NAME : Selwyn, un nom qui n’inspirera plus jamais l’hilarité des autres sorciers présomptueux et imbus de leur personne. On reconnait un membre de la famille Selwyn tant par sa ténacité à toujours se surpasser, que par cette quête de la perfection ultime. Nul n’ignore que cette famille a gagné son prestige, il y’a trente ans de cela,  grâce au prestigieux mariage entre une Selwyn et un Rosier. On peut constater encore aujourd’hui que ces deux familles ont entretenus ce lien privilégié qui unisse leur famille puisqu’une branche familiale les a raccordés. ; Les Selwyn, une famille qui impose son prestige naissant, assoiffée d’ascension social, et ne manquant pas de détermination pour y accéder. Une règle d’or dicte leur vie : « La peur de notre nom drainera le rire d’autrui ». SURNAME : Dellabee, premier prénom plus qu’atypique puisqu’il provient de la création de Mme Selwyn. Ne voulant pas cataloguer sa fille avec un prénom commun, elle opta pour un prénom aussi unique que sa progéniture issue de ses entrailles. Bien que cela semblait lui plaire, aujourd'hui la jeune détentrice de ce prénom ne semble partager cet engouement. En effet, le suffixe « Bee » lui rappelle amèrement le petit nom que les touts petits enfants donnent aux abeilles qui butinent le miel. ; Dellabee est un prénom qu'elle tolère, mais à la longue, un rictus d'irritation apparaît sur son visage. Ses proches l'appellent donc Della. ; Anya est le prénom de sa grand-mère paternelle. AGE : Vingt quatre ans PLACE OF BIRTH : Dans la prestigieuse hôpital de Ste-Mangouste.YOUR BLOOD : Sang Pure, avec un soupçon de fierté sur la qualité des engagements matrimoniaux : en effet, avec le temps, la famille Selwyn est convoitée par les autres familles de sorciers de sang pur. MARITAL STATUS : Célibataire, et tant que son mariage ne sera pas proclamée, elle compte bien le rester. De nature presque froide, Della ne s’intéresse pas le moins du monde du florilège de sentiments qu’elle peut engendrer sur la gente masculine. Bien trop ambitieuse pour laisser place à l’amour, son cœur demeure dangereusement indomptable.  JOB OR OTHER : Effroyablement silencieuse, Dellabee s’est dirigé vers un métier alliant ce trait de caractère avec la nécessité de conserver un secret primordial. Elle travaille donc au Ministère de la Magie, au poste de Langue de Plomb, dans le Département des Mystères. Il n’est inconnu pour personne que ce métier est aussi mystérieux que le lieu où l’individu passe le plus clair de son temps, afin d’y déchiffrer les mystères qui résident dans ces sphères de cristal. YOUR WAND : Bois de troène, mesurant 32 cm, la baguette de Dellabee fut confectionnée avec une plume de Phœnix en son cœur.  N’ayant pas échappé à l’éternel rituel de la baguette chez Ollivander, elle fut choisie par cette baguette lorsqu’elle commença ses études à Hogwarts. ; Longue et fine, elle demeure encore aujourd’hui un fidèle compagnon lors de ses prouesses magique.  PATRONUS CHARM : « Specto Patronum » ; Della prononce cette formule lorsqu’elle souhaite invoquer son patronus. Il fait généralement son apparition au travers d’une douce volute de brume blanche, un husky jailli de sa baguette avant de bondir avec agilité sur l’ennemi qui se dresse devant Della. ; Ce chien possède des yeux aussi bleus que ceux de la jeune femme. BOGGART :  Être impuissante face à la chute des Selwyn. Elle est terrorisée à l’idée d’être confrontée à nouveau aux railleries de la société, d’être toisée avec suffisance, et être renier à tout jamais. HOGWART HOUSE : Serdaigle, selon l’avis du Choixpeau était la maison qui convenait parfaitement à son esprit vif. Après tout, d’après Rowena Serdaigle, Mère Fondatrice de la maison, la culture devait être enseigné à ceux qui ont l’intelligence sûre. ; A vrai dire, Della aurait pu avoir sa place dans la maison Gryffondor, mais la perpétuelle agitation était une nuisance pour ses oreilles, alors elle préféra se fondre dans la masse en intégrant la maison Serdaigle. YOUR CHOICE : Bien qu’on lui ait inculqué les idéologies pro sang-pur depuis qu’elle a su faire ses premiers pas, le regard azur de la jeune femme vous fusillera littéralement si vous avez le malheur de lui dire qu’elle forge sa propre opinion en suivant sa famille tel un vulgaire mouton. Elle a choisi le camp qui comblera les volontés de sa famille, la préservera de toutes mésententes, et qui met en valeur la beauté de leur sang ; Dellabee s’est donc tournée vers les forces du mal, au service du Seigneur des Ténèbres. Son allégeance est littéralement dévoué à la famille Selwyn, qui se bat chaque jours afin d’entrer dans l’estime du monde magique. Cette lutte permanente en devient presque lassante pour Della, qui n’éprouve plus de l’aversion  envers ses multitudes d’yeux moqueurs qui les toisent sans aucune gêne. La famille Selwyn est sur le point d’être enrôlé parmi l’armée du Seigneur des Ténèbres, et Della espère y occuper un poste d’espion afin de rapporter des informations aux mangemorts et surtout au Lord.  MIRROR OF ERISED : Elle voit sa famille, heureuse et indéniablement respectée. Nul n’ose rire des Selwyn, on les craint. La peur d’un nom accroit la peur de la chose même.

