, Arcturus. J'irradie de splendeur. AGE : Dix-huit printemps. PLACE OF BIRTH : À l'hôpital Ste Mangouste de Londres. YOUR BLOOD : D'une pureté qui te rend jaloux. MARITAL STATUS : Ma famille a étendu un réseau tentaculaire de prétendantes pour me marier au plus vite et elle a réussi. Je suis aujourd'hui fiancé à la fille des Avery, je dois la rencontrer bientôt. JOB OR OTHER : Je suis une formation de juriste au Ministère. YOUR WAND : L'aubépine de ma baguette m'a toujours rendu mal à l'aise. Je me souviendrai toujours du jour où Ollivander m'a regardé de ses grands yeux pâles en me disant que j'étais un jeune homme plein de contradictions. C'était, selon lui, une caractéristique des possesseurs de baguette d'aubépine. La plume de phénix, trésor de ressources, me plait davantage. Autrement, ma baguette est de vingt-trois centimètres et agréablement souple. PATRONUS CHARM : Je dois avouer n'avoir jamais réussi ce charme, je préfère bien davantage les maléfices. BOGGART : À ma plus grande honte, ce que je crains le plus, c'est mon maître. Le Seigneur des Ténèbres a des pouvoirs si étendus qu'il pourrait me réduire en cendres sans même bouger. HOGWART HOUSE : J'ai toujours porté fièrement les couleurs vert et argent de Serpentard. YOUR CHOICE : Je m'affirme comme un adepte distingué des forces du Mal, des Mangemorts. Bien sûr, je ne le crie pas sur tous les toits, d'autant plus que je travaille au Ministère. Mais j'encouragerai toujours les mesures anti-Moldus. J'ai des réserves quant à l'extermination, mais ne souhaite pas en parler. MIRROR OF ERISED : Ce que je voudrais plus que tout au monde, c'est avoir une relation qui se tient avec mon frère Sirius. Il possède des qualités que j'ai, bien malgré moi, toujours admirées. Bien entendu, je ne révélerais jamais ceci.


