NAME : Elle porte le nom de Bones, un patronyme teinté de pureté autrefois mais qui est aujourd'hui mêlé au sang des moldus,ce que la lignée est loin de renier. Bien au contraire. SURNAME : Elle porte le prénom d'Amélia en toute simplicité, sa mère n'ayant jamais apprécier les prénoms trop farfelus. Son second prénom, Mélisandre est celui de sa grand-mère du côté paternel. AGE : Elle est agée de vingt-trois ans tout juste. PLACE OF BIRTH : Elle est née à Fulham, en Angleterre. YOUR BLOOD : Elle est de sang mêlé, bien que sa lignée soit très reconnue dans le monde sorcier pour avoir été durant très longtemps pure de tout sang moldu. MARITAL STATUS : La jolie Amélia est célibataire, à vrai dire elle n'accorde pas vraiment d'importance aux sentiments et à l'amour, c'est d'ailleurs à peine si elle y croit. JOB OR OTHER : Amélia est tireuse d'élite à la baguette au ministère de la magie, plus exactement au département de la justice magique. YOUR WAND : C'est une bien jolie baguette que lui a vendu Ollivanders à ses onze ans, taillée dans le bois d'un rosier et contenant une écaille de sirène, c'est une baguette très souple mesurant vingt-six centimètres très exactement. PATRONUS CHARM : Il représente un chat, malicieux et sauvage tout à la fois. BOGGART : Il représente le corps de son frère, entaché de sang.  HOGWART HOUSE : C'est dans la fière maison de Godric Gryffindor que Amélia a fait ses études. YOUR CHOICE : Amélia est farouchement opposée aux mangemorts, pour elle le sang d'un sorcier, pur ou non, n'a auncune importance et elle refuse d'abdiquer sa fierté face aux spires de Voldemort. C'est ainsi qu'elle a rejoint l'ordre du phoenix, pour se battre pour ses idéaux.  MIRROR OF ERISED : Une silhouette. Un visage. Un sourire. Celui de son père décédé il y a peu de la baguette d'un mangemort, et qui lui manque terriblement.

rêver.
onze ans, maison des bones
Le mois d'octobre était bien entamé, emplissant l'air de la fraîcheur de l'automne. Cela faisait un peu plus d'un mois que la petite Amélia avait rejoint l'école de sorcellerie et c'est avec animation qu'elle évoquait ses souvenirs du premier mois qu’elle avait passé dans l’école qui avait hanté ses rêves de gamine au fil des histoires contées par ses parents et son frères. Aujourd’hui, elle avait regagné le domicile familial pour les vacances de la Toussaint, hereuse de revoir sa famille. « Le choixpeau n’a pas hésité une seule seconde avant de m’envoyer comme pour toi maman ! » s’exclama-elle d’une voix claironnante et enjouée, l’esprit encore empli des souvenirs et de bribes d’images entremêlées en sensations entrelacées : de l’euphorie de l’attente de la répartition à la première vision du château se reflétant dans l’immensité du lac. Des images, des émotions. Tout pour la gamine de onze ans qui réalisait ses rêves de petite fille. « J’adore les cours ! Ce que je préfère c’est le vol sur balais et les sortilèges ! » « J’étais pareil il y a deux ans ? » demanda Edgar avec un sourire moqueur en tirant la langue à sa soeur. « Non. » répondit sa mère « Toi, tu étais pire ! » Un grand éclat de rire secoua la petite famille. Ils étaient heureux. Unis. « Tu t’es fais des amis ? » interrogea son père. « Oui, tu sais Emmeline la fille que j’ai rencontré dans le train dont je t’ai parlé dans ma dernière lettre ? On s’entends très bien ! » « Parlons des choses sérieuses, tu t’es fait des ennemis ? Des petits idiots que je dois corriger ? » lança Edgar d'un air malicieux, lui qui était toujours prêt à défendre sa petite sœur. « Non, pas trop … enfin juste une fois je me suis disputée avec un garçon de serpentard qui m’a dit que ma famille était des traîtres à leur sang .. » Morgana et Edward échangèrent un regard tandis qu’Edgar fronçait les sourcils. « Pourquoi il a dit ça ? Enfin je connais la différence entre sangs purs et sang mêlés mais je ne comprends pas ou est le problème … » « Tu sais ma chérie, il y a des sorciers qui ne partagent pas ce point de vue, pour eux le fait d’avoir du sang moldu dans les veines est une hérésie et ils méprisent les enfants issus de parents moldus. Pourquoi ? Je l’ignore, je ne comprends pas, mais il y a des gens – des sangs purs bien souvent – qui pensent ça, il ne faut pas les écouter, ce sont des idioties, le sang n’a aucune importance. Un sorcier de sang moldu vaut autant qu’un autre. Tu comprends ? »  Amélia acquiesça en silence. Oui. Elle comprenait. Il y a des mots, des paroles qu'on n'oublie jamais. Jeu de lettres qui pénètrent l'esprit, le cœur et l'âme pour devenir idéaux d'une vie. A jamais.
 
