NAME : Carrow, un patronyme qui vous retourne les entrailles. Généralement associé à la bassesse la plus extrême, les membres qui composent cette famille sont vus comme des êtres cruels, égoïstes, et foncièrement abjects. A croire que la vilénie qui semble avoir animé cette famille durant des décennies s’amasse telle un cadavre en putréfaction. Dégoutant ; A l’image de la nécrose, les Carrow sont considéré comme un fléau qu’il faut éradiquer avant toute gangrène de la suprématie des sang-pur. SURNAME : Alecto, autrement dit Alec pour les intimes, est le premier prénom relativement atypique lorsque l’on sait qu’il a été attribué à une femme. Bien ce que cela connote une part de masculinité, c’est cette parcelle de virilité qui lui apporte cette force redoutable et cette crainte qu’elle sait si bien susciter dans les yeux de ses ennemis. Nul ne saurait dire si Amycus, son jumeau est plus cruel qu’elle, mais elle n’en demeure pas moins la plus téméraire, à se jeter corps et âme dans la bataille qui fait rage. ; Persephone est le second prénom de la jeune Carrow. Généralement associé à la Déesse des Enfers, Femme d’Hadès, ce prénom veut souligner le caractère presque « démoniaque », si on peut dire, de la jeune femme.  AGE : Vingt-trois ans. PLACE OF BIRTH : Alecto naquit dans le prestigieux hôpital de St-Mangouste.YOUR BLOOD : Sang-pur, bien que la réputation de la famille Carrow soit tout sauf glorieuse, nul ne peut dénigrer cependant la pureté de leur sang. MARITAL STATUS : Célibataire, une situation qui laisse Mme Carrow dans l’embarras. Alecto n’a toujours pas trouvé un bon parti qui puisse lui permettre de contracter un mariage arrangé entre familles de sang pur. Dénigrée, sans cesse rabaissée par sa génitrice, réduite à n’être qu’une « bonne à rien » à ses yeux, Alec cache malgré tout au fond d’elle cette rage qu’elle semble nourrir en raison du comportement de sa mère. Ce courroux qu’elle s’exalte même à porter sur ses victimes dont elle prend un plaisir presque orgasmique à torturer corps et âme.  JOB OR OTHER : Accusée de terrorisme, Alecto fait partie des innombrables têtes à prix dont la récompense ferait tomber en pâmoison les chasseurs de têtes. ; Avant, elle était employée administrative au sein du Département de la Justice Magique. Mais ça, c’était avant. Dorénavant, elle est activement recherchée : Dead or Alive.  YOUR WAND : Bois de tremble, mesurant 24 centimètres, la baguette d’Alecto fut confectionnée avec un ventricule de dragon en son cœur.  N’ayant pas échappé à l’éternel rituel de la baguette chez Ollivander, elle fut choisie par cette baguette lorsqu’elle commença ses études à Hogwarts. ; Rigide et fine, elle demeure encore aujourd’hui un fidèle compagnon lors de ses prouesses magique. PATRONUS CHARM : Possédant une âme aussi noire que les yeux du Diable en personne, Alecto ne peut invoquer un patronus puisqu’elle ne possède aucun souvenir heureux au fin fond de son cœur.  BOGGART : La vision du corps inanimé de son frère jumeau est probablement l’effroyable crainte de la jeune mangemort. ; Que la Faucheuse vienne cueillir telle une fleur la vie d’Amycus lui est inconcevable.  HOGWART HOUSE : Sans faire exception à la tradition familiale, Alecto a fréquenté la maison de Serpentard avec son frère Amycus durant sa scolarité dans la prestigieuse école de magie Hogwarts. YOUR CHOICE : Formatée depuis son enfance, voir même endoctrinée dans cette idéologie qui stipule que la suprématie des sang-pur prédomine la flétrissure de l’humanité que représentent les nés-moldus, autrement dit les Sang-de-Bourbe, et il en est ainsi aussi pour les sangs-mêlés. Pour défendre la préexcellence du sang, Alecto s’est fièrement enrôlée dans les rangs du Seigneur des Ténèbres où elle porte dignement sa Marque des Ténèbres.  MIRROR OF ERISED :Fièrement couronnée, pâle sourire sur son visage opale, drapée de soieries et de dentelles, Alecto n’aspire qu’à cette soif de puissance qui anime chaque parcelle de son corps. Imposante, tellement impériale.