QUE PENSEZ-VOUS DE LA VALEUR DU SANG CHEZ LES SORCIERS ? : J'ai eu la chance, ou la malchance, de tomber dans ce qui est sûrement la plus haute famille sang pur de Grande-Bretagne. Depuis tout petit, on m'a enseigné les préceptes de pureté qui conviennent à ma lignée. Et je les approuve, à chaque jour, avec une ferveur renouvelée. Il est impensable que je fréquente quelque né-Moldu que ce soit. La pression reste tout de même énorme. Je fais partie de l'élite et dois agir en conséquence. Aussi, je ne déroge jamais à mes principes de pureté.
ÊTES-VOUS TERRIFIÉ PAR LA MENACE DE LORD VOLDEMORT ? COMMENT VIVEZ-VOUS CETTE SOMBRE ÉPOQUE ? : Je dirais, en premier lieu, sans hésitation, que nous vivons un véritable âge d'or. Les Sang Pur règnent à nouveau, le monde prendra donc toujours la bonne direction. Au fond de moi, je sais pourtant que ma vie était plus facile auparavant. J'avais moins d'obligations. On ne s'attendait pas à ce que je commette tel ou tel acte constamment. Parfois, j'ai envie de tout lâcher, d'hurler à la lune. Mais je me retiens. Je dois garder un visage de marbre. Je me répète que j'ai fait le bon choix, que je contribue à l'oeuvre d'un monde nouveau, meilleur. Une voix dans ma tête continue néanmoins à me souffler que, pour moi aussi, le Seigneur des Ténèbres est une menace.
AVEZ-VOUS DÉJÀ COMMIS UN ACTE IMPARDONNABLE ? SI OUI LEQUEL ET QU'AVEZ VOUS RESSENTI ? SI NON, QU'EST-CE QUI VOUS POUSSEREZ A LE FAIRE ? : Je ne l'ai encore jamais fait. Étant un adepte Mangemort de choix, avec les relations qui vont en conséquence, cela ne saurait par contre attendre. Je n'aime pas la basse besogne, je me dis que d'autres devraient la faire à notre place. Mon rôle à moi serait plutôt de réfléchir, tout en haut. Les Sortilèges Impardonnables viendront quand même, c'est une certitude. Et je les ferai de mon mieux, en y mettant toutes les fibres de mon corps. Je ne veux pas perdre ma place. Reste que je préférais nettement utiliser quelques autres maléfices dont j'ai le talent.
QUE SERIEZ VOUS PRÊT A FAIRE SI LE SEIGNEUR DES TÉNÈBRES SE TENAIT DEVANT VOUS, PRÊT A VOUS TUER ? TRAHIR VOS AMIS, MOURIR, DONNER DES INFORMATIONS ? : Ma vie est insignifiante, absolument insignifiante, comparé à la sienne et à ses nobles idéaux. Je la donnerais sans aucun doute si je devais jamais lui déplaire. Il est mon maître et je lui dois fidélité, je lui donnerais ainsi tout ce qu'il voudrait. Informations, amis. Je ferai tout pour ne pas m'attirer ses foudres toutefois. Il y a des choses qui me sont précieuses et je ne voudrais pas qu'il me les arrache. Je pense à mon frère surtout. La seule idée de sa mort me révulse.
QUE VOUS INSPIRE LE MINISTÈRE DE LA MAGIE ET SA MINISTRE ? : Le Ministère, en tous aspects, m'apparaît comme une blague. D'un jour à l'autre, il peut tomber et il tombera. C'est presque triste qu'autant de puissance puisse être balayée aussi facilement, mais ce sera pour le mieux. Toutes leurs actions sont vouées à l'échec face à un sorcier aussi redoutable que le Seigneur des Ténèbres. L'arrivée de Bagnold ne m'effraie nullement, à vrai dire c'est même risible.
QUE VOUS INSPIRE L'ORDRE DU PHOENIX ET ALBUS DUMBLEDORE ? : Dumbledore possède une virtuosité incroyable et personne ne peut le nier, même pas nous, Mangemorts. Évidemment, aucun mot n'est jamais prononcé à ce sujet, mais on sait bien que s'il y a une menace, c'est celle-là. Je ne doute pas que c'est un homme pratique et que son Ordre doit être organisé. Malgré tout, je ne porte aucune ombre en ma foi. Le Seigneur des Ténèbres vaincra, tous ceux qui se mettront en travers de son chemin périront.
QUE VOUS INSPIRE LES MANGEMORTS ET LORD VOLDEMORT ? : Le plus grand respect. C'est une organisation d'élite, faite pour gagner. Je suis fier d'en être membre. C'est un engagement jusqu'à la mort et je le prends très au sérieux, tellement que ce qu'il implique me rend parfois malade. Quant à mon maître, il est vrai que j'en ai peur. Cette pensée, jamais je ne la partagerai, restez-en sûr.