espérer.
seize ans, parc de poudlard.
Il faisait beau en cette jolie journée de mars, le soleil éclairait avec vivacité le parc de Poudlard en y apportant sa douce chaleur printanière. Les élèves profitaient du retour des beaux jours pour flâner dan le parc avant de regagner leurs dortoirs, faisant leurs devoirs à l'ombre des arbres ou échangeant confidences entremêlées au bord du lac qui brillait de mille feux sous les rayons enflammées su soleil de mars. Parmi ces élèves en quête d'un bol d'air, Amélia et Emmeline s'étaient installées au abords du lac, à l'ombre d'un chêne pour finir leur devoir de métamorphose en discutant de tout et de rien. Rires entrelacés symboles d"'une complicité débridée. « Arrête Emmeline, tu dis n'importe quoi. » s'exclama Amélia en riant aux éclats. « Bien-sur que si, c'est évident que Hennessy a le béguin pour toi, ça se voit ! » Amélia sourit de plus belle, faisant mine de remettre en place le col de son uniforme pour lancer un regard vers Ted Hennessy, un Poufsouffle de sixième année plutôt mignon d'après Emmeline. « On a du se parler trois fois en une année, tu dérailles ! » « Je sais ce que je dis Bones, il te trouve jolie c'est son meilleur ami, Harvey qui me l'a dit, tu devrais aller le voir pour lui proposer d'aller boire un verre aux trois balais lors de la prochaine sortie à Pré-Au-Lard ! » Amélia leva les yeux au ciel sans répondre. Bien-sur, la jeune adolescente de seize ans avait eu des petits amis, mais les histoires d'amour désabusés et innocentes étaient loin d'être le centre d'intérêt principal de la jeune Bones. au contraire la jolie Gryffondor s’intéressait bien plus au quidditch qu'aux garçons. Soudain, un éclat de voix se fit entendre non loin de la ou les deux jeunes filles s'étaient installées, émanant d'un élève de serpentard de sixième année qui semblait avoir pris pour victime un jeune serdaigle de seconde année. Amélia resta quelques instants à observer la scène, sentant l'indignation et la colère l'enserrer comme un venin. Vil. Viscéral. Insupportable. « Avery ! Fous-lui donc la paix tu veux ! » D'un geste, Amélia s'était levée puis s'approcha à grand pas du serpentard. « Bones. Que me vaut ce plaisir ? » « Tout le plaisir est pour moi. Mais dis-moi depuis quand tu t'attaques aux seconde année ? Attaques-toi plutôt à quelqu'un qui pourras se défendre, ça vaudra mieux. » Elle savait qu'elle ne devrait pas le provoquer, mais qu'importe. Amélia n'avait jamais supporté l'injustice de ces principes radicaux de sang pur et elle s'était souvent faite remarquée pour arborer haut et fort ses principes, bien qu'elle se montrait bien plus discrète que son frère qui lui n'hésitait pas à provoquer les sang-purs de sa maison. « Tu vas payer ces mots ! » lança-il d'un ton menaçant en brandissant sa baguette qu'il pointa droit sur la jeune Gryffondor. Celle-ci braqua à son tour sa propre baguette sur Avery, prête à se défendre jusqu'au bout. « Avery, Bones ! Mais pour qui vous vous prenez ? » Le professeur McGonagall approchait avec l'air furibond.  « Vous battre au millieu du parc ! Je vous enlève trente points chacun. Avery, j'en parlerais avec le professeur Slugorhn et quand à vous Bones c'est un comportement inacceptable, on croirait votre frère ! Regagnez vos dortoir maintenant ! » Amélia tiqua en rangeant rageusement sa baguette dans sa poche avant de tourner les talons. Par Merlin qu'elle aurait aimé fermer le clapet à cet idiot. Les problèmes ne lui faisait pas peur comparé à ce sentiment d'injustice qu'elle haïssait plus que tout. Des idéaux pour lesquels elle n'hésitait pas à lever la voix. L'espoir de la justice. Utopie d'une vie.
 
