NAME : O'Hagan, toute la fierté irlandaise représentée sous un nom de prestige. Lignée autrefois puissante et influente d'Irlande, elle est aujourd'hui tombée dans la déchéance, mais la vanité de porter tel nom reste fortement ancrée dans le sang. SURNAME : Ahrmën, la sonorité de ce prénom lui plaît particulièrement, l'histoire qui va avec aussi. Donné à plusieurs de ses ancêtres, il le porte à présent. Mais ce n'est qu'un prénom. AGE : vingt-huit ans PLACE OF BIRTH : Galway, Irlande YOUR BLOOD : Longtemps famille de sang pur, les siècles ont forcé à faire quelques sacrifices pour la pérennité du nom. Malgré leurs convictions profondes, leur sang s'est retrouvé mêlé il y a plusieurs générations de cela et ils ne peuvent aujourd'hui plus prétendre être aussi nobles qu’ils le furent. MARITAL STATUS : Il fut fiancé durant un temps, une union prometteuse pour la famille, une union offrant un avenir meilleur pour le nom, mais Ahrmën a préféré utiliser la fuite pour s'offrir de nouvelles opportunité. Non pas qu'il n'appréciait pas la demoiselle en question. Ce n'était simplement pas le moment, son ambition étant ailleurs. JOB OR OTHER : Peu attiré par l'idée de travailler pour un ministère pour lequel il n'éprouve aucune sympathie, Ahrmën s'est dirigé vers le monde des affaires. Prenant son indépendance financière après avoir racheté une distillerie de whisky pur feu. Il produit aujourd'hui un produit raffiné qui lui permet de vivre paisiblement et comme il l'entend. YOUR WAND : D'une longueur de 29 cm sa baguette est issue d'un cèdre vieux de quelques siècles. Relativement rigide elle trouve en son sein une griffe d'hyppogriffe. PATRONUS CHARM : Une sirène pour le protéger. Fidèle à ses origines, il aime l'idée que telle créature puisse le protéger des méandres les plus sombres d'une vie de sorcier. Redoutées, les sirènes ont toujours laissé O'Hagan perplexe, comme incapable de savoir si elles sont si malfaisantes ou au contraire relativement pacifiques. Ce qu'il sait, c'est qu'elles sont prêtes à se défendre et se battre à la mort. Le totem lui plaît et en dit long sur son rattachement au domaine aquatique. BOGGART : Un strangulot. Cette peur peut sembler absurde, mais il est un homme proche de la mer et des lacs de son Irlande natale. C'est une peur naturelle pour lui que d'imaginer une telle créature vous attraper alors que vous profitez de l'eau pour vous tuer dans une abysse profonde. HOGWART HOUSE : Envoyé chez Serdaigle, cela n'avait que peu d'importance pour lui. Celle-ci ou une autre où était la différence ? Le plus important se trouvait ailleurs. YOUR CHOICE : Ses valeurs sont celles de sa famille, jamais bafouées, jamais remises en question, il n'a aucune honte d'affirmer son ascendance et ce que cela amène. Ahrmën aime l'idée d'être au dessus des autres, il aime l'idée d'être supérieur. Il rejoint forcément les idéaux les plus sombres. Il possède un héritage que les sang-de-Bourbe n'ont pas et par conséquent il est logique de défendre sa position. Loin d'être mangemort, il pourrait collaborer cependant.MIRROR OF ERISED : Il y verrait très certainement une femme. Femme magnifique aux allures de naïade enchanteresse. Impossible pourtant de réellement la distinguer, de mettre un visage sur elle, mais le sentiment de paix que cette vision lui apporterait serait étrangement suffisante.