La peur me tenaillait le ventre. Elle me serrait comme un étau jusqu'à m'étouffer. Mon cerveau fonctionnait à vive allure, frénétiquement. Je sentais mon sang pulser à mes tempes. J'avais mal au crâne. Une douleur sourde s'était logée dans ma nuque. Dans un flot ininterrompu, je voyais son visage, appréhendais ce qu'il dirait, ce que je devrais lui répondre, comment il me faudrait agir, me tenir devant lui. L'important était de paraître confiant, me disais-je. Montrer qu'on était résolu à vaincre. Mes pensées se bousculaient dans ma tête, mon cœur se serrait dans ma poitrine. Pourtant, je continuais à avancer d'un pas résolu dans l'allée encadrée de grands cyprès. Mon regard était posé sur le manoir imposant et austère qui me dominait, tout au bout du chemin. Mais mes yeux ne le voyaient pas. Ils étaient dans le vague, tandis qu'une marée de souvenirs remontait en moi.
C'était un étouffant soir de juin. Nous étions attablés tous les quatre autour de l'immense table ouvragée, un plat d'appétissantes côtelettes d'agneau devant chacun. Ma mère lisait un article de la Gazette à haute voix, tout au bord de sa chaise, visiblement exaltée. Une lueur presque fiévreuse brillait dans ses yeux sombres. «Celui-Dont-On-Ne-Doit-Pas-Prononcer-Le-Nom a donc, selon nos sources, forcé en personne le repère des cinq nés-Moldus, accompagné de deux de ses acolytes connus sous le nom de Mangemorts. Leurs corps sans vie ont été retrouvés à l'aube. Rappelons que le mage noir en question désire éliminer tout sorcier qu'il juge impur de notre communauté», disait ma mère en retenant à peine son souffle. Elle laissa tomber le journal sur la table et jeta à tous un regard réjoui. Jusqu'alors penché en sa direction pour mieux l'écouter, je me redressai en lui adressant un sourire. Mon père fit un signe de tête approbateur. Il m'examina du coin de l'œil, comme pour voir si ça m'avait vraiment plu. Ça m'avait plu. Le Seigneur des Ténèbres, comme on l'appelait chez moi, revêtait une grandeur mystique qui m'attirait irrésistiblement. L'impureté dont il voulait nous dépouiller, la fierté dont il voulait nous doter, c'était pour moi la plus noble tâche qu'on pouvait se donner. Mes parents le tenaient en haute estime et le respect que j'éprouvais moi-même était grand, vivant, chaque jour renouvelé. Quant à Sirius... «Vas-tu te mouiller face à son incroyable magnanimité?», lança-t-il à notre mère avant qu'elle ne déclame de nouvelles lignes de l'article. Un instant plus tard, il était stupéfixé, écroulé sur le mur derrière lui. Mon père s'était levé et brandissait sa baguette, un éclat sauvage au fond des yeux. Je m'étais levé à moitié. «Je m'occupe de lui», dit mon père dans un souffle rauque. Ma mère, accrochée à la table, sa poitrine s'élevant et s'abaissant à toute vitesse, cracha par terre. Son regard était celui d'un animal blessé. Je sortis aussitôt et grimpai à toute vitesse les escaliers pour me réfugier dans ma chambre. Après avoir été choqué de la violente réaction de mon père, j'étais maintenant en colère contre mon frère. Sirius pouvait-il bien se taire? Il n'avait aucun respect pour notre noble sang ni pour quoique ce soit dans cette maison. Il méprisait le Seigneur des Ténèbres alors qu'il créait un âge faste pour nous tous. Je donnai un coup de poing dans le mur. Mon frère pouvait-il se mettre dans le rang comme tout le monde? Je levai les yeux et vis que j'avais balancé mon poing sur une colonne de la Gazette. Ma chambre était tapissée d'articles, tous parlant du Seigneur des Ténèbres. C'était mon univers. J'avais été élevé sous cette ligne de conduite. Je ne comprenais pas comment on pouvait en dévier.
Ces pensées m'accompagnaient alors que mes bottes en cuir de dragon crissaient sur le gravier de l'allée. À ma sortie de Poudlard, il m'avait semblé juste que je rejoigne les rangs du Lord. C'est ce que mes parents avaient voulu. Ils avaient tracé la voie. Et d'un pas plus décidé que jamais, je me dirigeais vers ma première rencontre avec mon maître. Je faisais taire mon cœur qui battait maintenant puissamment, mettant presque en miettes mes côtes et j'entrai dans le manoir.  

