NAME : Longbottom. Un nom qui prête les moldus à sourire, mais qui impose davantage de respect dans la communauté magique. Les Longbottom sont implantés dans le paysage depuis la nuit des temps et ont une réputation de gens loyaux et courageux. SURNAME : Frank. Un prénom banal, loin des modes mythologiques qui ont gagné les autres familles de sang pur. Alistair pour second prénom, en souvenir de son grand père maternel. AGE : Trente et un ans. PLACE OF BIRTH : Londres, Hôpital pour sorciers Sainte Mangouste. YOUR BLOOD : Sang Pur. Encore que les Longbottom n’attachent aucune importance à la valeur du sang. MARITAL STATUS : Il n’est pas marié, mais il n’est pas libre pour autant. Son cœur est pris par la charmante Alice McLean. JOB OR OTHER : Auror. Un métier en première ligne, par les temps qui courent. YOUR WAND : Sa baguette mesure 28,7 centimètres. Faite en bois de Prunellier, elle contient en son centre un ventricule de cœur de dragon. Elle est, parait-il, idéale pour les sortilèges. PATRONUS CHARM : Son patronus prend la forme d’un grand loup. BOGGART : le feu. Une peur qui remonte à son enfance. Un traumatisme qu’il se refuse à expliquer, peut-être parce qu’il n’en garde pas un grand souvenir lui-même, et qu’expliquer une faiblesse qu’il ne peut se rappeler l’agace profondément. HOGWART HOUSE : Gryffondor fut le choix du choixpeau. YOUR CHOICE : Lorsqu’il fut question de se radicaliser, Frank ne laissa planer aucun doute. Il avait tout ce qui pourrait attirer les mangemorts. L’arbre généalogique irréprochable, de solides compétences en magie. Pourtant, sa bonté d’âme en a fait l’un des premiers membres de l’Ordre du Phénix. Il méprise l’idéologie des mangemorts et repousse avec force leurs préceptes. Conscient des risques, Frank est résolu à s’engager dans la lutte. Au point qu’au sein de l’ordre, il compte parmi les Erudits. Ceux qui apprennent aux autres à se défendre, ceux qui aident l’ordre à se structurer. Sa formation d’auror l’a poussé tout naturellement à proposer ses services dans ce domaine. MIRROR OF ERISED : La réponse est toute trouvée : il ne voit qu’Alice à ses côtés, le ventre arrondi par les prémisses d’une grossesse. Il se rêve père d’une famille heureuse, vivant dans un monde apaisé. Au final, tant qu’Alice est à ses côtés, il est un homme heureux.

CHAPTER ONE
Une seconde. Une éternité. Frank regarde les gouttes d’eau tomber par la fenêtre, l’averse frappant les carreaux avec une violence qui contraste avec le calme imposé dans la maison. Le temps semble s’être arrêté, l’enfant retient presque son souffle à chaque fois qu’il entend marcher à l’étage du dessous. Il sait que si on le surprenait à épier les moindres faits et gestes de ses parents, il passerait un mauvais quart d’heure. Mais il lui faut savoir. Il attend depuis trop longtemps pour hypothéquer ses chances de réponse par simple couardise. Il a l’habitude des regards sévères de sa mère, de ses colères mémorables. Il sait qu’à cette heure, il devrait être au lit. Augusta ne transige pas avec la discipline. C’est ainsi, dit-elle toujours, que son fils deviendra quelqu’un de respectable. A l’étage du dessous, dans le petit salon coquet de la demeure familiale, l’agitation gagne brusquement. Frank se penche un peu depuis le haut des marches de l’escalier. Il tend l’oreille pour surprendre la conversation qui tarde à venir. Il sait que même si les évènements récents le concernent, il ne sera pas appeler pour assister à la scène. Il a déçu ses parents, une grande