« Me marier ? Hors de question. » Tenant tête au chef de famille, il était clair pour Ahrmën que ce n'était pas le bon moment pour lui. Fonder une famille et assurer la pérennité du nom, il avait toute sa vie pour y parvenir, il était d'ailleurs parfaitement conscient qu'un jour il n'aurait plus le choix, mais pas maintenant, pas encore. Trop jeune pour y songer, sa motivation existait à travers une envie de liberté intense. O'Hagan avait des projets à mener à bien. Des projets qui amèneraient son nom à être un peu plus reconnu. Il était sûr de son coup, sûr de pouvoir redresser la barre, de faire ce pour quoi il était élevé. Le mariage ne rentrait pas encore en compte, pas pour tout de suite. Un jour très certainement, bien sûr qu'il y avait pensé, il n'était même pas contre l'idée à vrai dire, seulement il voulait choisir, il voulait prendre son temps. Ahrmën souhaitait contrôler sa vie, son père devait lui faire confiance. Il n'y avait pas besoin d'arranger un mariage avec une fille de bonne famille, il était capable de trouver seul une sorcière digne de ce nom pour lui. La séduction était un art trop souvent oublié dans ce milieu, les arrangements passant d'abord et la solution de facilité étant la plus prisée. Hors il n'en voulait pas. Il n'en voulait pas et s'y refusait catégoriquement. « Tu le feras et c'est tout. La famille passe avant tes envies. Trouve-lui une bague, corresponds avec elle et je suis sûr qu'elle sera à ton goût. Elle est un bon parti et sa beauté n'est plus à prouver. » Soupirant, le jeune homme sentait une certaine rage prendre le contrôle. Il ne la connaissait même pas, ne savait pas à quoi elle ressemblait et il devait l'épouser ? C'était absurde, si encore les choses se passaient différemment il n'aurait pas refusé d'obtempérer, mais c'était plus fort que lui. Cette situation ne lui plaisait pas. S'asseyant sur le premier fauteuil venu il fixait son père, visage fermé. Il ne plierait pas, il devrait même redouter de le contrarier. Que faire ? La tête du jeune homme se dirigeait droit vers un abysse qui ne lui plaisait pas. En pleine réflexion il dérivait ses yeux vers le feu brulant et crépitant de la cheminée. S'il refusait on le forcerait quand même, mais s'il acceptait alors peut-être qu'il pourrait user de ruse, rentrant dans le jeu pour mieux fuir par la suite, quitte à se mettre son père à dos, tant que sa liberté était acquise après tout. « Visiblement je n'ai pas le choix. Soit, je lui enverrai une bague, je correspondrai avec elle. Pour la famille n'est-ce pas ? » Bien sûr que non il ne l'avait pas et loin d'être fou il préférait faire croire à une coopération pour la famille, pour le prestige, pour toutes ces valeurs qu'on a forcées à intégrer son crâne. Formaté dans des idéaux vieux de plusieurs générations, il les avait acceptés. Il en payait aujourd'hui un certain prix sans jamais avoir pensé le devoir. Il s'y attendait à cette idée de mariage, mais il n'avait jamais pensé qu'on la lui imposerait de la sorte et son père le connaissait plus que bien, il savait qu'il ne se laisserait pas faire sans opposer de résistance, qu'il tenait trop à son libre arbitre pour ça. Pourtant il insistait, ne laissant aucun choix, il avait bien trop d'armes en sa possession pour le faire flancher. Ahrmën cependant se refusait à le laisser gagner, à lui laisser avoir le dernier mot. Sa femme serait celle qu'il choisirait et non pas un fichu arrangement. La confiance régnait visiblement, touché dans son égo il ne supportait pas ce sentiment. Il n'aurait pas choisi une sang de bourbe, le paternel s'en doutait bien alors pourquoi ? Tant pis, O'Hagan obéirait, la bague ne serait surement pas compliqué à trouver. Les mots en revanche pour paraitre sympathique à cette fameuse fiancée ne viendront pas si facilement. Si seulement il la connaissait, si seulement on avait pu décrire ses gouts pour lui faciliter la tâche, mais tout restait à faire, il se devait de se faire apprécier, de faire croire à une incroyable comédie pour mieux entuber la famille et éviter l'union. Du moins pour l'instant et le plus longtemps possible. Le jeune homme gagnerait cette partie.