☞ It is our choices that show what we truly are.

PSEUDO : cornedrue.
PRÉNOM : Charles.
ÂGE : Seize ans.
PAYS : Québec.
CONNEXION : 7/7
PERSONNAGE : Prédéfini.
GROUPE : Pureblood.
AVATAR : Logan Lerman.
AVIS SUR LE FORUM : D'une qualité comme on n'en fait plus regulus › la patrie, c'est le sang des autres 3817591323
CRÉDITER : tumblr.

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Dernière édition par Regulus Black le Sam 29 Juin - 23:43, édité 22 fois
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MessageSujet: Re: regulus › la patrie, c'est le sang des autres   regulus › la patrie, c'est le sang des autres EmptyLun 24 Juin - 17:54






Undesirable no. one
la magie est puissance.
☞ Killing is not nearly as easy as the innocent believe.

UNE POTION : La Goutte du Mort Vivant m'a toujours fasciné.
UN MALÉFICE : Le maléfice Cuisant, sort dans lequel j'excelle.
UN LIVRE POUR SORCIER : Nobles par nature : une généalogie de sorciers, le livre de référence des Black.
UNE CRÉATURE : Le Nundu, dont la légende est même connue ici, en Grande-Bretagne.
UNE FRIANDISE : Les gnomes au poivre, auxquels je suis étrangement accroc.
UN ÉLÉMENT : L'eau. L'eau qui se déchaîne et s'abat en torrents.
UN OBJET MOLDU : Suis-je censé en connaître un seul?
UN SORCIER CÉLÈBRE : Je devrais dire le Seigneur des Ténèbres, mais à mon avis Herpo l'Infâme force le respect. Son histoire m'a toujours passionné.
UNE INCANTATION : Deprimo, toujours efficace.
UNE COULEUR : Vert, pour des raisons évidentes.
LIÉS PAR LE SANG
Le soleil perçait timidement le rideau de nuages qui s'amoncelaient dans le ciel. Ses faibles rayons tombaient sur les collines environnantes comme des gouttes d'or dans l'air embrumé. Sous un arbre luisant de rosée, dans les broussailles humides, un petit garçon et une jeune fille se tenaient assis. Le premier, c'était moi. Tout juste âgé de cinq ans, les cheveux noirs en pagaille, la silhouette encore filiforme. Tout à mon côté, me portant un regard de défi de ses grands yeux sombres, Bellatrix. À seize ans, elle m'apparaissait comme une princesse avec ses longs cheveux brillants. Elle m'avait traîné jusqu'à cette lointaine colline sans m'avoir encore dit pourquoi. Nous étions en vacances dans la maison de campagne des Rosier. Tante Druella nous y avait invités. Je voyais pour la première fois ce coin de l'Angleterre, le Devon. «Pourquoi Sirius n'est pas venu avec nous?» geignis-je. Le Devon était trop sauvage à mon goût. Il me semblait avoir marché des heures pour venir jusque là. Au nom de Sirius, l'expression du visage de Bella changea aussitôt. Elle renifla dédaigneusement. «C'est un bon à rien», lâcha-t-elle avec mépris. Bellatrix était en colère contre lui. Il évitait tout le monde ces temps-ci, surtout elle. Seule Andromeda pouvait l'approcher. Bien sûr, il faisait toujours la tête. «Peu importe, c'est pour toi que nous sommes venus», poursuivit Bella qui avait retrouvé son regard provocant. Une lueur d'excitation brillait au fond de ses yeux, mais je n'y prêtais pas attention. Je ne l'écoutais déjà plus. Je contemplais l'horizon de brume tout en massant mes jambes endolories. J'avais le souffle court de tant de marche. «Regulus», dit Bella avec une pointe d'impatience. Je détachai mon regard de la plus haute colline et lui fis face. «Très bien. Aujourd'hui, tu vas me montrer que tu es un grand sorcier», m'annonça-t-elle d'un air fébrile en essayant de cacher son excitation. Je fis la moue. «J'veux rentrer», gémis-je. «Oh non, non, non.» Un ardent sourire se dessinait sur ses lèvres. «Sirius n'est-il pas capable de faire plein de trucs?» demanda-t-elle au bout d'un silence. Je levai des yeux larmoyants. «J'ai juste cinq ans», protestai-je dans un murmure. Mais Bellatrix hochait frénétiquement de la tête, son sourire s'élargissant. «Viens avec moi», m'ordonna-t-elle. Je la suivis à contrecœur. Nous dévalâmes la colline au sommet de laquelle nous étions. Nous atterrîmes au bord d'un précipice. Sous nos pieds étaient déchiquetés de grands rochers. Le canal de Bristol s'offrait à notre vue, ses eaux s'écrasant sur la falaise par-delà la brume. J'ouvris de grands yeux alors que l'air salé m'emplissait les narines. L'instant d'après, je frissonnais de la tête aux pieds, mes cheveux battus par le vent. «Approche», me cria Bella pour couvrir le bruit des vagues qui se fracassaient. Je la rejoignis tout au bord. Elle s'avança alors pour me pousser dans la mer, mais... «Bella!» Elle immobilisa son geste, son bras tendu en l'air. Andromeda venait d'arriver. Elle descendait la colline à toute vitesse, Sirius suspendu à sa main. «Tu es folle ou quoi?!» hurla-t-elle à l'adresse de sa sœur, ses yeux lançant des éclairs. Son aînée la regarda d'un air mauvais en reposant son bras. «J'aurais révélé ses pouvoirs si tu n'étais pas intervenue», grogna-t-elle entre ses dents, l'air aussi furieuse qu'elle. «Tu l'aurais tué, oui!» rugit Dromeda, hors d'elle. Les sourcils de Bellatrix se haussèrent et disparurent sous sa frange. «Tu ferais mieux de t'occuper de tes affaires... pimbêche.» Elle rejeta sa longue chevelure derrière elle, me prit par la main et partit d'un air distingué. Dromeda, plus courroucée que jamais, s'écria dans notre dos : «Je vais le dire à maman!» Bella éclata d'un grand rire. Bien sûr, tante Druella ne ferait rien. Je jetai un dernier regard à Sirius qui me fixait d'un air mauvais. Je ne comprenais pas pourquoi ma cousine vociférait ainsi. Bella ne m'avait rien fait. Je n'avais pas vu son bras. Elle voulait simplement me montrer le canal. Je n'aimais pas beaucoup ma cousine Dromeda, elle hurlait constamment. Et Sirius, lui, n'était jamais gentil avec moi. Il ne participait pas aux jeux de Bella. On rentrait, à présent, et j'étais content. L'expédition de Bella avait été quelque peu harassante. Je ne savais pas que j'avais bien failli mourir un moment plus tôt. Je m'étais, encore une fois, laissé conduire par les idées de la valeur du sang que chérissaient ma famille. Bellatrix avait voulu s'assurer que je n'étais pas un Cracmol. Chez moi, il était important de toujours être le meilleur, de toujours étaler sa supériorité. Et j'allais devenir le parfait jeune Sang Pur qu'on voulait me voir être.     