« Stupéfix » ; La voix suave de son amie Léonie résonne dans la clairière du bois. Cependant quand Della regarde vers le ciel, elle réalise à quel point elle peut être insignifiante pour bien des personnes, mais malgré cela, ce qui repose autour d’elle est un monde interminable en terme de possibilités. Ces innombrables faisceaux de lumières qui rayonnent et illuminent le petit être qu’elle est. C’était presque comme si cette lumière tentait de la laver de ses pêchés suite au méfait qu’elle allait bientôt accomplir. « Stupéfix » ; elle demeure en retrait, adossée à un arbre alors qu’elle observe le jeune sang-mêlé peiner à reprendre son air. C’est bien trop long à son goût, cette agonie sur la longue durée en devait presque gênante pour Della, non pas que cela lui fendait le cœur, mais cela l’ennuyait de voir l’acte s’éterniser autant. ; Elle voulait en finir le plus vite possible, afin de passer à autre chose, et continuer sa vie comme bon lui semble.

Elle soupire avant de donner impulsion à son pied appuyé contre l’arbre, elle s’élance devant la jeune Léonie, de quatre ans sa cadette. Elle se saisit de sa baguette magique, avant de poser son regard bleu azur sur le jeune homme. Quelle mort atroce, paralysé au point de ne pouvoir bouger que les yeux.  D’une voix désapprobatrice, elle prononce distinctement la formule qui lui sera fatale.

« Stupéfix » ; Ses yeux roulent dans leurs orbites, un léger filet de bave s’échappe de ses lèvres alors que l’essence même de sa vie s’envole vers d’autres cieux. Della ajuste sa baguette dans son jean avant de faire face à son amie. Son regard dénué de compassion se pose sur la jolie blonde avant de déclarer avec détachement : « Rentrons ».

Courir, ne pas s’arrêter. Sentir son cœur battre trop vite, ou au contraire, rater un battement. Dellabee comprenait de manière concrète qu’elle venait de commettre son premier meurtre. Aussi invraisemblable que cela puisse paraître, elle n’avait éprouvé aucuns remords, ou aucuns plaisirs à l’exécuter. Tuer pour en finir au plus vite, telle était la réelle motivation de son geste. Et bien qu’elle n’avait que quatorze ans, elle savait que cet acte serait goulûment célébré par la famille Selwyn qui mettait un point d’honneur à prendre en main l’éducation de leurs enfants dès leur plus jeune âge. ; Destinée à rejoindre les forces du mal, Dellabee ne vivait que pour cette ambition transmis par sa génitrice. S’oublier soi-même, et vivre pour exaucer un rêve commun, le patrimoine familial.

Au combien même elle semble ne ressentir aucunes états d’âme, il n’en demeure pas moins que la fierté de contribuer à ce rêve de famille, pousse la jeune femme, encore adolescente à l’époque, à faire tout ce qui est en son pouvoir pour parvenir à ses fins.