première pour un garçon élevé dans un monde aussi strict. Jamais il n’avait enfreint la moindre règle, du moins pas avec autant d’aplomb. Augusta veillait au grain, terrorisant presque son unique progéniture de ces menaces qu’elle n’appliquait pourtant jamais. Elle était une femme à la poigne de fer. Incontestablement la chef du foyer Longbottom, celle dont enfant et mari suivaient les consignes à la lettre. Tout le monde magique savait qu’il fallait se méfier de cette sorcière à l’âge déjà avancé mais aux coups de baguette redoutables. Et pour la première fois de sa courte existence, le jeune Frank avait osé franchir la ligne, s’attirant les foudres de sa mère. Qu’importe, il pouvait survivre à quelques regards courroucés et des punitions à la pelle. Il estimait avoir bien agit. Malheureusement, il avait mal choisi sa proie et son moment. Frank vivait dans une rue peuplée pour moitié de sorciers, pour l’autre de moldus totalement étrangers au monde magique. Parfois, la rencontre entre quelques fils de sorciers et un moldu faisait des étincelles, laissant souvent le moldu sur le carreau. Et lorsque Frank avait vu des jeunes de son âge s’en prendre à un moldu, il n’avait pas hésité et s’était porté aux côtés de la victime. Il n’avait pas encore l’âge d’être à Poudlard, ne connaissait que quelques bribes de magie, rien qui ne puisse lui servir. Mais il savait jouer de ses poings, et ne s’en était pas privé. Sauf que dans le tas se trouvait le fils du département qui employait son père au ministère. Quand les parents des uns et des autres l’avaient appris, les Longbottom surent que les imprudences de Frank leur coûteraient bien plus cher que prévu. Et voilà que le père du garçon avait été convoqué au ministère, pour répondre à l’agression de son fils. Frank ne s’était jamais senti aussi coupable, et étrangement fier de lui en même temps.
« Alors ? » Augusta ne mit guère de temps à questionner son mari, sitôt son retour par le conduit de cheminée. Elle pense Frank à l’étage, ignorant que depuis le haut des marches, il entend parfaitement tout ce qui se dit depuis le salon. « Je suis rétrogradé, Augusta. Au prétexte que, si je ne parviens pas à maintenir mon propre fils dans les rangs, je serais incapable d’en faire autant avec mes subordonnés. » Frank se pince la lèvre inférieure, désolé d’entendre que ses actes ont eu une portée aussi lourde. Les sang purs sont toujours solidaires, d’ordinaire. Mais pas avec des gens comme les Longbottom. Ceux-là nuisent à leurs bonnes vieilles traditions, parait-il. Frank se sent subitement moins fier de lui. Car au-delà de la sanction infligée à son père, c’est le rêve de celui-ci qui s’envole. Jasper Longbottom avait toujours rêvé de représenter son pays, son ministère aux quatre coins du monde. Désormais, il devra se contenter de remplir de la paperasse cloitré dans un petit bureau sinistre. « Mais tu sais, au fond je trouve que c’est mieux ainsi. Notre fils a bien agi en s’interposant. Et je ne sais pas si j’aurais supporté de travailler aux côtés de gens aussi arrogants. » Le discours de son père redonne un peu de baume au cœur de son fils. Au moins, ils n’auront pas tout perdu. Frank entend sa mère grommeler quelque peu. Il sait que si son père est plus conciliant, sa mère se chargera de rappeler à Frank qu’en dépit de ses bonnes actions, il a quand même désobéi aux règles. Demain, ça sera l’heure de rendre des comptes. En attendant, Frank regagne sa chambre. La suite, il aura le temps d’y penser plus tard.