Peu habitué à rester derrière un bureau et n'aimant vraiment pas ça, Ahrmën semblait se forcer à gérer son affaire. Fraichement rachetée, la distillerie devait rapporter à l'héritier O'Hagan de l'argent, beaucoup d'argent, juste assez pour rendre à la famille quelques lettres de noblesse en plus. Il aurait pu faire n'importe quoi de sa vie, devenir un sorcier célèbre dans n'importe quel domaine, il avait simplement choisi d'entrer dans les affaires, le métier le plus simple au fond, consistant simplement à vendre sa marchandise. Avant de pouvoir songer à tout cela, il se devait pourtant de changer certaines choses, réorganiser l'entreprise, l'optimiser à sa guise et par là il entendait répartir le personnel différemment. Il ne pouvait laisser les postes les plus importants à des sorciers inférieurs. Les tâches les moins gracieuses se devaient d'aller à ceux qui n'étaient pas dignes d'espérer davantage. Si ça tenait qu'à lui, peut-être aurait-il laissé les choses telles quelles, car après tout la production semblait tourner plus que bien, mais son nom était en jeu, sa réputation, non la réputation de sa famille et par conséquent il n'avait pas vraiment le choix. Virant les sang de bourbe trop importants, recadrant les autres à d'autres niveaux. Les sang-mêlés pouvaient encore espérer s'en sortir à peu près bien, certains ayant les mêmes opinions que les O'Hagan et par conséquent restaient en place. Du reste il faisait le ménage, optimisant à sa manière, changeant le rythme, changeant les choses. Nouvelle direction prise par le jeune homme qui voulait accroitre la production, en vendre davantage et il savait qu'en ces temps étranges il ne lui serait pas bien compliqué de vendre un peu de pur feu. L'alcool fait perdre la tête, l'alcool calme les angoisses ou euphorise les moins inquiets. Elevé par un père dans la plus pure des traditions, il lui devait tout, leur fortune reposant sur son habileté à faire fructifier leurs possessions. Oh il aurait surement pu travailler au ministère, jouer le gratte papier dans un bureau ou encore s'occuper de chasser les pires criminelles, mais il ne pouvait se résoudre à marcher près de gens déshonorant le sang des sorciers. « McStewart refuse de quitter les lieux monsieur. Il estime que son sang ne peut définir son rang. » Soupirant, Ahrmën se levait et contournait le bureau, sortant sa baguette et d'un pas se dirigeait en dehors. Il s'arrêtait un instant, observant de toute sa hauteur la production se faire. La plupart des employés travaillaient sans rechigner, ils n'avaient pas le choix, risquant de se retrouver à la porte sinon. Tyrannique il n'y avait que ses affaires qui comptaient, les autres lui passaient largement au-dessus et puis il ne voyait pas pourquoi ils en viendraient à se révolter, car grassement payés. On pouvait dire ce que l'on voulait de lui, il n'oubliait pas pour autant d'offrir salaire durement gagné et largement mérité, car lui-même incapable, il le reconnaissait, de faire la moitié des choses ici. Descendant à présent, le pas pressant, suivi par deux sorciers en charge de la sécurité. Attrapant par le col McStewart il l'amenait dans un coin isolé, pointant sa baguette directement sur lui. « Ecoute moi bien le sang de bourbe, les temps changent et tu es dépassé. L'ancien dirigeant te jugeait surement utile pour endosser ses échecs, mais je sais d'avance que je n'aurai pas besoin de toi. » Appuyant le bout de bois enchanté contre la gorge du rebelle, il le fixait d'un regard noir, peu patient, trop pressé de passer à autre chose et s'enrichir plus convenablement. « Maintenant je te laisse le choix. Tu peux toujours faire le ménage dans le coin ou comme je te l'ai signalé, t'en aller et te trouver un travail ailleurs. Je peux faire ça de la plus gentille des manières ou dans la souffrance. Tu décides, mais dépêche-toi, je ne suis pas réputé pour ma patience. » Ne déviant pas un seul instant ses yeux de cet homme se prenant pour quelqu'un d'important, il n'hésitait pas à accentuer la menace en s'apprêtant à lancer un sortilège. Ce ne fut pas nécessaire, le sorcier, en sueur et tremblant, retrouvait ses esprits et en un hochement de tête prenait la fuite au plus vite. Léger rictus aux coins des lèvres, il donnait quelques indications à la sécurité avant de remonter s'isoler. Ahrmën n'était pas spécialement fier de lui, il se devait pourtant de faire bonne figure, les convictions avaient pris le pas sur sa réelle pensée du sorcier. Il était doué, très doué et s'en séparer restait une erreur, mais s'il jouait habilement, il le verrait revenir prendre un boulot dans le coin, lui permettant peut-être de bénéficier le plus discrètement possible de son avis. En attendant il restait un né moldu et il ne pouvait être vu avec. Il savait reconnaître le talent de certains, il le reconnaissait, mais il ne pouvait se résoudre à bafouer ses croyances les plus profondes sous un tel prétexte idiot.