Les sanglots longs des violons de l’automne blessent mon cœur, d’une langueur monotone. ; Della referme délicatement le recueil de ce poète moldu, Paul Verlaine. Son regard balaye le salon des Selwyn, de droit à gauche, puis elle jete à la cheminée l’infâme ouvrage sur lequel, elle a fait l’erreur de poser le regard. Un sentiment de honte la submerge, et la simple idée qu’on ait pu la surprendre en flagrant délit l’ennuyait plus que tout.  Vous allez sûrement la prendre pour une imbécile, une timbrée ou qu’importe. Vous la prendrez sûrement pour ce qu’elle n’est pas. Constamment, dans sa vie, ce fut le cas. On la surestime. La dote de qualités qu’elle estime ne pas mériter. On ne cesse de lui offrir de l’amour, sentiment qu’elle ne rejette par-dessus tout. Et il en fut ainsi depuis sa naissance. L’histoire qui va vous être conté n’est pas celles d’une gentille fille ou d’une tortionnaire extrémiste. Car son Destin était déjà écrit, et elle n’avait pourtant rien demandée. Elle est née dans ce monde cruel, qui ne lui offrait rien, sans même chercher à la comprendre. En effet, au combien même vous lui demanderai de vous raconter l’histoire de sa vie, elle est malheureusement incomplète. Elle est comme un puzzle inachevé dans lequel il manque des pièces essentielles. Un trou dans son être que jamais quiconque ne parviendra à consolider. Venez, rejoignez-moi sous la vague déferlante de son fleuve des ténèbres et buvez donc la tasse.


« Dellabee, cesse donc de regarder … ces gens-là! » ; Une petite frappe sur la main, l’incompréhension se fait sentir. En quoi son acte peut-il susciter une telle réaction chez sa mère ? Une réflexion qui apparaît comme bien trop ennuyeuse pour la petite Selwyn, qui décide d’abandonner toute discussion avec sa génitrice. Elle concevait l’idée d’avoir été éduquée pour haïr les sangs impurs, mais ne pas pouvoir poser un regard, même le plus indifférent du monde, l’intriguait. Mais  égale à elle-même, elle ne préférait pas argumenter, au risque de faire s’époumoner Madame Selwyn. Cette dernière était tellement fière, quelle joie d’avoir conçue une enfant aussi altruiste et cultivée. Elle plaçait énormément d’espoirs en ses enfants afin de rehausser le blason familial au rang de famille convoitée pour une alliance matrimoniale. ; Il y a trente ans de cela, les Rosiers et les Selwyn se sont alliés pour le meilleur et pour le pire. Sous le joug de l’ambition, Della s’est forgée une vie où elle s’oublie elle-même au détriment des autres. « Écoute-moi bien Dellabee … » ; Avec sa mère accroupit devant elle, la fixant droit dans les yeux, Della était bien obligée de prêter attention aux propos qui allaient suivre. « Tu es intelligente, et j'espère beaucoup de ton parcours futur, car … tu es prédestinée à de grandes choses. »




To tie me up now ; 'Cause I'm as bad, as bad as it gets ! ; SO COLD.

Il fait si froid qu’elle se terre contre le mur, perdue au beau milieu de ce malheur qu’elle véhicule sur son passage. La fraîcheur naissante de la pierre dense la maintient éveillée, empêchant toute chute en pâmoison. Elle est parfois dépassée par l'ère du temps. Depuis quand son chemin lui échappe-t-il ainsi ? Elle est seule désormais. Elle emmerde ce putain de destin et elle pleure pour sa fierté, c'est insupportable. ; Il y eut un grand bruit comme un impact à la fois sourd et audible à des kilomètres à la ronde. Un silence funeste s’abattit sur la ville, les lumières de toute la planète s’éteignirent et seuls les bougies et autres feux primaires perdurèrent. On entendit des bruits venus d’ailleurs résonner dans les rues, des cris déchirant le silence de la nuit, des murmures incompréhensible s’infiltrer à travers les lézardes des maisons moldues. Le temps semblait s’éterniser plus que jamais, jouissant de la peur que suscitait son rythme sur tout.