CHAPTER TWO
« FRANK ! » Il continue de marcher, feint de ne pas avoir entendu cette voix l’appeler à quelques mètres derrière lui. Il n’a pas envie de parler, surtout qu’il est presque certain de savoir quel sujet sera inévitablement abordé. Mais voilà qu’il entend qu’on lui court après, le bruit des pas écrasant les graviers trahissant la course que mène son ami après lui. Presque à bout de souffle, Aaron arrive à sa hauteur et copie son rythme de marche sur celui de Frank. Ce dernier conserve un mutisme gênant. Mais il s’en moque, il ne veut pas être dérangé. Aaron fait mine de ne pas remarquer, et à présent qu’il sait que Frank ne pourra pas faire autrement que de répondre, il reprend. « C’est quoi cette histoire entre Alice et toi ? » Nous y voilà. La conversation tant redoutée est là, et Frank a beau chercher une issue, il n’en trouve aucune. Il va devoir répondre à une question dont il n’est pas certain de connaitre la bonne réponse. Alice et lui, c’est une longue histoire. A Poudlard, ils étaient ce couple emblématique qui faisait l’unanimité. Tellement adorable que pour certains, s’en était toutefois gerbant. Et puis voilà le temps de quitter Poudlard, et leur histoire tourne court. A la surprise générale, celle de Frank y compris. Ils avaient pourtant tout pour être heureux, mais ça n’est parfois pas suffisant. Aaron insiste, repose sa question. Frank se retient de l’envoyer balader, sa patience tournant court lorsqu’il s’agit de parler d’Alice. Avec elle, il est perdu. Sans elle, c’est pire encore. « Qu’est-ce que tu veux que je te dise ? C’est la vie, Poudlard c’est fini maintenant. Nous sommes deux adultes, on veut devenir auror, on a de nouvelles priorités. On était peut-être pas aussi liés que ce qu’on pensait. » Cette simple phrase lui fait mal à dire, il a l’impression de s’enfoncer lui-même un poignard dans le cœur. Il n’y croit pas une seule seconde, se demande encore comment ils ont pu en arriver là. Il n’est pas sûr d’en avoir la réponse, et sait qu’Alice ne l’a probablement pas non plus. Poudlard avait installé entre eux une routine qu’ils avaient perdu en quittant l’école. A présent propulsés dans le monde des adultes, chacun commence à trouver ses marques, mais l’autre n’a plus tout à fait la même place dans le décor. Jusqu’au point de rupture.
Il sent le regard d’Aaron posé avec insistance sur lui. La réponse ne lui convient pas. Pour tous ceux qui ont connu ce couple du temps de leurs jours à Poudlard, cela ne peut être qu’une erreur. Un couple comme Frank et Alice est supposé résister aux épreuves du temps. Plus encore quand les deux intéressés eux même ne semblent pas comprendre pourquoi le sort a voulu qu’ils se séparent. Frank semble avoir perdu une moitié de lui-même. Mais il est aussi bien décidé à ne plus en parler. Chaque pensée tournée vers Alice est un crève-cœur qu’il souhaite absolument s’épargner. Aaron ouvre la bouche, prêt à reprendre la parole. Frank, excédé, lève la main pour l’interrompre. « Ecoute, je sais que c’est soudain. Mais la dernière chose dont j’ai envie c’est d’en parler, d’accord ? Maintenant, fous moi la paix, ce n’est pas la fin du monde. » Sitôt sa phrase terminé, il s’éloigne d’Aaron, les poings fermés pour contrôler ses nerfs. Il en veut au monde entier, à l’impression que tout se ligue contre lui. L’après Poudlard aurait dû être idyllique. Le boulot de ses rêves était à sa portée, il avait la femme de sa vie à son bras. Même ses parents semblaient s’être fait une raison : Frank était un homme d’actions, n’en déplaise à sa mère qui aurait souhaité un train de vie plus paisible. Au final, le voilà seul, presque démotivé de voir que sans Alice, le reste n’a plus autant d’importance. Il s’en veut de dépendre autant d’une femme, au détriment de tout le reste. Et pire, il lui en veut à elle de ne pas être à ses côtés. Elle était devenue au fil du temps sa meilleure amie, son pilier dans les moments difficiles. Et cet abandon sonne désormais presque comme une trahison. Il a besoin d’Alice comme il a besoin d’oxygène. Il ne sait pas encore que cette rupture est passagère. Que les mois à venir seront une épreuve qu’il mettra du temps à digérer. Que bien des années après, il aura toujours, derrière cet amour fou qu’il a pour elle, bien du mal à comprendre cette période de sa vie où Alice et lui s’étaient détournés l’un de l’autre. Et que cette peur de la perdre ne le quittera plus.