DISPUTE AU PUB  
La grande allée de Pré-au-lard était inondée par le soleil de mai. L'air enivrant sentait tantôt les fleurs, tantôt les dragées, tantôt quelque pâtisserie. Tout bourdonnait d'activité. Les cloches tintaient tandis que des masses d'élèves s'engouffraient dans les boutiques. Nombreux étaient ceux qui défaisaient la cravate, relâchaient l'uniforme sous l'agréable chaleur. Des cris, des rires fusaient de partout et les bourses se délivraient joyeusement de leur or. Dans cette atmosphère d'allégresse, je me détachais, le cœur froid, fermé. Après des mois, mon frère avait enfin accepté de me parler franchement. Nous devions nous rendre ensemble aux Trois Balais. Il jetait pour l'instant des sourires à la ronde, parfaitement à l'aise sous le soleil, marchant de son pas élégant à mon côté. Fixant le sol, l'air morose, je menais la marche, ressassant encore ce que je voulais lui dire dans ma tête. «Pourquoi fais-tu une face d'enterrement, Reg'?» me lança-t-il d'un air réprobateur. Je ne lui accordai aucune attention. Nous entrâmes dans le pub bondé et nous nous faufilâmes avec difficulté un passage jusqu'au comptoir. Après avoir commandé deux Bièraubeurres, nous prîmes place à une petite table ronde isolée des autres. «Vas-tu me dire un jour pourquoi tu m'amènes ici?» maugréa Sirius, impatient. Je soupirai et le regardai enfin. Il me regardait d'un air interrogateur, apparemment agacé. Je pris une seconde pour admirer secrètement son maintien altier et la façon dont il rejetait ses cheveux. Puis, je dis ce qui me pesait tant : «Ce que tu fais m'inquiète.» Aussitôt, je me sentis ridicule, comme si j'avais échappé une grossièreté. «Et qu'est-ce que je fais?» interrogea-t-il avec un sourire ironique. Arrivé jusque là, je voulus délester tout le poids qui m'accablait. «Tu as de mauvaises fréquentations», prononçai-je d'une voix atone. Nos consommations nous furent apportées sur ce. Sirius décapsula sa bouteille d'un air négligent, sans cesser de me regarder, et la porta à ses lèvres sans dire un mot. Encouragé, je continuai, dans un flot qui remontait, continuel, comme de la bile. «Ce Potter... c'est un vrai insolent. Tu as toujours des ennuis avec lui. Vous sortez la nuit, je vous ai vus. Tu es là à faire les quatre cent coups...» Je m'interrompis à nouveau. Les joues de mon frère s'étaient plissées, comme sous l'effet d'un goût amer. «Et ça te regarde?» demanda-t-il d'un ton féroce, une lueur dangereuse allumée dans les yeux. Je me recroquevillai sur moi-même, sentant l'explosion. «Tu déshonores notre famille», lâchai-je finalement. Sirius eut un petit rire, un rire sans joie. L'air plus sarcastique que jamais, il se pencha vers moi avec brutalité, ses yeux me criblant de flèches. «Tu crois que je ne le sais pas, peut-être?» dit-il dans un murmure impressionnant. Extrêmement tendu, je le contemplai. Évidemment que je le savais. Aussi loin que ce souvenir dans les collines du Devon, il avait été différent. Déjà, il avait choisi sa voie en choisissant la prétentieuse Dromeda plutôt que la jolie Bella. Cette situation s'était accentuée lorsque le Choixpeau l'avait envoyé à Gryffondor. Depuis, il traînait avec des petits hors-la-loi et se révoltait chaque jour davantage contre la noble lignée des Black. Il trahissait son sang et cela, à ma troisième année à Poudlard, assis sur ma chaise des Trois Balais, j'en étais très conscient. Les BUSE de Sirius approchaient, il devait bientôt choisir pour de bon son chemin. Mais il semblait à présent impossible de le dévier de cette route sinueuse, marginale, qu'il s'était choisie. Il ne savait pas où devait aller la loyauté ni où était la force. Moi, Regulus, par contre, je me conformais à la bonne direction. J'avais rejoint les Serpentard, j'avais établi mon cercle de Sang Pur, j'étais la fierté de ma famille. Sirius m'avait toujours paru infiniment supérieur. Dans sa beauté, ses gestes teintées d'élégance, ses actions emplies de conviction. Tout en lui commandait le respect. Mais nous nous éloignions de plus en plus. J'avais tenté maintes fois de le raisonner et maintenant, dans ce pub bondé, je voyais que ma dernière chance s'envolait à une vitesse effarante. Je ne savais pas ce que j'avais imaginé. Je m'accrochais pourtant encore, désespérément. «Tu ne fais aucun effort! Tu fiches toujours tout en l'air! Ça n'a pas d'importance, les gens autour de toi?» m'écriai-je en me levant. Ma colère, ma déception aussi, éclatait. «Je n'ai rien à te dire, Regulus. Tu es englué dans des idées archaïques, tu voues un culte à des gens cruels. Tu es aveugle», me cracha-t-il et je sentis qu'il était à deux doigts de me frapper. Au lieu de quoi il quitta à grands pas le pub, sous le regard des quelques clients qui avaient écouté l'échange. Je tombai sur ma chaise, comme assommé. Il me semblait que, pour toujours peut-être, j'avais perdu mon frère.  