Et la sonnette mit fin à cette douce perdition, elle tinta aux rythmes des cœurs battant en secret dans les maisons. Personne n’esquissa un geste, personne n’osa entrouvrir les lèvres, mais malgré ces douces précautions, cela n’a pas suffi. ; Les Mangemorts savaient qu’ils se tapissaient tous dans le noir en silence. Eux, Être porteurs de la Mort, entrèrent. Cette nuit-là beaucoup moururent, certains furent touchés par ces ombres venues d’ailleurs, tandis que d’autres furent épargné par le Destin. Après ce soir-là, la Terre sombra dans une litanie d’obscurantisme dans laquelle les moldus prirent tous conscience d’une effroyable vérité : la traque ne faisait que commencer.

« Coucou, hibou, coucou hibou … Coucou ! » ; Une toute toute petite main posée sur le tronc de l'arbre se tenait bien à l'écart. Derrière cette main, bien sûr, quelqu'un. Ce quelqu'un, maintenant, c'était une toute petite chose. Une demoiselle qui avait disparu depuis bien longtemps maintenant ... De figure, elle n'avait pas changé. Visage pâle aux traits délicats affichait le désintéressement extrême comme à son habitude, mais elle était devenue de plus en plus chétive avec le temps. Ses grands yeux bleus azur fixaient une maison avec une envie certaine. N'abandonnerait-elle jamais ses idées ? Apparemment, non. ; Elle s’emmitoufla dans une capuche noire avant de se fondre dans la nuit. La ruelle est silencieuse, illuminée par des braises qui éclatent des flammes qui brûlent les maisons dévastées par les Mangemorts. ; Des hurlements retentissent alors que l’horloge frappe ses douze coups de minuit. Dellabee hausse les épaules, elle est sur le point de rebrousser chemin lorsqu’elle entend un craquement de feuillage. ; Elle parvient presque à ressentir de manière surnaturelle cet effroi qui abrite le corps de cette âme en détresse. Invisible comme le vent, Della laisse échapper un petit rire cristallin avant de susurrer avec exaltation : « Je peux t’entendre, tu sais ? » ; Dit-elle avant de lui lancer un sortilège de répulsion. La proie ne se défend pas, ce n’est qu’un vulgaire moldu, effaré par la même occasion. Sa famille massacrée, il espérait fuir la ville en quête de secours extérieurs. Vaillant de sa part, mais inutile malgré tout. « Pitié ! J’ai des enfants et une fam ... » ; Encore les mêmes dernières paroles, tellement classique. Cela en devient presque affligeant aux yeux de Della qui décide d’abréger ce calvaire sans même lui laisser la chance de terminer sa phrase. « Avada Kedavra. » ; Des larmes coulèrent de ses joues vermeilles alors que son corps inerte s’effondrait au sol, désarticulée telle une poupée en chiffon. Il ne pouvait comprendre le geste de Della, dont il ne connaissait pas le nom, et il avait bien compris qu’elle ne le connaissait pas non plus en retour. Tuer pour tuer, exterminer pour chasser le gibier. Les yeux grands ouverts aveugle de toute présence vitale, Della tourna les talons avant de continuer silencieusement sa route. Elle leva sa baguette vers le ciel, avant de prononcer à mi-voix la formule qui matérialise la mort ; « Morsmordre … ». Elle n’avait pas la place pour le remord, une longue nuit l’attendait encore.



Just tonight I will stay ; And It's all because of you. Ici, la voilà. Et elle ne s’inquiétait pas de ce qu’il allait s’ensuivre. Avec les événements de ces derniers jours, ses actes commis durant cette nuit, Della ne pouvait plus revenir en arrière, elle devait aller de l’avant en concrétisant son appartenance idéologique. Et cela de la manière la plus tangible possible ; qu’est-ce qui était plus manifeste que sa volonté future d’adhérer à l’armée du Seigneur des Ténèbres en tant que Mangemort ? ; Cette situation de partisante ne lui suffisait plus, elle devait participer de manière active et que ses actions soient reconnues comme celle d’une Death Eater. Mais porter ce grade était bien trop précoce, et elle ne pourrait pas y accéder en pointant le bout de son nez sans relation, sans avoir pris l’initiative de contacter des mangemorts actifs afin de faire bonne impression. Va voir cet homme, il a travaillé par le passé au poste que tu occupes au Ministère, il saura quoi faire. Légèrement en retrait du flux de circulation qui se véhiculait dans cette ruelle, Della demeurait silencieusement à sa place, attendant patiemment ce contact. Un mangemort, une tête couronnée qui pourrait lui permettre d’accéder à ses fins. Elle n’avait aucun scrupule à utiliser son influence comme tremplin afin de se hisser parmi les Death Eater. Della n’avait pas la patience pour que ce soit, et elle comptait donc poser cartes sur table en lui expliquant ses motivations, d’où la requête qu’elle lui adresse. Et advienne que pourra, qu’il se méprenne sur ses intentions, elle n’en a que faire : cela sera à prendre ou à laisser ; mais malgré tout, elle tente le tout pour le tout.