CHAPTER THREE
Il a réussi. Auror. Le titre sonne merveilleusement bien à ses oreilles. Il se souvient encore du regard fier de ses parents lorsqu’il leur avait annoncé qu’il avait passé chaque épreuve avec succès. Frank était né pour défendre les intérêts des sorciers. Il n’en avait jamais douté, même si ses proches souhaitaient pour lui une voie plus calme, plus pacifique. Il avait su rester maitre de ses propres décisions, tracer son chemin en dépit des embûches. Et il avait obtenu la récompense escomptée. « Ne reste pas dans mes pattes à rêvasser, Longbottom. On a du boulot. » Frank n’a guère le temps de réfléchir davantage. La voix rauque d’Alastor Maugrey le tire brusquement de ses pensées. Il lui emboîte le pas alors que celui-ci s’engouffre déjà dans l’ascenseur, massacrant le bouton censé les renvoyer dans l’Atrium. Frank attend sans un bruit, laissant la musique détestable diffusée dans l’ascenseur se charger de briser le silence qui s’est installé entre les deux hommes. Il sait qu’il n’est pas le préféré de l’auror, dans ce service. Peut-être un peu trop admiratif au goût du sorcier, un peu bourru. S’il avait eu quelqu’un d’autre sous la main en cet instant, il aurait probablement porté son choix sur un autre que sur Frank. Seulement voilà, en ces temps compliqués, le bureau des aurors était en constante effervescence. Les Mangemorts semblaient prendre un malin plaisir à tester leurs limites, poussant les aurors dans leurs retranchements à la moindre occasion. Au rythme où allaient les choses, ils seraient bientôt débordés. Le nombre d’auror allait chaque fois en diminuant : en période de paix, les morts étaient rares, les volontaires pour rejoindre les rangs étaient nombreux. Mais alors qu’une guerre se profilait, il fallait une sacré dose de folie pour vouloir s’engager dans une voie qui vous couterait certainement la vie.
L’ascenseur s’arrête à destination. Maugrey sort comme un boulet de canon, Frank toujours sur ses talons. Ils bousculent tout le monde pour arriver les premiers à l’aire de transplanage. Et quelques secondes plus tard, les voilà dans la pénombre. Il faut un instant à Frank pour s’habituer à la seule lumière de l’astre lunaire. Il serait insensé de lancer un sort pour avoir de la lumière. La discrétion n’était pas qu’un vain mot chez les aurors, c’était aussi une règle de survie. Frank ne tergiverse pas plus longtemps, comme l’a dit Maugrey alors qu’ils étaient encore en sureté dans leur bureau, du boulot les attend. Furtivement, il avance jusqu’à une maison où règne un silence absolu. Cependant, la marque qui flotte au-dessus d’elle ne laisse aucun doute sur les atrocités qui viennent de s’y dérouler. Au fond de lui, Frank sait parfaitement qu’ils arrivent trop tard, qu’ils ne trouveront plus personne. Mais c’est la règle, et ils ne peuvent s’y soustraire. Frank pousse à peine la porte d’entrée, entrouverte. Le spectacle qui s’offre à lui l’arrête net. Les meubles renversés, les murs tâchés de sang, il sait qu’ici même, le silence assourdissant a remplacé il y a peu des cris qui devaient glacer le sang. « Longbottom! » Frank reprend ses esprits, avance à nouveau dans la maison, sa baguette pointée devant lui, prête à livrer un duel avec un quelconque agresseur. Juste au cas où. Il entre dans le petit salon d’où provenait la voix de Maugrey. Trois corps sont alignés là, sans vie. Frank garde un visage clos, sa formation d’Auror lui aura au moins appris à ne rien laisser transparaitre. Et puis, il n’en est pas à son coup d’essai. Les cadavres s’amoncèlent derrière les mangemorts, et ce triste spectacle de désolation n’est surement pas le dernier auquel le jeune auror devra