Âpre ? Je ne saurai déterminer avant tout si cette sensation sous ma langue est âcre ou âpre. Qu’en dites-vous ? Est-ce que la perception d’un corps fraichement mutilé est acerbe ou rugueux sous l’humidité de vos papilles gustatives ? Je ne parvins pas à me décider. Et c’est sous le regard effaré d’une jeune moldue que j’éclate de rire. Pétrifiant, horriblement consternant. Un rire amer s’est frayé un chemin hors de ma gorge pour retentir et résonner dans l’atmosphère déjà assez macabre. A califourchon sur ce cadavre en décomposition nécrosique, mes yeux s’illuminent d’une complaisance  de l’ordre de la jubilation malsaine. En état de jouissance primaire, mes sens sont en ébullition. Alors que mes yeux roulent dans leur orbite avec exaltation, je me sens perdre pieds sous ce florilège de sensations orgasmiques. J’ai ôté la vie, et ô combien toute personne normalement constituée éprouverai du remord, je ne ressens que de l’allégresse. ;  « Alecto, il est temps de partir.» Frustration. Mon visage se rembrunit alors que la voix virile d’Amycus venait mettre fin à mon quart d’heure de distraction lugubre. Il temps. Oui, je sais qu’il est temps de passer à autre chose, ma prochaine victime. Ma peau marmoréenne s’étire en un rictus sarcastique en sachant que jamais ce jeu ne s’arrêtera. Dans le moindre faits et gestes, mon aliénation avait la gracieuse ingéniosité de trouver, d’innover en une perpétuelle mise à jour, l’intérêt du jeu. Jamais je ne m’ennuierai, et ce théorème s’adapte idéalement aussi à mon jumeau. ; Je me remets debout presque à contre cœur dans l’immédiat, mais tout en sachant que cette déception sera à nouveau nourri par cette soif de bestialité qui m’apportera à nouveau cet enivrement tant recherché.

La trahison engendre le sang. Et je me conforte avec les mots de la famille Carrow lorsque j’emmène la mort partout où je vais. Je me sens observée, Amycus me déshabille littéralement du regard. Je me racle la gorge avec gêne. Il est sûrement la seule personne face à qui je pourrai perdre mes moyens. Je n’aime pas ça. Je ne peux apprécier l’idée même qu’il puisse dérégler mes défenses, mes couches de protection. Ou pire encore, qu’il puisse avoir accès à mon for intérieur. Bien qu’il soit mon jumeau, cette proximité alarmante me fait parfois peur. Je ne demande pas plus que l’amour d’un frère envers sa sœur. Je ne veux pas plus, et je n’aurai pas plus. Dégoûtant, quelle horreur. ; Je frissonne intérieurement face à cette bribe de souvenir qui semble refaire surface. Non, notre relation est loin d’être malsaine.

La nuit, un étendu de territoires sombres dans lequel on marche en pressant le pas, dans l'espoir de fuir les tueurs de l'âme qui nous pourchassent. Minuit, l'heure où les carillons sonnent pour annoncer le coucher aux petits enfants. L'heure où le marchand de sable passe avec sa substance à effet somnifère. Ou encore l'heure où Morphée accueille à bras ouverts les détenteurs de rêves, les passagers de son navire des songes. Elle était là, assise sous la lumière fébrile de la Lune, comme une princesse dans les reliures des livres, si attirante et pourtant hors d'atteinte, elle m'attendait. Elle savait que j’étais porteuse de mort, moldue par le sang, être ignominieux de statut, elle n’en demeurait pas moins pertinente. Je me retenais malgré tout d’avouer cette pensée, il en va de soi. « Je peux t’entendre »; Un haussement d’épaules, cueillir la mort à l’instant présent était la seule chose à faire. Un bref mouvement du poignet, un susurrement dans l’air, et la victime s’effondre inerte au sol. Je ne peux réprimer un rire forcené, mon penchant pour la souffrance est à son summum. Amycus  légèrement en retrait m’observe alors que j’exalte à pleins poumons mon ravissement. Mon esprit papillonne, je m’humecte mes lèvres pulpeuse avec une seule et unique idée en tête : de quelle manière vais-je mutiler ce corps ?

I have all the characteristics of a human being: flesh, blood, skin, hair ; But even so something horrible is happening inside of me and I don't know why. My nightly bloodlust has overflown into my days. I feel lethal, on the verge of frenzy. I think my mask of sanity is about to slip.