LA FUITE DE PATMOL  
Cette fois, le soleil ne se pointait plus du tout. Peut-être avait-il disparu pour toujours, c'était en tout cas ce que je pensais. La pluie martelait, avec constance, les carreaux des vitres de notre demeure. Le ciel pleurait, j'en étais sûr. Tout était inconsolable, silencieux, froid et brisé. Notre maison m'avait toujours paru belle, maintenant elle devenait sale, triste et sombre. Les lambris suintaient, le parquet grinçait, les interstices sifflaient. De temps à autre, on entendait Kreattur gémir dans sa tanière. Il n'avait plus fait son apparition depuis que sa maîtresse l'avait balancé au travers de la pièce. Ma mère, depuis son éclat de colère qui avait presque détruit toute la porcelaine des Black qui existât, s'était réfugiée dans un silence d'outre-tombe. Ses yeux, comme des puits sans fond, fixaient vaguement la rue, comme si cela pouvait le faire revenir. Mon père, lui, avait quitté en furie le square Grimmaurd la nuit de la fugue. Il manquait à l'appel depuis une semaine. Le visage de mon frère me hantait. Je ne mangeais presque plus, comme vidé de toute substance. Je parcourais de long en large toutes les pièces sans me soucier de quoique ce soit. Seul persistait le souvenir de cette nuit fatidique, celle qui nous l'avait enlevé. Je revoyais son regard fuyant, j'entendais à nouveau ces mots à peine audibles: pardonne-moi. Comment pourrais-je le pardonner? Il m'avait trahi et c'est le dernier mot que je lui avais craché, avec toute la hargne, toute la haine que je pouvais rassembler : traître. Il avait souillé notre sang, jeté la honte sur notre lignée. Il n'avait plus sa place sur l'arbre des Black, notre mère l'en avait effacé d'un simple coup de baguette. Jamais plus il ne me parlerait, jamais plus il ne m'approcherait. Je ne le tolérerais pas. Ce que j'avais craint pendant tant d'années s'était finalement produit. Mon grand frère, le héros que j'avais mis sur un piédestal avait couru dans la nuit, comme un lâche. Il irait sûrement chez les Potter, ces traîtres à leur sang. Je les détestais, je les abhorrais. J'avais été idiot, un parfait crétin, de croire en lui. J'aurais dû voir sa perfidie, son hérésie. Il n'était pas l'un des nôtres, il ne le serait jamais. Mais j'avais fermé les yeux, comme d'habitude, et il s'était joué de moi comme un marionnettiste avec son pantin. Le cœur en pièces, l'estomac pris dans un nœud qui me serrait violemment les tripes, une horrible sensation de vide menaçant de me faire suffoquer, je me dirigeai vers le salon où se tenait assise ma mère. Elle buvait du vin d'un rouge opaque et en renversait régulièrement sur sa robe noire défraîchie. Ses yeux exorbités étaient tournés vers la tapisserie de l'arbre, posée sur le plus grand mur du salon. En fait, ils étaient tournés vers le rond brûlé où s'était trouvée l'image de Sirius. Je songeai qu'elle devait avoir l'air aussi hagard que moi. Avec des gestes maladroits, je lui enlevai sa coupe que je déposai sur la table basse. Je m'assis devant elle pour mieux la contempler. Une loque humaine, voilà ce qu'elle est, pensai-je, et mon cœur sembla éclater en morceaux encore plus petits. Je déglutis du mieux que je pus. J'avais une annonce à faire. «Maman», croassai-je. Je fus gêné du son erratique de ma voix. Mais elle ne semblait pas s'en soucier, toujours tournée vers la tapisserie. Je continuai avec effort : «Je veux te dire...» Je m'arrêtai. Mes yeux me piquaient tellement ils étaient secs. Ils étaient si secs qu'ils auraient pu se craqueler. Je ne voulais verser aucune larme. Aucune. «Je veux te dire que tu peux compter sur moi», achevai-je d'un ton légèrement plus affirmé. Walburga Black, cette femme si forte, puissante, que j'avais idolâtré, adulé, consentit enfin à me faire face. Elle n'était plus que l'ombre d'elle-même. Son visage paraissait ravagé et j'y remarquais pour la première le passage du temps. De grands cernes le marquaient, des rides surgissaient au coin des yeux. Ce fut pour moi un choc, habitué à voir ma mère pleine de vigueur, toujours prête à lancer des malédictions avec toute l'énergie de sa voix. Elle hocha lentement la tête, puis, se ressaisissant : «Oui, très bien» avec une nette note de cassure. Ni l'un ni l'autre ne parlâmes pendant de longues minutes. Enfin, ma mère rompit le silence d'un murmure que j'aurais pu confondre avec le bruissement d'une étoffe. «Ton père?» Je haussai les épaules, complètement démonté. «Je ne sais pas», répondis-je du même ton rauque. Je croyais que ma mère avait eu une extinction de voix. Avec les hurlements qu'elle avait poussés cette nuit-là, c'était très vraisemblable. À ce souvenir, je frissonnai. Je n'avais jamais entendu pareil son de toute ma vie. C'était un rugissement animal, un feulement de bête blessé. N'ayant plus rien à ajouter, je me levai pour retourner à ma torpeur au travers de la maison. Je devais, à compter de ce jour, devenir l'héritier Black sur qui tous les espoirs étaient misés, dans une avalanche de pression auparavant jamais égalée.