Ici, le voilà. Une silhouette en retrait, dans le recoin à l’opposé de son trottoir. Della comprend qu’il n’a pas l’intention de bouger ; Dans un râle presque silencieux, un rictus de sarcasme apparaît sur ses lèvres pourpres, alors qu’elle traverse à contre-courant la masse touristique qui circule la nuit. Elle ne fait pas attention aux reproches désapprobateurs des passants, tâchant de focaliser son attention sur cette silhouette masculine lui tournant le dos. Elle arrive à s’extirper de cette masse grouillante, avant de s’adosser silencieusement contre le mur. Elle hésite à entrouvrir les lèvres afin d’engager la discussion le plus rapidement possible, ne voulant pas pour autant dévoiler son impatience. Optant pour la tranquillité, Della rabaissa sa main qu’elle voulait poser délicatement sur l’épaule du jeune homme, dans le but de signaler sa présence dans un geste de tapotement. Il n’était pas idiot, il comprenait bien qu’elle se trouvait à ses côtés. Et malgré sa promptitude, Della préservait les lèvres liées, au combien même ce silence lui semblait inutile. ; Alors qu’elle semblait vouloir prendre les choses en main, une voix masculine traversa le vent d’un beau tenor. Juste un mot, aussi simple que la vie.

« Dellabee … »

Sur une musique très conquérante (n'est pas peur, clique pour découvrir la musique de la victoire !) te voici enfin validé(e) ! Tout d'abord, nous te souhaitons nos félicitations, mais ce n'est pas tout ! Désormais, étant que membre validé, tu vas devoir lire les énoncés suivants. Tu as désormais pris un choix en faisant ta fiche, celui de collaborer ou de résister. Il est très important pour toi de comprendre l'importance de ce choix au vu de la situation et du contexte dans lequel nous jouons (ouais, c'est pas les bisounours quoi.) et que ton personnage sera soumis, en fonction de ce choix, a une vie pas forcément belle, pas forcément très morale. En effet, la guerre, la peur de mourir ou d'être torturé et laisser pour mort peut faire basculer vers les choix les plus immoraux, les personnes les plus droites d'esprit. C'est la guerre, voilà. Si tu as bien compris ça et que tu sais dans quoi tu es engagé, tu peux désormais lire la suite.

Comme tous les membres validés (on note l'entrain de Hermione qui vous félicite, ouaip, elle est contente.) tu vas devoir venir recenser ton avatar dans un premier temps. C'est très important car si tu ne le fais pas, le staff ne le fera pas pour toi, ni Hermione d'ailleurs (bon okay, elle est à l'état d'embryon pour le moment, mais quand même !) Ensuite, tu devras t'occuper de ton personnage, de bien l'intégrer dans le jeu et pour cela, tu devras recenser son patronus, son métier mais aussi son ancienne maison quand il étudiait à Hogwarts. Tu pourras ensuite, si tu le souhaites, ouvrir un registre de liens et de rps ainsi que tenir un journal intime pour conter l'histoire et les mésaventures de ton personnage ! Enfin, n'oublie pas le flood qui est un très bon moyen pour t'intégrer au sein du forum et de sa communauté !

Concernant ta fiche sinon, Hermione a un petit mot à te dire à ce sujet, elle l'a trouve (...) Superbe ! J'aime beaucoup ta plume, ton vocabulaire, bref ton style est très agréable à lire.  Peu de fautes d'orthographe d'ailleurs, ça fait toujours plaisir ! En tout cas, Dellabee est parfaite en Mangemort et tu montres bien le fait qu'elle ait choisi seule d'en être une. Le seul bémol -qui n'engage que moi - c'est le fait qu'elle ai déjà tué à ses 14 ans, je trouve cela quand même un peu jeune, surtout qu'elle aurait dû se faire choper rapidement vu qu'elle n'était pas majeure.

Et enfin, un dernier mot ! Bon jeu parmi nous !