Elle était, vraiment belle et pourtant il ne savait rien d'elle. Parfaite inconnue, il n'avait su comprendre pourquoi il s'était laissé aller dans ses bras. Rencontre fortuite, elle dormait à présent, paisible et rassurée. Femme perdue, ils s'étaient rentrés dedans, sous la pluie, sous la tempête de Londres. D'abord renfermé face à elle, il lui avait pris l'idée de lui permettre de se mettre au chaud, l'accueillant à bord de la péniche lui servant de domicile, endroit agréable sur la tamise. La belle trempée et glacée jusqu'aux os avait eu l'occasion de se réchauffer. La discussion fut étrange, ni l'un ni l'autre ne discutant véritablement d'eux, ne dévoilant que très peu de leurs vies, il savait juste d'elle qu'elle s'était plus ou moins égarée, qu'elle ne savait véritablement où aller, cherchant un refuge et rien de plus. Il entendait chez elle un léger accent, mais il y avait comme une attirance, comme une alchimie qu'il ne savait nommer. La nuit fut délicieuse, si parfaite qu'il semblait ailleurs. Incapable de fermer l'oeil il se contentait de l'observer pour l'instant. Qui était-elle ? La question revenait dans son esprit, la question le torturait, mais pourtant ne pas avoir de réponse n'était pas si dérangeant, gardant le souvenir si frais d'un ébat, d'un échange. Remettant une mèche de l'inconnue en place, il se retrouvait sous son charme, incapable de savoir pourquoi elle, sentant étrangement que quelque chose rendait toute relation impossible et puis il n'en voulait pas après tout. Il ne s'était pas présenté à sa fiancée il y a de cela quelques années, il avait esquivé tout cela habilement et Ahrmën n'était pas prêt à se retrouver emprisonné à toutes sortes de sentiments dans le genre. Non pas que la fiancée en question ne lui manquait pas, bien au contraire, il s'y retrouvait profondément attaché et de là provenait un certain sentiment de culpabilité vis-à-vis de ce qu'il venait de faire. Incontrôlable il n'avait su s'en empêcher et en proie à bien des choses à présent il se permettait d'user du calme de la nuit pour démêler le fil de ses pensées. O'Hagan se répétait qu'il ne la connaissait pas, qu'elle n'était rien au final, mais elle semblait si proche en même temps, comme si dans une autre vie déjà ils s'étaient croisés et avaient échangé quelque chose de particulier.