pleurer.
vingt-deux ans, chemin de traverse.
Un silence étrange régnait sur le pub. Un silence troublant, tant il détonnait avec l'animation habituelle qui se faisait entendre dans en général dans ce petit pub du chemin de traverse. De nombreux corps étaient amoncelés un peu partout dans la pièce. Parmi eux, il était là, étendu sur le sol, les bras en croix. Sur son visage était dessinée une expression de terreur sans nom, une terreur teintée de colère et de douleur tandis que sa baguette gisait un peu plus loin, brisée en deux morceaux. Silence. Silence de recueillement. Silence de peur. Silence de mort. Amélia serrait fort sa main droite autour de sa baguette, si fort que  ses phalanges en étaient blanchies et endolories alors que la baguette crachait de légères étincelles écarlates. Mais elle s'en fichait. Ça n'avait pas d'importance, pas plus que la sensation désagréable de ses vêtements trempés qui lui collaient à la peau ou bien les battements frénétiques de son cœur qui tambourinait fort contre sa poitrine. Rien ne comptait. Rien n'avait plus d'importance que le corps étendu sur le sol. « Le gérant du pub est la-bas, apparemment ils lui reprochaient de ravitailler des nés-moldus en vivres pour se cacher, il y a encore des clients dans la seconde salle tous morts de la même façon. » Amélia n'avait pas bougé, pas réagi. Elle écoutait sans entendre les déclarations des aurors envoyés sur place, leurs mots résonnant comme un lointain écho.  « Bones ? » Elle ne répondit pas, s'approchant d'un pas chancelant sans un mot du corps. Non. Ce n'était pas possible. Pas comme ça. Pas lui. Pas si soudainement. Non. « Papa ... » Un murmure. Un souffle. Détresse exacerbée. Mort. Un instant, elle ferma les yeux. Ce n'était pas possible, elle allait se réveiller et il serait encore en vie. Tout n'était qu'un rêve. Un cauchemard. « Bones ! Réveillez-vous enfin ! » « Je ... C'est ... » Les mots moururent dans sa gorge, comme si énoncer la vérité à voix haute était reconnaître que ce n'était pas un rêve. « C'est son père. » déclara la voix bourrue d'Alastor Maugrey, penché sur un corps étendu à l'angle de la pièce « C'est Edward Bones, un grand auror imbécile. » lança-il à son jeune collègue. « Contactez donc le reste de sa famille et allez identifier les autres corps, tout de suite. » Le jeune auror, rougissant, s'exécuta tout de suite. Maugrey s'était approché du corps d'Edward Bones, lui lançant un bref regard avant de ramasser la baguette brisée qu'il tendit à Amélia « Il a du subir le sortilège doloris, les mangemorts n'on jamais vraiment supporté qu'une aussi vieille famille que les Bones ne se mêle aux moldus. Je vais aider l'autre imbécile à identifier les autres corps, prenez ce temps pour vous calmer et essayez de vous montrer plus efficace quand je reviendrais. » « Merci » murmura-elle d'une voix rauque. « Ne me remerciez pas. Vous ne serez pas efficace dans cet état or nous avons besoin que tout le monde soit opérationnel, pour le ministère et pour l'ordre. Je ne fais pas ça pour vous. » A nouveau ce silence. Amélia s'approcha du corps serrant contre elle la baguette brisée. Lentement, la jeune femme se pencha sur le corps, ferma d'un geste tremblant les yeux de son père ignorant la saveur salée des larmes qui coulaient le long de son visage. Des larmes au goût de promesse.
 

Sur une musique très conquérante (n'est pas peur, clique pour découvrir la musique de la victoire !) te voici enfin validé(e) ! Tout d'abord, nous te souhaitons nos félicitations, mais ce n'est pas tout ! Désormais, étant que membre validé, tu vas devoir lire les énoncés suivants. Tu as désormais pris un choix en faisant ta fiche, celui de collaborer ou de résister. Il est très important pour toi de comprendre l'importance de ce choix au vu de la situation et du contexte dans lequel nous jouons (ouais, c'est pas les bisounours quoi.) et que ton personnage sera soumis, en fonction de ce choix, a une vie pas forcément belle, pas forcément très morale. En effet, la guerre, la peur de mourir ou d'être torturé et laisser pour mort peut faire basculer vers les choix les plus immoraux, les personnes les plus droites d'esprit. C'est la guerre, voilà. Si tu as bien compris ça et que tu sais dans quoi tu es engagé, tu peux désormais lire la suite.

Comme tous les membres validés (on note l'entrain de Hermione qui vous félicite, ouaip, elle est contente.) tu vas devoir venir recenser ton avatar dans un premier temps. C'est très important car si tu ne le fais pas, le staff ne le fera pas pour toi, ni Hermione d'ailleurs (bon okay, elle est à l'état d'embryon pour le moment, mais quand même !) Ensuite, tu devras t'occuper de ton personnage, de bien l'intégrer dans le jeu et pour cela, tu devras recenser son patronus, son métier mais aussi son ancienne maison quand il étudiait à Hogwarts. Tu pourras ensuite, si tu le souhaites, ouvrir un registre de liens et de rps ainsi que tenir un journal intime pour conter l'histoire et les mésaventures de ton personnage ! Enfin, n'oublie pas le flood qui est un très bon moyen pour t'intégrer au sein du forum et de sa communauté !

Concernant ta fiche sinon, Hermione a un petit mot à te dire à ce sujet, elle l'a trouve vraiment top on retrouve le caractère et la forte personnalité d'Amelia mélangé à une certaine sensibilité. Histoire attachante, écriture très belle

Et enfin, un dernier mot ! Bon jeu parmi nous !