TOURNÉ VERS L'AVENIR  
Entouré de vieux cartons, je sortais d'un air las des cadres où étaient affichées des photos de famille. La lumière du soleil perçait les larges fenêtres et frappait avec force mon visage. Assise par terre devant moi, il y avait Cissy. Ses longs cheveux blonds brillaient d'un doux éclat. Je l'observais du coin de l’œil en songeant, le cœur chaud, qu'elle au moins ne me ferait jamais défaut. Je venais d'emménager dans mon superbe appartement, en plein centre de Londres, dans le bruit et l'action. Je commençais ma formation de juriste le lendemain. J'avais passé mes ASPIC à Poudlard haut la main, mais n'en avais pas obtenu autant que Sirius, pensai-je avec un pincement au cœur. Je tournais en tout cas la page avec brio sur ces années d'étude où j'avais passé de si bons moments, de la salle commune avec les amis aux succès du Quidditch. Attraper le Vif me manquerait. Je devais pourtant commencer ma vie d'adulte et les attentes étaient grandes. Je devais réussir, réussir d'une façon si spectaculaire que le nom de Black resplendirait dans toutes les tribunes pour retrouver ses plus hauts temps de grandeur. J'étais déjà las de défaire toutes ces boîtes, il me semblait déterrer des antiquités vieilles de plusieurs siècles. Ma mère avait veillé à me préparer un trousseau conséquent. Depuis la fuite de Sirius, elle mettait toute son énergie dans ma personne, comme si cela pouvait la garder en vie. Le départ avait été difficile, elle contenait avec grande peine sa colère. Je quittais trop prématurément à son goût. Elle l'attribuait à la disparition de son aîné, sans quoi je n'aurais pas été si pressé de sauver l'honneur de la famille. Bien sûr, elle-même m'étouffait d'attentes. Et puis, il y avait la guerre... «Ça va?» La voix de Cissy me sortit de mes pensées. Elle avait de toute évidence deviné la nature de mes réflexions. Elle me couvait d'un regard inquiet. «Oui, oui», assurai-je en lui offrant un faible sourire. «Tu sais, on devrait terminer cela rapidement pour ensuite aller faire un tour», dit-elle d'une voix hésitante. J'approuvai d'un signe de tête et me remis machinalement aux boîtes. J'adorais Cissy. Elle avait toujours la bonne suggestion, le bon mot. Si j'avais un allié, c'était elle. Ma plus grande amie et même que, si elle n'était pas ma cousine... Et elle avait les mêmes préoccupations que moi, un seul regard dans sa direction me le faisait comprendre. Depuis mon entrée chez les Mangemorts, j'avais espéré presque avec détresse avoir cette même lueur fanatique, sauvage dans les yeux que les autres. Mais je n'y arrivais pas. Cissy non plus. Certains jours, j'aurais voulu que la démence me prenne dans son giron et me serre fort, très fort. Tout serait alors plus facile. Juste le mal, le mal pur, sans soucis, sans tracas, une assurance éclatante dans chaque geste. Bellatrix serait enfin fière de moi, ses enseignements atteindraient leur accomplissement, l'élève surpasserait le maître. Mais c'était impossible, me dis-je, un nœud dans la poitrine. Absolument impossible. Si je faisais tous ces sacrifices, si je m'étais enrôlé, c'était pour ma famille. Je devais afficher la même conviction que celle dont Sirius avait fait montre de son côté. Aller au bout de mes idéaux. Cissy avait sorti un cadre et je voyais qu'elle tentait de me le cacher. «Qu'est-ce qu'il y a?» demandai-je, soupçonneux. Je lui arrachai le cadre des mains. Sirius me contempla de ses beaux yeux pendant un instant, puis : «Evanesco!» Il disparut, mes mains se refermant sur le vide. J'adressai un regard de reproche à Cissy, tout en reconnaissant à l'intérieur de moi qu'elle avait eu raison de se débarrasser du cadre. J'avais été brutalement saisi par l'apparition de mon frère, dans ce moment où je ne m'y attendais pas. Ça avait été comme un poignard dans le dos. Sans vouloir l'admettre, je brûlais de le revoir. Il ne m'avait parlé qu'une seule autre fois après sa fugue et ce souvenir me tourmentait beaucoup. «Ça suffit, allons boire quelque chose», décida Cissy. Ce fut le moment que choisit un hibou pour débouler dans la pièce et laisser tomber une lettre sur ma tête. Un peu agacé, je la pris et l'ouvris. Son contenu me retourna l'estomac. Je dus prendre plusieurs secondes avant de pouvoir formuler une idée derrière mon sentiment. Quand ce fut fait, je tendis la lettre d'une main tremblante à Cissy. Elle parcourut rapidement les quelques lignes. «Et puis?» s'étonna-t-elle. Je ne répondis pas, sentant que je perdais mes couleurs. «Ta mère t'invite square Grimmaurd pour t'annoncer une grande nouvelle, et puis?» Cissy eut alors un éclair de lucidité. «Ah... je vois», dit-elle d'un ton lourd. J'hochai de la tête à plusieurs reprises. Cette annonce, je m'y attendais depuis des mois. Un mariage. Ma mère me cherchait des prétendantes comme une forcenée. Elle devait avoir trouvé la bonne. J'avalai péniblement ma salive. Ma vie d'adulte prenait son tour officiel. Une femme, un travail et, dans tout ça, une guerre où l'on attendait de moi les plus grands exploits. J'espérais que le Seigneur des Ténèbres apporterait en effet l'âge d'or promis. J'en aurais besoin pour allonger l'arbre des Black. 