C'était plus qu'étrange et soupirant il ne savait quoi réellement tirer de tout cela. Se levant du lit, le plus délicatement possible pour ne pas la réveiller, il sortait de la pièce pour se servir un verre, idéal dans ces moments-là. La culpabilité le rongeait, mais il ne savait regretter pour autant, drôle de sentiment et parfaite contradiction, il ne voulait pas se prendre la tête, elle lui apportait une chaleur des plus agréables, serein il en avait oublié le monde un instant, il en avait oublié ses origines, ses convictions. Il n'y avait eu qu'elle dans son esprit. Il n'y avait plus qu'elle pour l'instant, elle et l'invisible fiancée. Quelques gorgées brulantes avalées les unes après les autres, alors qu'il grimpait jusque sur le pont. Protégée par divers sortilèges, l'embarcation n'était pas visible par les moldus. La nuit était fraîche, mais la pluie avait cessé et regardant les étoiles il calmait son esprit pour mieux redescendre après quelques minutes afin de rejoindre le lit. Elle n'avait pas bougée, dormant profondément, si paisible et bien qu'entre eux le départ fut compliqué, il devait avouer trouver sa présence divinement apaisante. Se réinstallant contre elle, il profitait un peu de cette présence. Elle n'était pas sa première conquête depuis qu'il avait pris son indépendance, elle ne serait pas la dernière, mais elle sortait du lot et c'est ainsi qu'elle s'était insérée dans son esprit aussi rapidement et si violemment. La sentant se mouvoir contre lui, il l'observait, sans un bruit, sans la réveiller. Demain viendrait trop vite, il ne savait pas si elle serait encore là, si elle n'était en fait qu'un rêve, qu'une illusion, une naïade apparue dans l'idée de lui faire perdre la tête. L'avenir il ne savait le lire, il ne voulait pas le lire, si elle ne devait rester qu'un souvenir alors il en serait ainsi, mais Ahrmën n'était pas franchement décidé à ne l'imaginer que comme une illusion, comme une promenade éphémère dans la nuit noire. Elle devait être plus. Ce qu'elle lui faisait ressentir était au-delà de ce que ça devrait être. Une connexion existait entre eux et il n'aurait de cesse de chercher jusqu'à ce qu'enfin son esprit se libère de cette question. D'où provenait-elle pour qu'il en ressente de tels effets ? Fermant les yeux, il cherchait à calmer son esprit, préférant se cacher dans le sommeil pour l'instant et s'endormant il oubliait l'espace de quelques heures cette étrange attirance.

Sur une musique très conquérante (n'est pas peur, clique pour découvrir la musique de la victoire !) te voici enfin validé(e) ! Tout d'abord, nous te souhaitons nos félicitations, mais ce n'est pas tout ! Désormais, étant que membre validé, tu vas devoir lire les énoncés suivants. Tu as désormais pris un choix en faisant ta fiche, celui de collaborer ou de résister. Il est très important pour toi de comprendre l'importance de ce choix au vu de la situation et du contexte dans lequel nous jouons (ouais, c'est pas les bisounours quoi.) et que ton personnage sera soumis, en fonction de ce choix, a une vie pas forcément belle, pas forcément très morale. En effet, la guerre, la peur de mourir ou d'être torturé et laisser pour mort peut faire basculer vers les choix les plus immoraux, les personnes les plus droites d'esprit. C'est la guerre, voilà. Si tu as bien compris ça et que tu sais dans quoi tu es engagé, tu peux désormais lire la suite.

Comme tous les membres validés (on note l'entrain de Hermione qui vous félicite, ouaip, elle est contente.) tu vas devoir venir recenser ton avatar dans un premier temps. C'est très important car si tu ne le fais pas, le staff ne le fera pas pour toi, ni Hermione d'ailleurs (bon okay, elle est à l'état d'embryon pour le moment, mais quand même !) Ensuite, tu devras t'occuper de ton personnage, de bien l'intégrer dans le jeu et pour cela, tu devras recenser son patronus, son métier mais aussi son ancienne maison quand il étudiait à Hogwarts. Tu pourras ensuite, si tu le souhaites, ouvrir un registre de liens et de rps ainsi que tenir un journal intime pour conter l'histoire et les mésaventures de ton personnage ! Enfin, n'oublie pas le flood qui est un très bon moyen pour t'intégrer au sein du forum et de sa communauté !

Concernant ta fiche sinon, Hermione a un petit mot à te dire à ce sujet, elle l'a trouve (...) très bien écrite, j'aime beaucoup ! Te lire était très agréable :)

Et enfin, un dernier mot ! Bon jeu parmi nous !