Le monde est une pièce mal distribuée. Certaines personnes ne devraient jamais avoir croisé notre chemin et pourtant, le destin en décide bien souvent autrement. D'ailleurs, la majeure partie du temps, c'est grâce à ceux-ci que l'on en apprend le plus, sur nous-mêmes, sur tout. Que ce soit agréable ou pénible, ces personnes ne sont jamais là sans raison. C'est à nous de décider ce que l'on veut en tirer ou pas. Ennemi, ami, famille et amour riment tous avec grandir. Vous allez sûrement me prendre pour une imbécile, une timbrée ou qu’importe. Vous me prendrez sûrement pour ce que je ne suis pas. Constamment, dans ma vie, ce fut le cas. Amycus ne cesse de m’offrir de l’amour, sentiment que je ne mérite peut-être pas. Je suis née avec le sceau que la mort à porter sur mon âme, la main justicière de la Mort se venge sur ma personne. Peut-être ai-je donc tué un ange dans une vie antérieure ? Je suis destinée à mourir, et c’est à l’aube de ma vie que je l’ai compris. Alors à quoi bon courir après la vie, une parcelle de souffle avant la vie éternelle pour certain, les flammes de l’enfer pour mon cas. Je suis de ceux qui ne croient pas au Destin, mais le mot « Hasard » ne fait pas non plus partie de mon vocabulaire. Croire qu’une main divine presse ses doigts au-dessus de ma tête, ayant la volonté d’accomplir son devoir de justicier en m’ôtant la vie m’est inconcevable. Le mythe de Damoclès et de son épée qui trône sur ma tête est une histoire qui me fait sourire. Cependant, je sais, je n’ai qu’à fermer les yeux pour savoir que je vais mourir non pas en vain, mais avec gloire et honneur auxquelles j’aspire. Ils me l’ont chuchotés, oui, ils chuchotent, vous savez … ?


Autumn Tale. C’est un conte qui se passe en Automne ; où les feuilles flétrissent et déchoient des arbres, chutant au sol dans un tourbillon de couleurs chaudes. Les feuilles jaunies par l’automne et à la veille de leur cycle, elles voletaient au gré du vent avant de s’écraser paisiblement sur le sol, puis se relever dans les airs par une brise aussi forte soit-elle engendrer par le passage en trombe d’une voiture. ;  « Docteur, cet enfant est-ce un garçon ? Ou bien une fille ? » Demanda Mme Carrow, allongé sur son lit d’auscultation, ne pouvant dissimuler une certaine anxiété visible sur son pâle visage. ; Le praticien se tourna alors vers la future mère, le visage neutre, sans grande expression sur son visage. L’incompréhension survole le visage de la future mère, qui s’assombrit définitivement à l’idée de connaître une complication durant sa grossesse. Comment justifier cela auprès des autres ? Comment pourra-t-elle-même supporter le regard méprisant qu’on portera sur sa personne. Jeune femme en éclosion, incapable de donner un héritier à son époux. Connaître l’échec dans le seul rôle important où sa dévotion doit être primordiale, cela était inconcevable. ;  Comprenant le désarroi naissant de sa patiente, le médecin ne peut réprimer un grand sourire qui s’étale sur ses lèvres finement crevassé. « Il y a une légende qui raconte que les faux jumeaux de sexe opposé ont été amants dans une vie antérieure » ; Parce qu’il y a, derrière sa joie, un élan de douceur, un flot intarissable de larmes déferla de ses yeux, s’écrasant docilement contre ses pommettes humides avant de ruisseler gracieusement sur ses joues empourprées. A l’annonce de cette heureuse nouvelle, elle pouvait sentir comme un halo de lumière brillé dans son cœur, ses rêves étaient remplis de l’avenir prometteur de ses jumeaux. Elle était si … heureuse ! L’infinité de futurs possibles que leurs corps minuscules détenaient. Le pouvoir de la vie ! Ses larmes qui débordaient ne voulaient tout simplement pas s’arrêter, car ils étaient la preuve de sa vie. Ses larmes …