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Dernière édition par Regulus Black le Sam 29 Juin - 23:23, édité 49 fois
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MessageSujet: Re: regulus › la patrie, c'est le sang des autres   regulus › la patrie, c'est le sang des autres EmptyLun 24 Juin - 18:00

Un autre Regulus regulus › la patrie, c'est le sang des autres 910581444
Bienvenue parmi nous et bonne chance pour ta fiche I love you regulus › la patrie, c'est le sang des autres 3811213869
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MessageSujet: Re: regulus › la patrie, c'est le sang des autres   regulus › la patrie, c'est le sang des autres EmptyLun 24 Juin - 18:01

Bienvenue I love you
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MessageSujet: Re: regulus › la patrie, c'est le sang des autres   regulus › la patrie, c'est le sang des autres EmptyLun 24 Juin - 18:03

un second regulus. I love you
bienvenue et courage pour la compétition.
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MessageSujet: Re: regulus › la patrie, c'est le sang des autres   regulus › la patrie, c'est le sang des autres EmptyLun 24 Juin - 18:59

Bienvenue regulus › la patrie, c'est le sang des autres 3811213869
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MessageSujet: Re: regulus › la patrie, c'est le sang des autres   regulus › la patrie, c'est le sang des autres EmptyLun 24 Juin - 20:49

Merci beaucoup à vous quatre! Votre forum est vraiment parfait regulus › la patrie, c'est le sang des autres 548759336
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MessageSujet: Re: regulus › la patrie, c'est le sang des autres   regulus › la patrie, c'est le sang des autres EmptyLun 24 Juin - 21:38

oh god Regulus et Logan c'est un mauvais mélange ça regulus › la patrie, c'est le sang des autres 3817591323 J'exige un lien ! regulus › la patrie, c'est le sang des autres 2363495609
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MessageSujet: Re: regulus › la patrie, c'est le sang des autres   regulus › la patrie, c'est le sang des autres EmptyLun 24 Juin - 21:45

Charleeees regulus › la patrie, c'est le sang des autres 2657004701 t'es tellement classe comme ça ! I love you
Bienvenue ici ! (oui c'est Anna)
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MessageSujet: Re: regulus › la patrie, c'est le sang des autres   regulus › la patrie, c'est le sang des autres EmptyMar 25 Juin - 0:28

On se fera un lien, oui! regulus › la patrie, c'est le sang des autres 2711362936
Annaaaaa regulus › la patrie, c'est le sang des autres 3811213869 Je sais c'est tout de même mieux que le vieux Clint Laughing Merci de m'avoir parlé de ce forum, il est trop top regulus › la patrie, c'est le sang des autres 149374401
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MessageSujet: Re: regulus › la patrie, c'est le sang des autres   regulus › la patrie, c'est le sang des autres EmptyJeu 27 Juin - 14:25

Fallait que je passe par la officiellement quoi Rolling Eyes

BIENVENUE I love you
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MessageSujet: Re: regulus › la patrie, c'est le sang des autres   regulus › la patrie, c'est le sang des autres EmptySam 29 Juin - 23:52

Merci jolie Opale regulus › la patrie, c'est le sang des autres 4023609888 
J'étais très inspiré aujourd'hui et voilà... j'ai terminé regulus › la patrie, c'est le sang des autres 2363495609 
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MessageSujet: Re: regulus › la patrie, c'est le sang des autres   regulus › la patrie, c'est le sang des autres EmptyDim 30 Juin - 9:02






enjoy !!

☞ te voici validé(e)
Sur une musique très conquérante (n'est pas peur, clique pour découvrir la musique de la victoire !) te voici enfin validé(e) ! Tout d'abord, nous te souhaitons nos félicitations, mais ce n'est pas tout ! Désormais, étant que membre validé, tu vas devoir lire les énoncés suivants. Tu as désormais pris un choix en faisant ta fiche, celui de collaborer ou de résister. Il est très important pour toi de comprendre l'importance de ce choix au vu de la situation et du contexte dans lequel nous jouons (ouais, c'est pas les bisounours quoi.) et que ton personnage sera soumis, en fonction de ce choix, a une vie pas forcément belle, pas forcément très morale. En effet, la guerre, la peur de mourir ou d'être torturé et laisser pour mort peut faire basculer vers les choix les plus immoraux, les personnes les plus droites d'esprit. C'est la guerre, voilà. Si tu as bien compris ça et que tu sais dans quoi tu es engagé, tu peux désormais lire la suite.

Comme tous les membres validés (on note l'entrain de Hermione qui vous félicite, ouaip, elle est contente.) tu vas devoir venir recenser ton avatar dans un premier temps. C'est très important car si tu ne le fais pas, le staff ne le fera pas pour toi, ni Hermione d'ailleurs (bon okay, elle est à l'état d'embryon pour le moment, mais quand même !) Ensuite, tu devras t'occuper de ton personnage, de bien l'intégrer dans le jeu et pour cela, tu devras recenser son patronus, son métier mais aussi son ancienne maison quand il étudiait à Hogwarts. Tu pourras ensuite, si tu le souhaites, ouvrir un registre de liens et de rps ainsi que tenir un journal intime pour conter l'histoire et les mésaventures de ton personnage ! Enfin, n'oublie pas le flood qui est un très bon moyen pour t'intégrer au sein du forum et de sa communauté !

Concernant ta fiche sinon, Hermione a un petit mot à te dire à ce sujet, elle l'a trouve vraiment très bien écrite et faite regulus › la patrie, c'est le sang des autres 910581444 Regulus est parfait et puisque nous n'avons aucune nouvelle de l'autre membre tentant le rôle depuis plus de cinq jours ce qui est stipulé dans le règlement, le rôle te revient de droit, félicitations I love you

Et enfin, un dernier mot ! Bon jeu parmi nous ! regulus › la patrie, c'est le sang des autres 3811213869

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MessageSujet: Re: regulus › la patrie, c'est le sang des autres   regulus › la patrie, c'est le sang des autres EmptyDim 30 Juin - 14:46

Merci beaucoup Marine! J'adore la musique regulus › la patrie, c'est le sang des autres 2977083760
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MessageSujet: Re: regulus › la patrie, c'est le sang des autres   regulus › la patrie, c'est le sang des autres Empty

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