assister. « Chez qui sommes-nous ? » Frank se hasarde à poser la question, ayant suivi son collègue sans même prendre le temps de lui demander plus d’informations que nécessaire. Face à la violence des Mangemorts, qu’on soit membre de l’Ordre ou simple victime anonyme, cela ne change pas grand-chose. « Adalbert Smith. » La réponse est sobre, comme l’homme qui l’a donne. Frank n’avait même pas reconnu le corps d’un homme qu’il avait pourtant croisé à plusieurs reprises. Un conseiller du ministre à l’influence visiblement trop importante pour les Mangemorts. Plus encore, une recrue potentielle pour l’Ordre du Phoenix. Frank se tourne vers Maugrey, prêt à souligner ce point auprès de son collègue, membre de l’ordre tout comme lui. Ce dernier lui fait signe de ce taire. Il a raison, ça n’est ni le lieu ni le moment, on ne sait jamais qui peut encore rôder dans les parages. Fraichement débarqué dans la résistance, Frank a encore quelques leçons à apprendre sur la prudence. Il fait un bref signe de tête, tandis qu’il s’éloigne sans un bruit de la scène du crime, lançant mille et un sortilèges pour tenter de débusquer un quelconque intrus. La nuit sera longue, une fois de plus. Il commence à se demander quand était la dernière nuit calme qu’il ait pu connaître. Alors qu’il grimpe les marches de l’escalier quatre à quatre pour atteindre l’étage, il sursaute en entendant l’horloge au rez de chaussée sonner douze coups, indifférente au sort de ses propriétaires. Il est minuit. Une nouvelle journée commence, et Frank, résigné, se demande si elle sera aussi tragique que la précédente.

Sur une musique très conquérante (n'est pas peur, clique pour découvrir la musique de la victoire !) te voici enfin validé(e) ! Tout d'abord, nous te souhaitons nos félicitations, mais ce n'est pas tout ! Désormais, étant que membre validé, tu vas devoir lire les énoncés suivants. Tu as désormais pris un choix en faisant ta fiche, celui de collaborer ou de résister. Il est très important pour toi de comprendre l'importance de ce choix au vu de la situation et du contexte dans lequel nous jouons (ouais, c'est pas les bisounours quoi.) et que ton personnage sera soumis, en fonction de ce choix, a une vie pas forcément belle, pas forcément très morale. En effet, la guerre, la peur de mourir ou d'être torturé et laisser pour mort peut faire basculer vers les choix les plus immoraux, les personnes les plus droites d'esprit. C'est la guerre, voilà. Si tu as bien compris ça et que tu sais dans quoi tu es engagé, tu peux désormais lire la suite.

Comme tous les membres validés (on note l'entrain de Hermione qui vous félicite, ouaip, elle est contente.) tu vas devoir venir recenser ton avatar dans un premier temps. C'est très important car si tu ne le fais pas, le staff ne le fera pas pour toi, ni Hermione d'ailleurs (bon okay, elle est à l'état d'embryon pour le moment, mais quand même !) Ensuite, tu devras t'occuper de ton personnage, de bien l'intégrer dans le jeu et pour cela, tu devras recenser son patronus, son métier mais aussi son ancienne maison quand il étudiait à Hogwarts. Tu pourras ensuite, si tu le souhaites, ouvrir un registre de liens et de rps ainsi que tenir un journal intime pour conter l'histoire et les mésaventures de ton personnage ! Enfin, n'oublie pas le flood qui est un très bon moyen pour t'intégrer au sein du forum et de sa communauté !

Concernant ta fiche sinon, Hermione a un petit mot à te dire à ce sujet, elle l'a trouve magique ! Le caractère de Frank, son histoire, tout est vraiment bien et ça donne envie de voir le personnage évoluer sur le forum et j'ai hâte de ça

Et enfin, un dernier mot ! Bon jeu parmi nous !