Petite fille fragile. Dans chaque geste, chaque regard et chaque parole. Tout en elle respirait ce besoin de protection permanente. Parce qu’elle était capable de tout donner pour ceux qui ne le méritaient pas toujours, elle avait toujours ignoré la façon de se protéger elle-même des aléas de la vie. ;  Alors que son monde ne se limitait qu'a la fenêtre de sa chambre, un cri de douleur se déchira dans la maison cachée de la Lune. Un ennui morbide qui se transforma rapidement en une allégresse palpable. On se penche, on admire et puis, on découvre. Quoi au juste ? Que l’image est l’image de la nature et je suis comme elle. Simple fruit de gestation. Une femme, parmi tant. Je suis différente des autres et pourtant nous savons tous que nous ne sommes différents que du masque que nous portons. Le mien est blanc et scintillant. Il est uniforme et m’englobe telle une sphère parfaite. En son centre, un sourire. Large et noir. Il te glace le sang. A mes côtés tu te sens en perpétuel danger. Et je souris de plus belle, étalant ma cruauté devant tes yeux égarés. C’est si bon. Je ne suis que la progéniture farouche issue de l'union d'une famille de sang-pur anglaise, les Carrow. Et on s’approche du miroir. Le masque devient translucide découvrant l’éclat de la banalité. Mes yeux s’alignent de couleur pacifique. Ils portent chances cependant ma mère, elle aimait perdre ses yeux dans leur profondeur. Mes cheveux étaient d'un reflet brun et c’est pour cela qu’ils n'ont jamais changer de couleur. Elle m’aimait tant pour me préserver de cette banalité dont vous êtes tous victimes. ; Deux jumeaux, deux chemins sinueux menant tout droit à un avenir incertain. Deux respirations, un bonheur décuplé. Si Mme Carrow étaient fière de ses enfants, elle ne pouvait pas rêver mieux qu’une entendre harmonieuse entre ces derniers. De l’amour à l’état pur, cette candeur juvénile flottant dans l’air, un amour fraternel presque fusionnel, peut-être même trop. ; Malgré sa joie, un soupçon de désarroi la hantait jour et nuit. Comment vivre avec la hantise de voir ses enfants s’aimer de trop de contenance ? La peur au ventre, l’angoisse qui vrille son esprit, la paranoïa face à chaque jeu d’enfant anodin qui la conforte dans cette chasse incessante de la vérité. Elle ne pouvait être qu’une spectatrice si impuissante que cela frôle la démence de ne pouvoir rien contrôler. N’avoir aucun contrôle sur le tournant que pouvait prendre un évènement, la frustration intense d’être incapable d’arrêter, voir même de lutter face à cette vision contre nature de l’amour entre un frère et une sœur. ; Quelle horreur. De la révulsion ? Peut-être bien. Et là, elle comprenait que sa plus grande peur était sur le point de se réaliser : que ses enfants puissent ternir encore plus le blason de la famille Carrow alors que celui-ci n’est pas à son beau fixe. ; « Alecto, jouons au Papa et à la Maman ! » ; Innocence.  Naïveté juvénile de l’enfant lamda. ; Insupportablement dégoutant. Sanglotant à cette pensée ignoble, ce sentiment de révulsion face à l’ambiguïté prédomine sur son statut de mère. Ressentir de la répugnance face à ses enfants, jamais elle n’aurait jamais pu penser pouvoir développer ce genre de sentiment à l’égard de ses adorables jumeaux. Si adorable, mais pourtant si sordide, pourquoi donc ne pas s’aimer comme la bienséance le demande ? ; La douleur engendre la faiblesse, n’oublions pas que la souffrance existe seulement parce que la douleur existe. Toute faiblesse doit être détestée, la détester chez les autres mais plus encore chez soi-même. ; Elle leva son regard ahuri afin de le plonger dans celui de sa fille, Alecto. Un sourire fantomatique de dessina sur son visage, les bras paisiblement tendu vers sa douce progéniture. Précipitamment, telle une danseuse étoile, Alec se rua dans les bras de sa mère qui lui baisa le front. Elle avait tant d’espoir envers sa fille, peut-être même trop en raison de sa clairvoyance presque précoce pour son jeune âge. « Peu importe où tu es, peu importe où la vie te mèneras, tu ne pourras jamais oublier qui tu es, ni comment tu es venue au monde. Tu es une Carrow ! Vous deux, vous faites partis de moi, comme je fais partie de vous. C’est la part de vérité qu’il y a dans vos vies, et ce sera toujours vrai même après la mort. Les faiblesses qui nous animent, il faut les maîtriser pour avoir la maîtrise de soi. C’est ce qui fait la force de la famille Carrow, Alecto. » ; Le jeune âge de sa fille ne lui permettait pas encore de comprendre avec exactitude l’importance de ces propos, seule l’incompréhension pouvait se faire ressentir. Songeuse, Alecto observait sa mère avec perplexité, mais hochant malgré tout la tête en signe d’approbation. Avait-elle réellement l’opportunité de faire autrement ? A vrai dire, non. Car chez ces gens-là, on ne les contredit pas Monsieur, on les contredit pas !


Vous connaissez la loi, celle du plus fort ? Tout échec a besoin d’être gravé dans la peau. Et c’est à l’apogée de mon existence que je l’ai compris. La faiblesse oblige la force, comme la trahison engendre le sang. Ceci est notre code, la loi des Carrow. L’avilissement des êtres infâmes ne peut être purgé que par le sang.  Je riais comme quelqu’un qui avait sérieusement réfléchi à la vie et qui comprenait enfin la blague de celle-ci. ; Hogwarts fut le lieu où mon sadisme était à son paroxysme. N’écoutant rien, ni personne, les règles ne représentaient en aucun cas un obstacle à mes yeux. Je me sentais forte, farouchement dévastatrice, et ô combien orgasmiquement réjouie de mes noirs desseins. Avec Amycus, nous étions deux. Avec Amycus, nous étions plus forts qu’eux. Lui sans moi, ou moi sans lui, cette réciprocité n’avait aucun sens. A croire qu’en l’absence de l’autre, on ne pouvait se sentir pleinement « complet ». ; Est-ce que cette dépendance est une faiblesse ? Une faiblesse que ma mère se plaisait à nous répéter sans cesse, qu’elle engendre la force. Nul ne peut ignorer qu’à nous deux, nous faisons plier l’échine à bien nombre de personnes, sorciers ou pourriture infâme confondus. Et malgré notre cruauté, notre ultime dévotion auprès du Seigneur des Ténèbres, ou nos loyaux services,  cette horrible tare nous poursuivra à jamais. ; On ne peut choisir l’appartenance de son sang, de son rang, ni même ses parents. Il faut vivre avec ce que l’on appelle le poids de la vie, parfois lourd à porter sur des frêles épaules. Mais malgré cette pesanteur, un Carrow garde toujours la tête haute. Rabrouée, rabaissée au détriment des autres familles, je n’en demeure pas moins impassible. A jamais dégoûtante aux yeux de tous, je ne pourrai jamais comprendre l’obstination de ma mère à vouloir redorer le blason des Carrow. Car quoi qu’on fasse, les spectateurs de cette horrible mise en scène n’auront qu’à fermer les yeux. ; Ô comme je rêve de les leur crever. Quelle cruelle plaisanterie de la nature ! ; A l’image de la répugnance  que la réputation de ma famille semble renvoyer, j’ai fait don de ma barbarie sans limite à mon vénéré Lord Voldemort. Une servitude fièrement assumée, je me délecte de mes responsabilités durant mes missions. Tuer, ôter la vie, frissonner de plaisir, pire encore jouir de la souffrance d’autrui. Et malgré cette complaisance morbide, je n’éprouve nullement la honte que la bienséance expose comme méprisable. Je suis Alecto Carrow, et c’est sauvagement  que je vous ferai la peau.

Sur une musique très conquérante (n'est pas peur, clique pour découvrir la musique de la victoire !) te voici enfin validé(e) ! Tout d'abord, nous te souhaitons nos félicitations, mais ce n'est pas tout ! Désormais, étant que membre validé, tu vas devoir lire les énoncés suivants. Tu as désormais pris un choix en faisant ta fiche, celui de collaborer ou de résister. Il est très important pour toi de comprendre l'importance de ce choix au vu de la situation et du contexte dans lequel nous jouons (ouais, c'est pas les bisounours quoi.) et que ton personnage sera soumis, en fonction de ce choix, a une vie pas forcément belle, pas forcément très morale. En effet, la guerre, la peur de mourir ou d'être torturé et laisser pour mort peut faire basculer vers les choix les plus immoraux, les personnes les plus droites d'esprit. C'est la guerre, voilà. Si tu as bien compris ça et que tu sais dans quoi tu es engagé, tu peux désormais lire la suite.

Comme tous les membres validés (on note l'entrain de Hermione qui vous félicite, ouaip, elle est contente.) tu vas devoir venir recenser ton avatar dans un premier temps. C'est très important car si tu ne le fais pas, le staff ne le fera pas pour toi, ni Hermione d'ailleurs (bon okay, elle est à l'état d'embryon pour le moment, mais quand même !) Ensuite, tu devras t'occuper de ton personnage, de bien l'intégrer dans le jeu et pour cela, tu devras recenser son patronus, son métier mais aussi son ancienne maison quand il étudiait à Hogwarts. Tu pourras ensuite, si tu le souhaites, ouvrir un registre de liens et de rps ainsi que tenir un journal intime pour conter l'histoire et les mésaventures de ton personnage ! Enfin, n'oublie pas le flood qui est un très bon moyen pour t'intégrer au sein du forum et de sa communauté !

Concernant ta fiche sinon, Hermione a un petit mot à te dire à ce sujet, elle l'a trouve incroyablement bien écrite. Le personnage est compris et vraiment bien décrit comme on l'imaginait. Puis ta plume est vraiment magique et formidable

Et enfin, un dernier mot ! Bon jeu parmi nous !